Polythéisme

changé de formes, et dans tous les cas, ils se sont imposés face aux changements sociaux et religieux, car les contes de fées ont pris une grande ampleur au niveau de la religion, des pratiques et des usages qui révèlent un attachement certain au polythéisme. Comme le soutien Bruno BETTELHEIM en affirmant que les contes sont souvent basés sur des thèmes religieux, il prend en exemple Grimm, Les sept corbeaux, en pointant du doigt la scène de la cérémonie du baptême, qui annonce le début d’une existence

de tout horizon Voltaire réunit autour de la table des civilisations antiques : • Égyptiens et le culte du bœuf Apis 1er paragraphe + Discours Direct • Chaldéens et le culte du poisson Oannès 1er paragraphe + Discours Direct • Grecs : polythéisme → chaos = dieu grec → culture et rhétorique grec → Zadig loue l'éloquence du grec civilisations orientales : • Indiens : dieu Brahma • L'homme de Cambalu/ Cathaye : Le Li ou le Tien → almanachs (produits par les chinois) civilisation

solution (limite de l'utopie) : on ne peut être heureux que dans une société constituée d'heureux Éloge d'une religion déiste Religion vue comme un état supérieur de socialisation La description des rites rappelle les traditions antiques : polythéisme a des dieux/ dissociation fille-garcon/ ambiance joyeuse et bucolique « ornées de fleurs » « musique champêtre » « fête » « festin » Conclusion : Présentation d'une société utopique Bonheur, notion abondamment interrogé au 18eme

3 mars 2010 à 17 h 33 min Chère Madame, Je me permets de revenir vers vous avec deux questions sur Freud et le polythéisme: Freud voyait dans le monothéisme la religion du « surmoi », donc par simplification –j’ai bien lu de la différence entre surmoi inconscient et conscience morale- la conscience morale , par opposition aux polythéismes qui seraient des religions du « ça », des pulsions. Il considérait en conséquence Moïse comme le fondateur de la « Kultur ».

Et nous ne pouvons plus retomber en arrière. L’éloignement progressif de l’homme des dogmes, des positions figées est symbolisé par l’éloignement de D. Au temps de l’animisme, les dieux étaient dans la nature, proches de l’homme. Dans le polythéisme, les Dieux sont dans les montagnes, dans les religions monothéistes, D. devient silencieux (Psaume 21/22 de David, Esther et Jesus, le même crie : D., mon D., pourquoi m’as tu abandonné ?), Nietzsche parle de la mort de D., et le philosophe allemand

sémio - ............... ( grecque ) → signe → sémiologie télé - ............... ( grecque ) → au loin → télépathie , télévision thalasso - ............... ( grecque ) → mer → thalassothérapie théo - ............... ( grecque ) → dieu → polythéisme , théologie - thèque ............... ( grecque ) → lieu de rangement → bibliothèque , phonothèque thérap(eu) - ............... ( grecque ) → soigner → psychothérapie , thérapeute - thèse ............... ( grecque ) → action de poser → hypothèse

même : « Tout ce qui tourne autour de la spiritualité du musulman contemporain se résume dans un pauvre catalogue de commandements en forme de choix. Des dualités, comme islam/paganisme, enfer/paradis, gagnants/perdants, sauvés/damnés, unitarisme/polythéisme, tradition/innovation, sont récurrentes dans le discours dominant. Une vision binaire du monde. Ces quelques couples d’opposés ne sont-ils pas trop courts pour cerner la vie intérieure d’un être dans toute sa complexité ? [16]  » Hamid Zanaz s’inscrit

Feuerbach A. LE SENTIMENT RELIGIEUX 1) Une pluralité de religions Dès la Préhistoire, à travers le culte des morts, se fait jour un sentiment religieux qui, au fil du temps et des lieux, prend des formes très différentes : animisme, chamanisme, polythéismes (grec, romain, égyptien,…), monothéismes (judaïsme, christianisme, islam), sagesses à demi-religieuses (bouddhisme, taoïsme,…), déisme,….. Qu’y a-t-il de commun à toutes ces formes d’expression ? Qu’elle est l’essence du fait religieux ? 2) Le

diplomatie, la ruse à la guerre. Le roi de l’île dénommé Utopus, en établissant la liberté de conscience, inaugure la tolérance religieuse. La raison en est d’abord politique car le respect des religions garantit la paix sociale. Mais l’impiété et le polythéisme sont bannis d’Utopie. Le souci de More est de créer un Etat libéral qui permette de satisfaire les besoins et de faire respecter les droits de chacun. Utopia va influencer considérablement les autres villes imaginaires : propriété collective

impersonnelles      Extraordinaires Souvent maîtres de l’univers entier ou d’une partie (panthéon) Se transforment au gré des conquêtes et migrations Monothéisme (vidéo C’est pas sorcier : un dieu,trois religions! – 30 min.) Polythéisme Moïse (13e siècle av. J.-C. Jésus Mahomet (7e siècle) Vénérable céleste de la vertu – chef des immortels Chaos originel – perle - Vénérable de l’origine sceptre Brahma - Créateur Vishnu – le gardien Shiva transformateur