Polybe

années 280, « les Romains avaient achevé de soumettre les Samnites et les Étrusques (...) ils songèrent alors pour la première fois a étendre leur conquête au reste de la péninsule ». Cette volonté expansionniste, ainsi exprimé par l'historien grec Polybe ( 208 126 avant JC), qui se manifeste suite aux succès décisifs acquis par Rome à l'issue de la troisième guerre samnite, se heurte à la résistance des cités grecques du sud de l'Italie dont Tarente. Celle-ci bénéficie de l'appui du roi d'Epire Pyrrhos

est également effective en Messénie¸ elle aurait donc été continuée par le roi Polydore qui a conduit les Guerres de Messénie Plutarque, dans La vie de Lycurgue combine à ce sujet plusieurs traditions. Il parle de territoire civique de Sparte. Polybe, historien de l’époque romaine, dans le Livre VI apporte des informations : il dit que chacun a une part égale de terre publique. On s’est d’abord fié à Plutarque. Mais celui-ci donne également deux autres versions contradictoires. Il dit à propos

dans un même domaine. Cette union permet de créer une grande propriété. Elle permet également de garder les miens familiaux dans la même famille et même de les agrandir. Les mariages entre les même membres d’une famille sont très répandus. D’après Polybe, Léonidas ou encore Archidamos se sont mariés avec une fille de leur famille. De plus, la corruption est aussi présente à Sparte. Effectivement, quand un citoyen est condamné à l’anomie, sa terre revient dans son intégralité à l’état. L’état doit

Introduction Suite à la destruction de Carthage, il ne reste que très peu de sources historiques primaires carthaginoises. Si aujourd’hui nous connaissons l’histoire de Carthage, c’est grâce aux textes qu’ont écrits les auteurs romains et grecs comme : Polybe, Tite-Live ou encore Plutarque. Cependant les auteurs de ces textes font partis du camp des ‘vainqueurs’ ce qui suppose que leurs récits ne sont pas entièrement vrais sur certains points de ce conflit opposant Rome à Carthage. Voila pourquoi il me

monde contemporain, et de travailler à un roman dont l’action se situe trois siècles avant Jésus-Christ. En avril-juin 1858, il séjourne à Tunis pour s’imprégner du cadre de son histoire. Si l’intrigue est une fiction, il se nourrit des textes de Polybe, Appien, Pline, Xénophon, Plutarque, et Hippocrate pour peindre le monde antique et bâtir la « couleur locale ». Dès sa parution en 1862, le roman connaît un succès immédiat, en dépit de quelques critiques réservées (Charles-Augustin Sainte-Beuve)

démocraties représentatives et nous montrent le caractère mixte et flexible de nos démocraties. La représentation ne comporte donc pas seulement des éléments démocratiques, nos démocraties représentatives ont un caractère mixte (d’après Aristote et Polybe) flexible mais stable. Cependant, la démocratie représentative peut poser problème, notamment en rapport avec l’élitisme, c’est ce que nous allons voir dans notre deuxième sous-partie. B : Les limites de la démocratie représentative, une «crise

* Selon le livre des Maccabées, le but des hellénistes est d’abolir le judaïsme, c a d la Torah * Les raison proposées sont multiples * Folie du roi ? * Antiochos IV était mal vue des juifs et des auteurs classiques tels que Polybe * Il aurait persécuté pour se débarrasser des gêneurs * En réalité, rien dans sa politique n’accrédite la thèse de la folie * Ce trait de caractère pourrait justifier la brutalité de la persécution et non la persécution

intervient. En effet l’enquêteur se révèle être le coupable, forme de procès inversé où l’accusé se condamne lui-même. C’est donc un premier coup de théâtre avant le bousculement final où le messager apprend à Œdipe qu'il n'est pas le fils naturel de Polybe et de Mérope. Comme a dit Aristote : "Le coup de théâtre est le renversement qui inverse l'effet des actions, et ce, suivant notre formule, vraisemblablement ou nécessairement. Par exemple dans Œdipe quelqu'un vient pour réconforter Œdipe et le délivrer

quelle était la nature du système politique romain. Est-ce une aristocratie, démocratie ou monarchie ? Cette question a amené, en particulier au IIe siècle av JC, un historien, philosophe, grecque résidant à Rome a observé les institutions de Rome, et Polybe a défini Rome comme un régime mixte, soit un régime est à la fois une aristocratie, démocratie, et une monarchie. Il dit que c'est un système idéal à la recherche de l'équilibre mais toujours en mouvement. Il montre que selon l'institution sur laquelle

voyage, les autres contraindre le pilote à toucher terre ; les uns déploient les voiles, les autres ordonnent de les ramener. Leurs disputes offrent un spectacle honteux à ceux qui les regardent de l'extérieur et mettent en danger leur propre sécurité. Polybe, Histoir e , VI, 44. IIe siècle av. n. ère. Democracy is two wolves and a lamb voting on what to have for lunch. Liberty is a well-armed lamb contesting the vote. Benjamin Franklin The best argument against democracy is a five-minute conversation