Polyphème

dans le détroit de Messine (entre l'Italie et la Sicile) deviennent dans le récit d'Ulysse au chant XII l'abri de deux monstres, Charybde et Scylla, terreur des marins. On trouve donc ici une personnification du relief. L'oeil unique du géant Polyphème pourrait aussi être la représentation du cratère d'un volcan. On a d'abord penser à l'Etna en Sicile puis au Vésuve en Campagnie (Italie). La réalité géographique est prétexte à la transformation allégorique si on compare l'oeil du cyclope qui grésille

Poséidon-> Dieu de la mer+ennemi d’U depuis que ce dernier a mutilé son fils Polyphème Télémaque-> Fils d’U. c’est avec lui que commence l’O. puisqu’il part à la recherche de son père Pénélope-> Epouse d’U. Calypso-> Nymphe habitant le «Nombril des Mers» qui garde U. auprès d’elle 7 ans Nausicaa-> Princeese Phéacienne Alcinoos-> Roi des Phéaciens qui demande à U. de faire partager ses aventures Polyphème-> Cyclope mangeur d’homme, à qui U. échappe par la ruse Circé-> Magicienne

qualités, telles que le courage, ‘armé de son grand glaive de bronze a éperons d’argent’ et le sentiment du devoir : ‘moi; j’irai la nécessité puissante m’y contraint’ (Chant X, V 274). Dans un autre Chant tel que le Chant IX, le héros affronte Polyphème, le cyclope en usant de ruse et de bravoure. Il arrive finement à évincer le cyclope en lui enfonçant un pieux dan l’œil et à délivrer ses compagnons, en les cachant sous le ventre des moutons, lorsque le cyclope devenu aveugle les cherche. Ulysse

Dans une version du mythe, les Cyclopes sont tués par Apollon après que Zeus a tué son fils, Asclépios, avec l'arme forgée par les Cyclopes, alors que ce dernier avait ramené à la vie plusieurs morts. La seconde famille de cyclope est celle de Polyphème exemple, qui était le fils de Poséidon et de la nymphe Thoosa. Ce malheureux fut aveuglé un peu plus tard Ulysse qui lui creva son œil unique. Cyclopes pasteurs Les Cyclopes pasteurs incarnent une génération tardive, loin d'être aussi brillante

protégé pour « le mensonge et les fourbes discours ». En effet, Ulysse est également un incorrigible menteur. Il ment au Cyclope avec des « mots aussi doux que du miel » (chant IX, v. 363) et le trompe ainsi sur sa situation et son identité. Polyphème considère alors Ulysse comme « un petit homme, un lâche, un rien du tout... » offrant ainsi un portrait inattendu du héros. De retour à Ithaque, Ulysse fait à Athéna, alors déguisée en berger, un récit où se mêlent mensonges et détails empruntés

leur offre leur nourriture : le lotos. Mais quiconque mange de ce fruit ne désire plus repartir, et Ulysse doit ramener de force aux navires ceux de ses compagnons qui en ont goûté. Ulysse et Polyphème Ulysse et ses marins naviguent ensuite vers l'île des Cyclopes où ils sont faits prisonniers par Polyphème qui dévore plusieurs d'entre eux. Ils parviennent à s'échapper grâce à une ruse d'Ulysse, qui enivre le Cyclope à l'aide du vin pris chez les Cicones, puis perce l'œil unique du monstre pendant

grec qui aurait vécu au VIIIe siècle avant J.-C. Dans l'Odyssée, Homère raconte les aventures d’Ulysse, l'« homme aux mille ruses », lors de son voyage de retour vers Ithaque, son île natale. Parce qu’il a aveuglé le fils de Poséidon, le Cyclope Polyphème, Ulysse est poursuivi par la colère du dieu. L'Odyssée décrit les obstacles qu’Ulysse doit surmonter pour rentrer chez lui. Sur ce vase, on le voit résistant au charme des sirènes. Une frise de méandres encadre la scène. II – Analyse de l’oeuvre

ne s’est vu poursuivi de la haine d’un dieu aussi longtemps, mais aucun n’a non plus survécu à autant d’épreuves qui repoussent sans cesse le retour à Ithaque. Poséidon déchaîne une violente tempête contre Ulysse car celui-ci a aveuglé son fils, Polyphème, le cyclope, fils du dieu des mers. Une autre rencontre qui se soldera par une défaite est celle du Soleil, qui provoque par représailles le naufrage du navire d’Ulysse et la mort de tous ses compagnons avant l’arrivée chez Calypso car ceux-ci, affamés

: La fonction narrative La représentation du monstre exige une description physique, qui introduit des pauses dans le récit. Grâce à un travail distinguant portrait physique et moral (en s’appuyant par exemple sur les descriptions du Cyclope Polyphème et des Sirènes), on pourra faire écrire aux élèves le portrait d’un monstre de leur invention. La fonction symbolique Le monstre est l’incarnation du mal, de ce que la civilisation rejette. Par opposition, il permet aussi une définition du héros

monde civilisé. L'étranger est vu comme un Dieu métamorphosé sous la protection de Zeus qui met au défi les hommes. Il faut donc bien l'accueillir et le traiter. Ulysse apparaît ainsi aux yeux des Phéaciens mais aussi lorsqu'il se présente à Polyphème. Grâce à la manière de recevoir, on distingue les « violent, sauvages et sans justice » des « hospitaliers craignant les Dieux » qui vénèrent presque leur hôte. L'hospitalité s'accompagne d'un rituel: se mettre à genoux devant l'hôte et attendre