Pont des Soupirs

Cha Ru e res Pont l Générades Chèv To ny Basilique Av e Rue Cart Rue A. Mimoun Rue de la grenouillère Avenu e A.Chenier Rue du Rue de l 'Ecole Nod 'Ypres Rue d P d Av. P et P Place de la Grenouillère Ru er Rue Rey Rue de s Rue Gou Es Jules r Docteu mas e A. Tho Boulevard son Aim Rue Jules é e et Dr e r ée eitz All hw Sc P Ru e Ferry Gabriel P Rue uy o Cr Rue P Rue des Cerisiers

n’est-elle pas un mythe avant d’être une ville ? Quoiqu’il en soit, la littérature, à son sujet, est édifiante, il est clairement question de Légende de Venise[1], discrètement du Mystère vénitien[2], ou plus subtilement de L’île enchantée[3]  ou du Pont des soupirs[4] mais toujours abondamment de Venise. Des centaines de titres déclinent Venise, des Epigrammes vénitiens[5] aux Lunaisons Vénitiennes[6] sans oublier tous les "Voyages Vénitiens" que nombre d’artistes ont vécu. Est-ce la littérature qui

joie ! » La Thébaïde, III,4, v.683-684) Enfin, si le regard s’inscrit dans un mécanisme passionnel, c’est parce que l’acte de voir, « toujours hanté par le malheur » (Starobinski), permet aussi l’intériorisation du conflit tragique. Le roi de Pont voudrait tant influencer le regard de Monime pour échapper à son propre reflet et ne plus avoir conscience de son inexorable déclin : « Ne me regardez point vaincu, persécuté : / Revoyez-moi vainqueur, et partout redouté » (Mithridate, IV,4, v.1293-1294)

La route, très vieille et très étroite, passe devant son pont-levis (que j’ai toujours vu baissé) et ses douves abondamment pourvues de perches, où voguent de nombreux cygnes parmi de blanches flottilles de nénuphars. Au-dessus de tout ceci, le schloss dresse sa façade aux multiples fenêtres, ses tours, sa chapelle gothique. Devant l’entrée, la forêt s’ouvre pour former une clairière pittoresque, de forme irrégulière ; à droite, un pont gothique en –7– pente raide permet à la route de franchir

La jeune fille courut à côté de Jun prit sa main et ils se sont éloignés de la foule. Quand ils ont atteint le pont Jun lâcha la jeune fille. «Tu es libre maintenant. Tu peux retourner à l'endroit d'où tu es venu. "dit Jun tournant le dos à la jeune fille. La jeune fille a attrapé son manteau par derrière. "Mais je ne sais pas où je suis, monsieur." Jun laissa échapper un profond soupir. «Ce n'est plus mon problème." dit-Il froidement et ôta la main de la jeune fille de son manteau. Jun s'éloigna

coule un ruisseau, encaissé et très profond, le Chanteclair, qu'on nomme sans doute ainsi pour le bruit cristallin de ses eaux limpides. Lorsqu'on arrive par la route de Versailles, on traverse le Chanteclair, à la porte sud de la ville, sur un pont de pierre d'une seule arche, dont les larges parapets, bas et arrondis, servent de bancs à tous les vieillards du faubourg. En face, monte la rue Beau-Soleil, au bout de laquelle se trouve une place silencieuse, la place des Quatre-Femmes, pavée

que pousser le jeune paysan à la secourir sur le pont neuf. Mais la dévotion est un caractère qui ne trompe pas le héros qui décèle directement une « réforme dévote pendue sur toute cette figure, le tout soutenu d’une propreté tirée à quatre épingles ». La cadette ne peut pas se cacher derrière son apparence avenante, elle à l’air d’être une femme à directeur et Jacob ne se trompe pas sur son compte. Ainsi va la pensée de Jacob au beau matin sur le pont neuf : « elles ont presque partout la même façon

était l'image du royaume; La poésie était la monarchie; un mot Était un duc et pair, ou n'était qu'un grimaud; Les syllabes,pas plus que Paris et que Londre, Ne se mêlaient; ainsi marchent sans se confondre Piétons et cavaliers traversant le pont Neuf; La langue était l'état avant quatre-vingt-neuf; Les mots, bien ou mal nés, vivaient parqués en castes: Les uns,nobles, hantant les Phèdres, les Jocastes, Les Méropes, ayant le décorum pour loi, Et montant à Versaille aux carrosses du roi;

ne crois pas. — Alors quoi ? insista Langdon, en regardant tour à tour les deux médecins. Je veux savoir ce qui se passe ! Il y eut un long silence, et finalement le Dr Marconi, d’un signe de tête, donna son assentiment à sa jeune collègue. Dans un soupir, la doctoresse se pencha à nouveau vers Langdon. — D’accord. Je vais vous dire ce que je sais. Mais vous allez devoir rester calme, promis ? Langdon hocha la tête. Et le mouvement provoqua une nouvelle onde de douleur sous son crâne qu’il s’efforça

Chaque année en février-mars, la ville devient le cadre à la fantaisie et à la folie débridée. Chaque année le Carnaval voir affluer des touristes et des participants du monde entier. Beaucoup de ceux-ci iront se faire photographier devant le pont des Soupirs, autre grande curiosité de la ville de Venise. Lorsque le premier Doge autorise le premier carnaval en 1094, il était loin de se douter que celui-ci serait toujours aussi actif et encore plus connu qu'à son époque. Le nom de ce doge  : Vitale