Ponce Pilate

vérité ? « Je suis la Vérité, la Vie et le chemin ». Le Christ Qu’est-ce que la vérité ? C’est par cette question célèbre que le gouverneur romain Ponce Pilate a interpellé Jésus que venait de lui livrer le grand prêtre Caïphe. « Je suis la Vérité » lui a répondu Jésus. La réponse énigmatique du Christ a laissé Ponce-Pilate perplexe car ce dernier s’attendait à une rponse plus « classique ». Dans la pensée gréco-romaine marquée par le rationalisme d’Aristote la vérité est une notion

------------------------------------------------------------------------- ‘’Les petits plats dans les grands’’ Poème C’est une parodie de la Cène vue comme « un grand dîner de Première Communion », qui réunissait notamment « le cousin Ponce Pilate » et « l'oncle Sam » et où « On n'attendait plus que le père Ubu Soudain la porte s'ouvre Et c'est le père Éternel qui entre C'était le même 

contrairement à Aristote, séparer autant la dialectique de la sophistique et de l’éristique puisque cette différence repose sur la vérité objective matérielle dont nous ne pouvons rien savoir de précis à l’avance et sommes bien forcés de dire avec Ponce Pilate : qu’est-ce que la vérité ? - car veritas est in puteo (έυ βυθώ ή άλήφεια), maxime de Démocrite (Diogène Laërce IX, 72). On a beau jeu de dire que dans la controverse on ne doit viser à rien d’autre qu’à faire surgir la vérité ; le problème, c’est

sophistique et l’éristique de la dialectique comme le fait Aristote puisque la différence qu’il pointe repose sur la vérité objective et matérielle. Or la certitude n’est pas discernable avant la discussion et nous sommes contraints de dire, comme Ponce Pilate : « Qu’est-ce que la vérité ? » Car veritas est in www.schopenhauer.fr 13 | L ’ a r t d ’ a v o i r t o u j o u r s r a i s o n Les règles par lesquelles il définit la dialectique sont parfois mélangées avec celles définissant la logique. Il

|-Imagine que ton influence est négligeable. |-N'accepte jamais de succomber aux insidieux. | |-Tu n'es qu'un des milliards. |-Ne te satisfais pas du rôle Ponce Pilate. | |-Tu comptes pour un. |Ne dis jamais : Je n'y peux rien ou je n'y suis pour rien. | …/… …/… Le quatrième paragraphe : l'idée dominante

10 Si l’Inquisition1 existait encore (horresco referens !) un nouveau bûcher serait allumé pour m’apprendre, une fois pour toutes, que la Vérité n’est pas toujours bonne à dire ! C’est pourquoi le Christ n’a pas répondu à la question de Ponce Pilate : « Quod est veritas ? ». C’est une preuve divine que la Vérité n’est pas toujours bonne à dire. Au surplus, les preuves historiques formeraient des centaines de gros volumes. Voilà la raison pue et simple du véritable « secret » des Loges initiatiques

chrétiens. Si l’Inquisition1 existait encore (horresco referens !) un nouveau bûcher serait allumé pour m’apprendre, une fois pour toutes, que la Vérité n’est pas toujours bonne à dire ! C’est pourquoi le Christ n’a pas répondu à la question de Ponce Pilate : « Quod est veritas ? ». C’est une preuve divine que la Vérité n’est pas toujours 1 N’en déplaise à la mémoire du Maître Panagion (nom mystique d’Armand Toussaint) non seulement l’Inquisition

conquises ont de nombreuses caractéristiques propres. Cela va permettre que les nations conquises restent indépendantes. Le ius gentium, c’est à la fois dire : il y a un droit romain mais aussi des domaines dans lesquels Rome n’intervient pas. Ex. : Ponce Pilate. Mais avec des limites : monnaie, économie, tout le monde paie ses impôts à César, etc. Attention, s’il reste des ruines de temples romains au Maghreb ce n’est pas du à une « colonisation religieuse » mais les romains sur place ont aussi droit

plusieurs cultures qui vont forger une identité particulière à la ville grâce aux Maures. 1-Les grands monuments L’auteur insiste sur description des maisons notamment celle des Médina Celi qu’il qualifie de palais, sorte de réplique de la demeure de Ponce Pilate. L’alcazar : le palais royal de la ville. Edifices religieux, ce qu’il y a de plus beau, c’est l’église. Cathédrale de Séville (construite à l’emplacement de l’ancienne grande moquée, comporte des piliers, des voûtes qui s’élèvent très haut. Tour

à l’année de JC. Jésus affirme la distinction de la foi et de l’Etat, il y a une distinction entre le pouvoir religieux et spirituel. Le récit de la Passion (de la Cène à la crucifixion), les soldats romains se moquent de lui en tant que roi. Ponce Pilat interroge Jésus sur sa qualité de roi, celui-ci répond que sa royauté n’est pas de ce monde. Jésus refuse d’être pris pour le restaurateur de l’Etat Judaïque, il n’est donc pas le messie juif. Jésus affirme lors de sa crucifixion une royauté céleste