Polybe

événements qui ont marqué l'humanité. Les Guerres Médiques sont les premiers faits historiques à être considéré comme le début de l'histoire au sens où nous la connaissons actuellement. Depuis l’œuvre d'Hérodote et de Thucydide jusqu'à celle de Polybe, et c'est pendant cette période qu'est la Grèce classique que la production historique prendra son essor dans un contexte culturel bien spécifique, celui de l'hellénisme même si on sait que par cette époque beaucoup d'ouvrages ont été réduits en

la nature du régime qui s’installait à Rome à la sortit de la royauté. Il y a une influence sur les institutions républicaines. C'est plus tard, lorsque Rome c’est imposé comme puissance, elle reçoit l’admiration des grecques. L’historien grec Polybe illustre cela. La puissance conquérante de Rome, capable d élargir ses frontières, la solidité de cette cité, et de la cohésion de ces citoyens. Au cours de l histoire la république romaine a pu passer pour modèle lors de la révolution Française

représentatif combine des éléments démocratiques et des éléments non-démocratiques. C’est pourquoi, il le caractérise comme une forme de gouvernement « mixte », en s’inspirant de l’idée de constitution mixte des Anciens, qui remonte à Aristote et à Polybe. III. Critique du livre Selon Bernard Manin, on assiste aujourd’hui à l’entrée de la société dans une nouvelle ère : celle de la démocratie du public, dans laquelle apparaissent de nouvelles élites, spécialistes de la communication, car à notre

et leçon (l.49, p.191 ; l.59, p.191 ; l.65, p.193 ; l.79, p.193 ; l.238, p.201). * Il y a également retour aux textes de grecs qu’on remarque grâce aux énumérations de toutes ces lectures : « Pline, Athénée, Dioscoride, Galien, Porphyre, Opien, Polybe, Héliodore, Aristote, Elien et d’autres » (l.73-75, p.193) + l.220-222, p.201. b. De nombreuses matières * Il y a bien entendu une instruction religieuse, qui commence dès son lever (« pendant qu’on l’astiquait, on lui lisait une page de

Introduction Suite à la destruction de Carthage, il ne reste que très peu de sources historiques primaires carthaginoises. Si aujourd’hui nous connaissons l’histoire de Carthage, c’est grâce aux textes qu’ont écrits les auteurs romains et grecs comme : Polybe, Tite-Live ou encore Plutarque. Cependant les auteurs de ces textes font partis du camp des ‘vainqueurs’ ce qui suppose que leurs récits ne sont pas entièrement vrais sur certains points de ce conflit opposant Rome à Carthage. Voila pourquoi il me

vanité d’autant plus impérieuse qu’elle est plus sotte  ». Il est intéressant de relever qu’il qualifie le peuple comme modéré. Il se place alors en rupture avec nombre d’auteurs l’ayant précédé, notamment ceux qui comme Guichardin ou Polybe ont une affection prononcée pour l’aristocratie. II/ Les cantons suisses comme illustration de l’échec américain et comme exemple à suivre pour la FranceMably utilise à profusion le contre-exemple de la Confédération Suisse pour étaler sa

de la République romaine a toujours intéressé de nombreux historiens : on cherche à savoir la nature de ce gouvernement, mais surtout comment et pourquoi est-il mort. Dès l’Antiquité on tente de trouver des réponses à ces questions. C’est le cas de Polybe par exemple, mais aussi Salluste. Celui-ci serait né autour de 86 avant J.C à Amiterne en Sabine, dans une famille de notables locaux ; il est mort en 35 avant J.C. C’est donc un témoin de la chute de la République : pendant son enfance, il est marqué

monde contemporain, et de travailler à un roman dont l’action se situe trois siècles avant Jésus-Christ. En avril-juin 1858, il séjourne à Tunis pour s’imprégner du cadre de son histoire. Si l’intrigue est une fiction, il se nourrit des textes de Polybe, Appien, Pline, Xénophon, Plutarque, et Hippocrate pour peindre lemonde antique et bâtir la « couleur locale ». Dès sa parution en 1862, le roman connaît un succès immédiat, en dépit de quelques critiques réservées (Charles-Augustin Sainte-Beuve)

d’une flotte militaire permanente. A partir de 260 avant JC, elle est pourtant capable de fournir un effort sans précédent qui lui permet d’engager les plus grandes batailles navales de toute l’antiquité pour finalement triompher sur mer. D’après Polybe, les romains avaient, pour construire leurs premiers bateaux, capturé une quinquérème de Carthage pour la reproduire à l’identique. Ils élaborent même des techniques très particulières qui surprennent leurs ennemis, comme les bateaux corbeaux, utilisant

donc un processus […] qui induit plus de mondial, de “mondialité”. » Olivier Dollfus, Christian Grataloup, Jacques Lévy, « Trois ou quatre choses que la mondialisation dit à la géographie », L’Espace géographique, 1999, tome 28, n° 1, p. 2. Polybe, au IIe siècle av. J.-C., déclamait : « Avant, les événements qui se déroulaient dans le monde n’étaient pas liés entre eux. Depuis, ils sont tous dépendants les uns des autres. » L’auteur faisait dès l’Antiquité le constat que le Monde, tel qu’il