Pont de Neuilly

novembre 1915 à février 1916. Dans le Caucase, en revanche, les Russes reprirent aux Turcs la plupart des territoires perdus. Pour apporter leur soutien à Belgrade, les troupes françaises et britanniques rapatriées des Dardanelles formèrent une tête de pont à Salonique (5 octobre), malgré l’opposition du roi Constantin Ier qui défendait la neutralité de la Grèce. Les forces austro-allemandes du général August von Mackensen envahirent la Serbie le 6 octobre avec l’aide de la Bulgarie qui déclara la guerre

 héritier  mâle,  «  Dés  la   naissance,  [écrit  Petitfils],  les  courriers  étaient  partis  pour  Paris  à  bride  abattue  annoncer  la   grande  nouvelle.  Arrivés  au  pont  de  Neuilly,  (…)  ils  firent  virevolter  longuement  leur  chapeaux  à   plumes  au-­‐dessus  de  la  tête  :  c’était  le  geste  convenu  pour  prévenir  ceux  qui  attendaient

amarrés à des pieux, sentant le charbon et le grain et le foin et les cordages mouillés. Et venant de l'ouest par cette unique coulée que traçait le fleuve à travers la ville, un large flux de vent amenait les odeurs de la campagne, des prés autour de Neuilly, des forêts entre Saint-Germain et Versailles, de villes lointaines comme Rouen et Caen, et même parfois de la mer. La mer sentait comme une voile gonflée où se prenaient l'eau, le sel et un soleil froid. Elle avait une odeur toute bête, la mer, mais

Birrell, Rotheroe et C ie , fabricants de machines en Angleterre (1867) ; - Blache (Ed.), auteur d’ouvrages sur la navigation (1862) ; - Blache, fabricant de velours à Lyon (1868) ; - Blanqui (Édouard), instituteur à Solliès-Pont (Var) et inventeur (1875) ; - Blatin (A.), député du Puy-de-Dôme : importations de gibier (1886) ; - Blondin, tanneur à Dieppe (1879) ; - Blosseville (E. de), maire d’Amfreville (Eure) : projet d’ouvrage sur l’Australie (1857) ; - Bocher

des pieux, sentant le charbon et le grain et le foin et les cordages mouillés. Et venant de l’ouest par cette unique coulée que traçait le fleuve à travers la ville, un large flux de vent amenait les odeurs de la campagne, des prés autour de Neuilly, des forêts entre Saint-Germain et Versailles, de villes lointaines comme Rouen et Caen, et même parfois de la mer. La mer sentait comme une voile gonflée où se prenaient l’eau, le sel et un soleil froid. Elle avait une odeur toute bête, la mer

amarrés à des pieux, sentant le charbon et le grain et le foin et les cordages mouillés. Et venant de l’ouest par cette unique coulée que traçait le fleuve à travers la ville, un large flux de vent amenait les odeurs de la campagne, des prés autour de Neuilly, des forêts entre Saint-Germain et Versailles, de villes lointaines comme Rouen et Caen, et même parfois de la mer. La mer sentait comme une voile gonflée où se prenaient l’eau, le sel et un soleil froid. Elle avait une odeur toute bête, la mer, mais

d’un musicien américain qui n’a plus de sous, qui peut de moins en moins vivre à l’hôtel puis plus du tout. On voit les regardes des gens sur qqu qui commence devenir un clochard. On suit les pas de plus en plus lourd. On aperçoit le CNIT, le pont de Neuilly, Les Champs-Elysées, la passerelle des arts. Pour des raisons de très petits budgets, la nouvelle vague fait de la ville son théatre. On film à ciel ouvert. Il a une formation littéraire et notation en littérature allemande. La première de

de "Political Quarterly", 2002. - Includes bibliographical references and index. - ISBN 1405105933. Cote : 8° 233.970Tatu, Michel ; Thomas, Jean-Paul (journaliste). - Ben Laden et le XXIe siècle : entretiens avec Jean-Paul Thomas/ Michel Tatu. - Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) : XXIe siècle, 2002. - 245 p. ; 24 cm. - Bibliogr. - ISBN 2-9517925-1-4  Cote : 8° 232.538Le terrorisme ou le cauchemar de l'Occident. - Passages (Paris, 1987). - (2002-05/07)n°118/119, p.12-30. - Suite d'articles. - Réflexions

mère. Dans “Éphéméride”, nouvelle que Patrick Modiano publia en 2002, il rapporta ces souvenirs : «À Paris, à la même époque, je vais déjeuner chez Raymond Queneau, le samedi. Souvent, au début de l'après-midi, nous prenons ensemble un taxi, et de Neuilly nous revenons tous deux sur la Rive gauche. Il me parle d'une promenade qu'il avait faite avec Boris Vian dans une petite rue que presque personne ne connaît, tout au fond du XIIIe arrondissement, entre le Quai de la Gare et la voie ferrée d'Austerlitz

Quelques actions communes cependant mais quand même assez rares. . Le village d’Abilly était situé sur la Claise enjambée par un pont. La rivière était le seul endroit où pendant la saison estivale nous pouvions profiter des joies de l’eau. Pas de piscine, seulement des rives aménagées au bord de rivière. Cette Claise était source de biens des plaisirs, la baignade au pied du pont où même certains s’aventuraient { sauter dans l’eau enjambant le parapet, moi le premier malgré ma fragilité apparente. Nous