Politique Conjoncturelle Structurelle

© Banque de France – 2012 SOMMAIRE INTRODUCTION 1 Partie 1 La hausse continue de l’endettement public CHAPITRE 1 5 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L’ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS LES EFFETS CONJONCTURELS DE LA CRISE DE 2007-2008 SUR L’ENDETTEMENT PUBLIC 11 CHAPITRE 2 11 L’effet des politiques de relance pendant la crise Les plans de soutien au secteur financier Les risques en matière de soutenabilité des finances publiques 13 20 Partie 2

1. Donnez et explicitez les trois objectifs principaux d’intervention de l’Etat selon Richard Musgrave.Garantir une meilleur allocation des ressources. (faire respecter le marché de cpp, éviter l’abus d’externalités, bien public)Garantir une meilleure répartition des richesses avec l’Etat ProvidenceStabilisation de l’activité économique par l’usage de ses politiquesDonnez trois exemples pouvant justifier l’intervention de l’Etat. A contrario, quelles difficultés l’Etat peut-il rencontrer lors de

= écart de production expansionniste « surchauffe » = tensions inflationnistes. (Choc positif) Pour lutter contre cet écart on mène une politique structurelle. Lorsque la croissance effective < croissance potentielle (écart positif) = écart recessionniste Hausse du chômage (=choc négatif) Pour lutter contre cet écart on mène une politique conjoncturelle. II. Les raisons des fluctuations économiques A. Les explications exogènes des fluctuations économiques Les fluctuations économiques

Monnaie et politique européenne 13 mars 2013 Fin Chapitre 3 : La BCE 3) La politique monétaire et l’élargissement de l’UEM Depuis le 01 janvier 2007 l’UE est composée de 27 membres => futur proche élargissement de la zone euro (au delà des 17 membres actuels).  Problèmes : Composition du Conseil des gouverneurs (23 membres actuels qui décident d’abaisser ou augmenter le taux directeur, à terme 10 de plus ?)  risque de paralysie de la BCE car beaucoup trop de membres (pour se

recherche active d’un emploi - Disponible dans les quinze jours. B) Les principales causes du chômage Pour expliquer le chômage , trois raisons sont le plus souvent avancées : - La crise économique : le chômage est alors surout conjoncturel, - L’inadéquation entre l’offre et la demande de travail : dans l’industrie, les employeurs recherchent une main d’œuvre qualifiée qu’ils ne parviennent pas a trouver, malgré le nombre élevé de demandeurs d’emploi, - Le coût trop élevé

|non qualifiés et après hausse |part montre que se sont avant |et même services (NTIC) : source de | | |Néanmoins creusement évolution effectif et part |tout les emplois qualifiés qui |compétitivité structurelle essentielle car | | |(la part reste basse : reste autour de 24 % de |restent prépondérant |difficile concurrencer pays sud sur des salaires| | |l’emploi total) |

officiellement au programme de terminale] La politique monétariste est une politique monétaire préconisée par les économistes libéraux monétaristes (dont le chef de file est Milton Friedman). Selon eux, la politique monétaire ne peut et ne doit avoir qu'un seul objectif : lutter contre l'inflation. Comment ? En contrôlant la croissance de la masse monétaire afin qu'elle augmente dans les mêmes proportions que la production. Cette politique repose sur la théorie quantitative de la monnaie

la note de conjoncture car il permette d’interpréter ces chiffres et d’en saisir la tendance. Il existe donc une multitude d’éléments quantitatif et des éléments qualitatifs qui permettent d’interpréter des tendances. Typologie des études conjoncturelles : Dressé selon les périmetres : Géographique : région, pays, contexte mondial ou international Permettre de tracer des pistes sur la note que l’on va établir Sectoriel (par branche) : Selon l’objet d’étude établie Typologie selon les

LA POLITIQUE MONETAIRE AU BURUNDI Introduction La politique monétaire est le processus par lequel l’autorité monétaire assure la régulation de l’offre de monnaie en vue d’atteindre des objectifs de politique économique qui peuvent concerner la croissance, le plein emploi, l’équilibre extérieur et/ou la stabilité des prix. Depuis la fin des années soixante dix du siècle dernier, la fonction de régulation conjoncturelle traditionnellement assignée à la politique monétaire, dans une perspective keynésienne

Kondratieff. À plus court terme, à l’intérieur même d’une phase d’un cycle long, la croissance connaît des fluctuations conjoncturelles pouvant provoquer montée du chômage ou tensions inflationnistes. Les pouvoirs publics sont donc tentés d’intervenir pour limiter ces fluctuations de façon à ce que la croissance soit le plus près possible de son potentiel. Ces politiques conjoncturelles ne peuvent être pertinentes que si elles s’appuient sur une analyse des causes de ces fluctuations. On peut à cet égard