Politique Keynes Ou Monétariste

Politique La politique monétaire s'entend de nombre de mesures gouvernementales conçues pour avoir une incidence sur les marchés financiers et les conditions de crédit, dans le but final d'influencer l'économie nationale. Au Canada, la politique monétaire relève de la BANQUE DU CANADA, une société de la Couronne qui met en oeuvre des décisions stratégiques, en grande partie grâce à son pouvoir de modifier la masse monétaire canadienne. La masse monétaire correspond à la partie du patrimoine financier

fer. Cette domination directe est également perceptible dans l’empire ottoman où les infrastructures sont financées par les capitaux anglais, français ou allemands. L’impérialisme se caractérise par une importante souveraineté  une pression politique. Celle – ci peut être très forte & aller jusqu’à l’intervention militaire. Exemple : guerre de l’Opium. 3. Étude de cas. (Voir la Route de la Soie) B. 1850 – 1945 : révolution industrielle & libre échange ; le repli de l’entre – deux –

budgétaire peut avoir son utilité. 1 – LA REDUCTION DU DEFICIT BUDGETAIRE FRANCAIS EST UN IMPERATIF ECONOMIQUE A – LA THEORIE LIBERALE CONDAMNE LES DEFICITS BUDGETAIRES Phrase introductive = Pour les libéraux (classiques, néo-classiques, monétaristes…), le marché est l’institution qui régule le mieux l’économie. Toute intervention de l’Etat, au-delà de ses missions d’Etat-Gendarme (armée, police, justice), perturbe les lois du marchés et ont plus d’effets négatifs que positifs pour l’économie

des administrations publiques ont généralement un besoin de financement. 2.1. L’épargne des ménages TP pages 84, 85 Activité 1 L’épargne est l’excédent de revenu par rapport à la dépense de consommation. La définition est la même chez Keynes et dans la comptabilité nationale ce qui montre l’inspiration Keynésienne de la comptabilité nationale. L’épargne nationale est la somme de l’épargne des différents secteurs institutionnels. Cependant on privilégie l’étude de l’épargne des ménages

(notamment dans le secteur agricole). La domination de l’Europe appartient au passé. • Keynes s’oppose aux exigences (françaises) de paiement de réparations par l’Allemagne Au lendemain de la PGM, représentant le Trésor britannique à la conférence de la paix de Paris, Keynes s’oppose à l’idée de faire payer) l’Allemagne des paiements de réparations excessifs (pour la France, « l’Allemagne paiera »). Pour Keynes, il faut reconstruire l’Europe, assurer partout une économie prospère, et non détruire

l'évitera pour lui préférer les monnaies étrangères. À l'inverse les vertueux auront une monnaie forte. C'est ainsi que les mécanismes du marché sanctionneront spontanément les mauvais politiques monétaires dans un cadre de changes flottants. À l'inverse, dans un système de changes fixes, le pays fort peut mener une politique inflationniste et des dépenses somptuaires tout en vendant ses billets au-dessus de leur valeur à des pays qui ne peuvent pas les refuser, de sorte que le puissant impose sa loi au

C’est la question que tout gouvernement se pose : quelle politique économique conjoncturelle (c’est à dire à court terme) adopter, et pour atteindre quels objectifs ? Rien qu’en France, elles se sont succédées très rapidement depuis une dizaine d’années, avec la crise des subprimes au milieu de cette réflexion toujours délicate. Mais on peut aussi remonter plus loin. Entre les politiques de relance prônées par Keynes (visant à enclencher une reprise économique pour augmenter la demande

quantitative de la monnaie est elles-mêmes liées. La causalité vient de la base monétaire qui détermine elle-même le niveau général des prix (et donc le taux d’inflation). Cette vision domine le courant classique et néoclassique jusqu’au courant monétariste de Milton Friedman. Section 1 : La progression d’édification de la théorie quantitative de la monnaie 1.1 Les origines (Bodin, Ricardo) 1494 : Découverte de l’Amérique → Afflux d’or en Espagne et au Portugal La théorie dominante

Instrument politique La monnaie peut permettre de régler ou générer les conflits. Les rôles de la monnaie dans l’économie Trois types de théories pour expliquer le rôle de la monnaie dans l’économie. La théorie libérale Les libéraux voient la monnaie en tant que voile, ils parlent de la neutralité de la monnaie, selon eux, elle n’a pas de conséquences sur l’économie. Il n’y a donc pas d’intervention à avoir. Le pouvoir individuel est à l’honneur. La théorie Keynésienne Keynes explique

subventions passives aux chômeurs) et en donnant la priorité aux activités productives (investissement en infrastructures et en capital humain et politiques actives d'emploi). Il convient aussi « d'alléger les impôts et les cotisations sociales, tout en rendant le système d'imposition plus favorable à l'emploi » [...]. Il s'agit clairement d'une politique économique destinée à favoriser l'offre sans alternative possible et semblant exclure toute action différenciée selon la conjoncture. [...]. Une