Politique au Royaume-Uni

la suite, il entame une carrière politique en tant que député conservateur, ce qui l’amènera à entrer au gouvernement en 1905. Il exerce entre autres la fonction de Premier Lord de l’Amirauté puis quitte le gouvernement en 1922. En 1924 il devient Chancelier de l’Echiquier et c’est lui qui prend la décision du retour à l’étalon-or. Cette mesure provoque une crise et de 1929 à 1939, il cesse d’exercer toute fonction politique. Mais il revient au premier plan politique en 1940, suite au déclenchement

européens qui se sont unis face à la politique envahissante de Napoléon. En fait, en ce début du XIXème siècle, une paix apparente et précaire règne en Europe : l'Autriche désarme ; le Royaume-Uni, ruiné par la guerre et démoralisé par les victoires de la « Grande armée » de Napoléon sur le continent, fait tout pour trouver un accord avec ce dernier, surtout depuis la mort de William Pitt et son remplacement par Charles James Fox tandis que le royaume de Naples est occupé, obligeant son

de ses alliés. Ces intérêts se trouvent d'abord en Europe, premier partenaire commercial, lieu privilégié de l'influence économique et culturelle, dont les États-Unis continuent d'assurer la sécurité tant que les Européens ne déterminent pas une politique étrangère propre. Ils sont aussi en Asie où il faut à la fois faire de la Chine un partenaire commercial et contenir ses ambitions de grande puissance régionale tout en garantissant la sécurité du Japon. Au Moyen-Orient, ils sont les arbitres permanents

de Napoléon Ier (Autriche, Prusse, Royaume-Uni et Russie) avaient décidé de se réserver les « choses sérieuses ». La France réussit à s'imposer et faire entrer trois autres pays européens (l'Espagne, le Portugal et la Suède). Le congrès rassemble les grands diplomates de l'époque : • Chancelier Metternich pour l'Empire d'Autriche ; • Talleyrand pour la France ; • Lord Castlereagh, puis le duc de Wellington, puis Lord Clancarty pour le Royaume-Uni ; • le cardinal Consalvi, cardinal

QCM Hist Sociale et P°QCM Histoire sociale et politique. 1) L’émir Abdelkader est : A. Un dirigeant algérien allié de la France libre au moment de la Seconde Guerre Mondiale. B. Un dirigeant algérien ayant soutenu la colonisation française dans les années 1870. C. Un représentant de l’Étoile Nord Africaine. D. Une figure clé de la résistance à la conquête française de l’Algérie. 2) Les premières élections après la Première Guerre Mondiale en France : A. Ont lieu en 1918 et sont gagnées

L'organisation des Nations unies (ONU) est née officiellement le 24 octobre 1945, date officielle d'entrée en vigueur de la Charte des Nations unies, signée le 25 avril de la même année, à San Francisco, par la Chine, les États-Unis, la France, le Royaume-Uni, l'Union soviétique et 45 autres pays. À ces membres originaires s'ajoutait la Pologne, qui, absente à la conférence, signa le texte peu après. L'idée maîtresse qui présida à la création de l'Organisation des Nations unies était la préservation

États-Unis, mais c'est bien plus qu'un simple marché commun comme l'ALENA. Un pouvoir politique supranational sous la forme du Parlement européen, un projet de constitution (en attente de ratification par chacun des pays membres), une ouverture très avancée des frontières, une intégration monétaire engagée font de l'Union européenne une entité particulière qui joue un rôle en tant que tel. Ainsi, si l'union politique tarde à fonctionner réellement (ceci est manifeste dans les relations internationales)

|Activités industrielles |Organisation du travail | |industrielle | | |Innovations |majeures | | |1ère RI |Fin XVIIIe s. |Royaume-Uni |Charbon, machine à vapeur |Textile, sidérurgie, |Usine | | | | | |chemins de fer |

d’une crise mondiale grâce aux deux graphiques qui constituent le document deux, en effet le premier nous permet de voir l’effondrement de la production industrielle dans les cinq principales puissances économiques de l’époque : les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne, le Japon et la France. Cette effondrement provoque donc dans ces mêmes années un licenciement massif qui ne peut qu’aboutir à une hausse du taux de chômage par rapport à la population active : ce que nous montre le second graphique

Comme dans le reste des États-Unis, la criminalité et la délinquance ont diminué depuis le début des années 1990 à New York. Cette baisse a été injustement attribuée uniquement aux politiques ultra sécuritaires du maire Rudolph Giuliani, entre 1993 et 1998 mais elle est plutôt due à la gentrification de New York qui a « poussé » une importante partie du crime vers le New Jersey et à des facteurs démographiques communs à l'ensemble des États-Unis comme l'a démontré l'économiste Steven_Levitt dans