Politique Budgétaire

4) a) Définition La politique économique et sociale se définit comme l'ensemble des moyens que l'État met en oeuvre pour atteindre ses objectifs qui doivent conduire à améliorer la situation économique et sociale du pays. b) L'acteur principal de la politique économique et sociale : l'État Au sommet de l'État, on trouve trois organes : la Présidence de la République, le gouvernement et le parlement. Le gouvernement conduit par le Premier ministre dirige la politique économique et sociale de

officiellement au programme de terminale] La politique monétariste est une politique monétaire préconisée par les économistes libéraux monétaristes (dont le chef de file est Milton Friedman). Selon eux, la politique monétaire ne peut et ne doit avoir qu'un seul objectif : lutter contre l'inflation. Comment ? En contrôlant la croissance de la masse monétaire afin qu'elle augmente dans les mêmes proportions que la production. Cette politique repose sur la théorie quantitative de la monnaie

Les politiques économiques conjoncturelles Politique économique: ensemble de décisions cohérentes prise par les pouvoirs publics visant à l'aide de différents instruments à atteindre des objectifs à plus ou moins long terme relatifs à la situation économique d'un pays. Politique conjoncturelle: vise à maintenir ou à rétablir les grands équilibres économiques ou financiers à court ou moyen terme. Politique structurelle: vise à modifier les structures de l'économie à long terme. Les grands

par l’Union économique et monétaire Première partie : l’Union économique et monétaire génère des contraintes sur les politiques économiques de ses Etats membres A. aussi bien au niveau de leurs politiques conjoncturelles * La politique monétaire est menée par la BCE et les Etats membres ont perdu leur souveraineté en la matière (document n°1). * La politique budgétaire est aussi fortement contrainte par les objectifs menés au sein de l’Union économique et monétaire : limitation des déficits

ANALYSE ECONOMIQUE Dissertation : Sujet : Le principe contra cyclique dans la politique de relance keynésienne : Fondements et critiques NOM : BENZINE PRENOM : ANISSA GROUPE TD : A8 Dans toute économie, l’objectif de l’état est de garantir la croissance économique du pays. Il mène ainsi ce que l’on appelle une politique budgétaire Il s'agit d'organiser les dépenses et recettes de l’état. En tant qu'État gendarme les dépenses sont limitées. Avec la montée de l'Etat-providence les

FICHE 10 Politique conjoncturelle : Politique de relance de l’Investissement (Efficacité sur la croissance) Politique Monétaire = volet de la politique économique visant à influer sur l’évolution de la masse monétaire et les taux d’intérêts et, par ce biais, sur l’inflation, la croissance, l’emploi et le taux de chômage. • L’état favorise la relance de l’I en facilitant leur Financement grace à une politique monétaire expansive. (baisse du taux d’intérêt.) • Baisse

octobre 2002 et écrit par Laurent Fléchaire. « En 1981, la gauche arrive au pouvoir » → Arrivée de Mitterrand a la présidence. Politique de relance keynésienne = politique budgétaire = Embauche des entreprises en fonction de leurs besoins. Création d'emplois : « 50 000 emplois publics » « 100 000 contrats emploi/formation » Mais a cause d'une forte inflation (15%) la politique de relance ne fonctionne pas et le chômage s’accroît . Document 2 : Le document est un graphique de l'INSEE, publié en

coordination des politiques économiques (Banque centrale européenne pour une gestion commune monétaire) 2. Les 3 étapes et les conditions de passage à la monnaie unique entérinés par le traité de Maastricht (7 février 1992) 1. les 3 phases de l'U.E.M. 1° phase : libérer totalement la circulation des capitaux, réalisée à la date prévue de fin 1993. 2° phase depuis le 1er janvier 1994, au niveau des institutions : l'institut monétaire européen est chargé de coordonner les politiques monétaires

4) flexibilité des prix et effet d'éviction de la politique budgétaire. Même si LM à une pente positive,cela ne garantit pas qu'un stimulant budgétaire puisse augmenter Q. Si les prix était fixe on passe de E1 à B. Si les prix sont flexible à chaque fois que DD se déplace à droite de QQ nous auront une augmentation des prix : on passe B à E0 Avec une flexibilité des prix si on est à Q*,le multiplicateur keynésien (k) =0 et l'effet d'éviction est complet,en effet la diminution de MS/P de 60

(1ère) Les politiques de relance économique passent-elles forcément par l’endettement des états ? Introduction : Dans un contexte de hausse globale de l’endettement des états Européens, parfois dans des proportions supérieures à celles imposées par le pacte de stabilité Européen, il est important de se poser la question de savoir si : « Les politiques de relance économique passent forcément par l’endettement des états ? » 2 notions dans cette question: - Notion de Politique Economique