Politologue

avait vu sa courbe de popularité augmenté fortement au cours de la cohabitation ne s’est plus présenté comme le candidat de la gauche mais comme celui de la « France Unie » : cela lui a permis de récupérer des voix centristes. De même, plusieurs politologues indiquent qu’approximativement un tiers de l’électorat du FN n’a pas reporté ses voix sur Jacques Chirac. La cohabitation a donc été un échec pour la droite alors qu’elle représente une revanche sur la gauche. Cf. Annexe 3. III- Les enseignements

Commentaire de Français : Médecin, romancier, et politologue français, Jean-Christophe Rufin voit le jour en 1952 à Bourges. Docteur en médecine et diplômé de l’Institut d’études politiques, il est président d’Action contre la Faim, ancien administrateur de la Croix Rouge Française et ancien vice-président de Médecins Sans Frontières. Sa connaissance du terrain l'a conduit à analyser le rôle des ONG dans les conflits humains, notamment dans l'essai Le piège humanitaire(1986), et le roman Les causes

cette dernière remarque caractérise les actions collectives réactionnaires : les valeurs qu'elles défendent n'ont jamais existé historiquement, elles ne sont qu'une construction moderne qui tire sa légitimité d'un passé imaginaire. D'ailleurs, les politologues nous apprennent que si l'Histoire bégaie parfois, elle ne se répéte jamais à l'identique. CLL° : L'action collective est le plus souvent un moteur du changement social mais, lorsque le changement social s'éloigne d'une forme d'optimum parétien

puissance de l’administration (I) aussi bien qu’un miroir de ses failles (II). I L’unilatéralité de l’acte administratif unilatéral, source de puissance de l’administration : A/ L’unilatéralité, une idée de pouvoir : Selon Robert Dahl, politologue américain, « A exerce un pouvoir sur B dans la mesure où il obtient de B une action Y que ce dernier n’aurait pas effectué autrement ». Or, l’acte administratif unilatéral correspond à cette définition en un sens. L’acte administratif unilatéral

superpuissance. Les USA sont désormais les seuls à combiner puissance économique, le «  hard power » (= la puissance militaire et la capacité d’intervenir partout sur la planète) et le « soft power » (= l’influence culturelle), à tel point que le politologue Francis Fukuyama parle de la « fin de l’histoire », c’est-à-dire la victoire finale du libéralisme sur tout autre idéologie. * 1991 : USA interviennent sous le mandat de l’ONU pour libérer le Koweït envahit par l’Irak en 1990. Cette première

titulaires de cette souveraineté puisqu'elle oppose deux théories conceptuelle ment opposées : la souveraineté populaire et la souveraineté nationale, qui ont été théorisées au Siècle des Lumières en Europe Occidentale par différents philosophes et politologues. Nous pouvons alors nous demander de quelle manière la souveraineté démocratique s'exprime-t-elle à travers ces deux théories ? Afin de répondre à cette question, il s'agira en premier lieu de développer la notion de souveraineté populaire et

désormais le haut du pavé ? C’est aller un peu vite s’agissant d’une élection "défouloir" par excellence, dans laquelle chaque électeur sait que le résultat ne changera rien dans l’Hexagone. "Quant au positionnement du Front national, explique le politologue Dominique Reynié - auteur de "Populismes, la pente fatale"- il a opéré une reconversion tactique vers une sorte d’étho-socialisme ou de chauvinisme social". Il y a néanmoins une autre lecture possible. S’agissant de l’Europe, face à la crise

têtes actives (environ 1 000 en réserve ou en attente d'assemblage) ; la Chine : 410 têtes actives ; la France : 350 têtes actives, chacune 10 fois plus puissante que celle d'Hiroshima ; la Grande-Bretagne : 200 têtes actives. Les politologues les désignent par le terme de « club nucléaire ». Ces pays sont aussi exactement ceux qui sont membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies. Trois pays, non-signataires du TNP, sont soupçonnés de disposer d'armes nucléaires, on

savoir qur un sujet donné quel est l’état de l’opinion, car une démocratie suppose bien sûr la confrontation des idées. Mais aussi le sondage permet d’évaluer et de faire progresser son opinion. Le chercheur, qu’il soit historien, sociologue, politologue c’est un moyen d’intégrer le citoyen dans ses travaux. 2. Une révolution, un coup de génie L’opinion publique : C’est avec la Révolution française de 1789 et la diversification des opinions individuelles exprimées soit la confrontation

L’affrontement Est-Ouest (1947-1991). La période est marquée par la guerre froide selon l’expression popularisé par le politologue américain Walter Lippmann c’est une situation où américains et soviétiques se considèrent comme des adversaires mais évitent un affrontement militaire direct qui entrainerait un conflit mondiale. PB : comment deux état alliés on pu devenir en quelques mois des ennemis ? Pourquoi leur affrontement a-t-il était le principale moteur des relations internationales