Ponge La Bougie

Dans son poème, Ponge commence par faire de la bougie une étrange plante 1) qui semble, d’abord, fleurir d’une flamme, pour se faner et mourir d’elle-même. Sa flamme 2) est le lieu d’un combat entre obscurité et clarté, mais aussi d’attaques des insectes, attirés par la lumière et qui vont se brûler ou s’épuiser dans une lutte inutile. Enfin, 3) mourante, noyée dans son propre aliment, elle devient allégorie du vivant, représentation de l’esprit et de l’âme. Ce que retient, d’abord, le poète, de

F. PONGE, « La Bougie » Introduction Ponge nous plonge dans une exploration du langage autour de représentations qui convoquent tous les sens. Ou plutôt dans la description d’un objet d’une banalité déconcertante, dont il va bien vite s’écarter. Car ce poème en prose est une symphonie de perceptions, de mouvements et sensations, d’images. La réalité entraperçue à la lueur d’une bougie, c’est un autre monde, celui de la littérature. Dans un premier temps, nous étudierons

[alinéa 1 : entrée en matière] Francis Ponge se lance dans une entreprise de dépoussiérage et ce parti pris des choses est réussi à l'entrée... Donner congé aux séminaristes troubadours adeptes du dizain et de l'alexandrin et rimailleurs de petites ballades ou bluettes à refrain, voilà comment s'énonce l'ambition de ce défricheur. Francis Ponge, comme tous les grands poètes, cherche une vérité qu'il sait pouvoir trouver. Pour cela, il faut savoir prendre  des chemins égarés, comme on fait des mots

A. Boischio L ’écosanté porte fruit O. Betancourt É. Pinard C e n t r e d e r e c h e r c h e s p o u r l e d é v e l o p p e m e n t i n t e r n at i o n a l Pollution de l’environnement Les polluants environnementaux de tous genres contaminent l’eau, l’air et la terre mettant en péril les humains et les écosystèmes. De plus, ils sont souvent sources de conflit entre populations et industrie. En adoptant une approche écosystémique globale pour examiner les intérêts divergents

Français 18/04/2011 Hugo Commentaire littéraire 2°6 ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Francis Ponge est un poète français, né à Montpellier le 27 mars 1899 et décédé au Bar-sur-Loup, Alpes-Maritimes, le 6 août 1988 . Apres des études longues et mouvementées au lycée Frédéric-Mistral. Par la suite en 1915, il obtient la meilleure note de l’académie

Le cageot p.38 Le cageot est situé après les mûres et avant la bougie. Le cageot enferme la nature. Ponge prend pour point de départ un objet prosaïque. Il désigne une chose. Le cageot est le motif du poème. Il nous décrit le cageot. « Le » a une valeur généralisant, il va tenter de cerner l'essence du cageot. Ponge reprend la tradition du livre de choses et de l'ambition philosophique. Le titre est formé de trois syllabes. Trois paragraphes qui ont un volume croissant, ce qui peut correspondre

d'expression. Il se distingue des autres poèmes habituels principalement en raison du fait qu'il contient des procédés issus de la façon usuelle de parle. Le poème en prose contient des vers inégaux mais ne contient pas de rimes (exemple la bougie de francis Ponge : ombre ne rimes pas avec noir, ni avec stupeur et aliment) ni de strophes (exemple Ondine de Bertrand : ce n'est pas des strophes mais des longues phrases). Cette forme de poésie est plutôt assimilée à un texte, à une nouvelle ou à un récit

des choses», a été publié au milieu de la Seconde Guerre mondiale, en 1942 par Francis Ponge. Il s’agit de poèmes écrits en prose décrivant des « choses », des éléments du quotidien. Le poète nous fait remarquer que nous négligeons souvent l’importance des petites choses. Les poèmes choisis sont centrés sur des objets désuets, des plaisirs banals, redonnant aux petites choses leur importance capitale. Francis Ponge, dans « Le parti pris des choses » , montre sa sensibilité, son respect dans l’humour

Carnet de lectureLe parti pris des choses Francis Ponge.Introduction : Le Parti pris des choses est un recueil de poèmes écrit par Francis Ponge et paru en 1942. Ce recueil de poèmes en prose est dédiés à la description de ces « choses » qui peuplent le quotidien. Il souhaite rendre justice à la beauté de ces éléments du quotidien qui se distinguent par leur banalité qu’on leur donne. Comme le suggère le titre de son œuvre (parti pris des choses) il se détourne

· Le cageot  : personnification du cageot : le « cageot » se « voue » au transport des fruits. Il « luit » « sans vanité » et paraît « légèrement ahuri », « sympathique » · La bougie  : métaphore florale filée dans le poème : choix du vocabulaire associe la flamme à une « feuille d’or », « plante singulière »