Polyurie

à lui seul, entraîner un amaigrissement par l’anorexie et les carences nutritionnelles induites.8 Avec signes associés Le diabète insulinoprive décompensé s’accompagne d’un amai- grissement important dont le mécanisme est la déshydratation par polyurie osmotique, vomissements et polypnée. Un syndrome polyuropolydipsique est évocateur. La glycosurie est massive et les glycémies en permanence élevées. Chez le diabétique traité, l’amaigrissement traduit soit une insuffisance de traitement soit une

vertiges, des maux de tète, une vision trouble, une sensation de faiblesse, des pertes d’équilibre et une sensation d’angoisse. Lorsqu’une situation d’hyperglycémie se prolonge, les signes suivants apparaissent : fatigue, soif, polydipsie, langue sèche, polyurie. De plus, il m’a été bénéfique d’assimiler pourquoi et comment adapter le traitement insulinique du patient grâce à l’UE 2.11 : Pharmacologie. Ensuite, ce soin s’inscrit dans une démarche éducative à l’auto surveillance dans un but d’autonomisation

d’agitation.La diurèse correspond au volume des urines émises en 24h, ce volume peut avoir des variations pathologiques tels que :· L'oligurie qui correspond à la diminution du volume d’urine émise en 24h, présent chez les personnes fiévreuses· La polyurie qui correspond à une diminution du volume d’urine· L’anurie qui correspond à l’absence de sécrétion d’urines, ce qui est très grave. · Qu’est-ce qu’un sondage urinaire ? et pourquoi le réaliser ?Le sondage urinaire est un

laissée sous sédation (pour protectiob cérébrale), avec surv accrue neuro et notamment les réflexes neuro du tronc cérébral : réflexe cornéen, ROC …  Risque très imp de passage en mort cérébrale → cliniques à surv :  Instabilité hémodynamique, polyurie → le patient fait son « orage » => arrêt des sédations  Abolition des réflexes :  Photomoteurs = mydriase bilatérale  Cornéens (utilisation de SSI que compresses (douces) pour éviter lésion cornée  occulo-céphalogyres (à ne pas faire

incomplète frappant une moitié du corps, gauche ou droite PNEE : respiration Bradypnée : ralentissement de la respiration POLLAK : souvent Pollakiurie : fréquence exagérée des envies d’uriner, en petite quantité POLY : beaucoup/plusieurs Polyurie : sécrétion d’urine en quantité importante Polypnée : respiration rapide et superficielle Polydipsie : soif excessive Polyarthrite : arthrite frappant plusieurs articulations POST : après Post opératoire ; après l’opération Post prandiale :

|X | | |60% des cas | | | |Une polyurie per-critique se produit souvent après une crise de tachyarythmie par fibrillation | | | |auriculaire ? |

appelé autrefois diabète juvénile, est remarquable par son début brutal : - Exagération anormale de la sensation de soif, poussant le malade à boire en grande quantité (polydipsie) associée à une augmentation de volume des urines émises par 24 heures (polyurie). -Exagération anormale de la prise d'aliments, habituellement liée à une exagération de l'appétit (polyphagie). -Amaigrissement et asthénie (affaiblissement prononcé de l'état général accompagné d'une baisse de la vitalité de l'organisme) chez un

viraux et auto immunes (destruction des îlots de Langerhans par les anticorps de l'organisme). Les circonstances de découverte sont souvent plus aiguës que pour un diabète non insulinodépendant. Ce peut être une déshydratation faisant suite à une polyurie-polydipsie (urines très abondantes et soif intense), ce peut être des troubles du comportements, un coma, parfois favorisés ou révélés par une infection intercurrente (grippe, gastro-entérite... ) : c'est les comas acido-cétosiques ou hyperosmolaire

non insulinodépendant : Il y a une résistance aux actions de l’insuline. Mis en évidence chez les personnes adultes. Entre 85 et 95 % des cas de diabètes, souvent associés à l’obésité (on parle de diabète de type gras). Les signes évocateurs : Polyurie (envie d’uriner très fréquente). Polydipsie (soif importante). Perte de poids (type I). Prise en charge : Diabète type I : Insulinothérapie par injection pour limiter les hyperglycémies. Diabète type II : Activité physique, recommandations diététiques

riche en calories, en graisses saturées et en sucres d'absorption rapide (=obésité). Facteur environnemental : sédentarité, absence d'activité physique. Aspects cliniques du diabète de type 1 (insulino-dépendant) Symptôme polyuropolydipsique ou polyurie : personne qui urine souvent. Amaigrissement (10 kg en l'espace d'un mois). La polyphagie : besoin de manger tout le temps. Hyperglycémie : glycémie constamment > 2g/L. Glycosurie : présence de sucre et d'acétone dans le sang. Hémoglobine glycolysée