Politique Monetaire Keynes

Macroeconomics, Wiley-Blackwell, 2009 • Lectures en anglais, cours en français • Examen final: 70%; rapport sur un pays: 30% Printemps 2012 Introduction - Monnaie et Finance Internationales 3 Objectifs 1. Compréhension de l’environnement monétaire et financier international – Exemple: lire le Financial Times, The Economist 2. Apprentissage ou revue de concepts théoriques de base 3. Perspective historique 4. Utilisation de modèles macroéconomiques Printemps 2012 Introduction - Monnaie

Inflation, politique monétaire, politique budgétaire, politique conjoncturelle, chômage, demande globale Rappels première : Inflation : Perte du pouvoir d'achat de la monnaie qui se traduit par une augmentation générale et durable des prix. Politique monétaire : Action sur la situation économique au moyen de la quantité de monnaie en circulation et des taux d’intérêt. Politique budgétaire : Action sur la situation économique au moyen du budget de l’Etat. Politique conjoncturelle : Politique économique

 Economie monétaire approfondie Interrogation : Jeudi 8 décembre de 12h à 14h, de 1h30, Amphi 3 et 5. Pas de td cette semaine. Matière au cœur de l’actualité de 2 points de vue : -Aspect conjoncturel : crise monétaire, bancaire et de la dette en Europe, crise économique et de la dette aux EU. Politique monétaire assouplie Mesure non conventionnelles -Aspect théorique : la monnaie, le système bancaire et financier jouent un rôle crucial dans l’économie. Intensification de la recherche

Faut-il une politique budgétaire ? Remarques liminaires pour analyser le sujet : il s’agit de comprendre le sens du verbe à valeur normative falloir, autrement dit pourquoi faudrait-il une politique budgétaire dans le cadre de l’UE ou plus restrictivement dans l’Euroland ? D’autre part la formulation du sujet révèle l’absence d’une réelle politique budgétaire c'est-à-dire d’une politique active dans le domaine. Ici la question budgétaire doit à notre sens être entendue tant au niveau fédéral

l’emprunteur au prêteur. Pour les néoclassiques, le taux d’intérêt est la rémunération de l’abstinence : celui qui prête renonce à une consommation immédiate pour épargner. Le taux d’intérêt devient le prix du temps, la récompense de l’attente. Pour Keynes, le taux d’intérêt est la récompense de la renonciation à la liquidité. « Il mesure la répugnance des détenteurs de monnaie à aliéner leur droit d’en disposer à tout moment ». Il conduit les agents à arbitrer entre actifs liquides (généralement préférés)

lorsqu’une banque octroi de nouveaux prêts de se refinancer, autrement dit d’emprunter ou d’acheter de la liquidité. La monnaie créée par des banques de second rang qui est de la monnaie scripturale est donc un multiple de ce que l’on appelle une base monétaire ou monnaie banque centrale. Dans le cas où une banque aurait un besoin plutôt exceptionnel de liquidités, alors c’est le taux de facilité de prêt marginal qui va lui être appliqué. Dans le cas contraire où une banque dépose de manière exceptionnelle

UNE POLITIQUE DE RELANCE EST-ELLE SOUHAITABLE AUJOURD'HUI EN FRANCE? A la suite de la crise debutèe en 2008 notamment dans les pays europèens, les économie des pays toucès par cette crise subissent un ralentissement de leur croissance economique. A ce point le pouvoir public prend des décisions concernant l'èconomie du pays en question afin de trouver la solution la plus adaptèe a ce type de problème, et parfois le gouvernement peut aboutir à la mise en place d'une politique de relance comme

l’intervention de l’Etat dans la régulation de l’économie ne date pas de nos jours. En effet, la pensée de l’économiste britannique JOHN MAYNARD KEYNES (1883-1946) soutenait que l’intervention de l’Etat était importante dans le sens où ce dernier devait jouer un rôle capital dans l’activité économique d’un pays. L’Etat doit représenter l’intérêt général d’un pays et la politique économique de ce dernier doit pouvoir maintenir en équilibre la consommation et l’investissement afin de d’avantager la croissance et

flexibiliser le marché du travail. I.) Facteur important pour résoudre les problèmes d’emploi : la croissance A. Keynes (schéma et explication) L’augmentation du niveau de production engendre une hausse du niveau d’emploi et par conséquent baisse taux de chômage B. Relancer la croissance : politique budgétaire expansive (Etat avec les grands travaux) et politique monétaire expansive (BCE, taux directeur) II.) La croissance est un facteur important mais pas suffisant A. Analyse théorique

L’augmentation de la qualité des biens conduit à surestimer l’inflation. 10. La vitesse de la monnaie dépend du réseau routier d’un pays. 11. Selon Keynes, l’offre crée sa propre demande. 12. Les États-Unis sont à l’origine de la crise qui a frappé le Canada en 2008. 13. 14. 15. 16. 17. 18. La cible d’inflation de la Banque du Canada est entre 2 et 4%. 19. Une politique de relance consiste à stimuler l’offre. 20. Vrai Faux Exercice 2. Questions courtes, réponses courtes. (30 points) 1. Qu’est-ce qu’un