Pontife

centrale où ils ont rencontré l’Empereur Mongol Kubilaï Khan, petit fils de Gengis Khan. Ils sont porteurs d'un message de sympathie pour le pape. Pendant deux années, les deux frères, Niccolo et Matteo, vont attendre l'élection d'un nouveau souverain pontife. En 1271, ils repartent de Venise pour retourner en Chine et le jeune Marco les accompagne. Il a vingt ans lorsqu'il est reçu avec ses parents à la très fastueuse cour mongole, il deviendra par la suite un enquêteur-messager du palais impérial suzerain

l'origine le droit de la cité, le droit de Rome. Aujourd'hui il est plus large qu'a Rome car il implique tout le droit de la cité. C'est un droit qui est religieux et qui est en même temps coutumier. I-Un droit religieux Il existait a Rome des pontifes qui s'occupaient de la religion et du droit. Ils se définissent eux-même comme les gardiens de la religion et du droit, les deux sont pratiquement confondus. Ce sont les premiers juristes. Dans cette Rome primitive, un peuple de fermiers, on perçoit

colline et menace de crée une nouvelle cité, délaissant la derniere. Les plébéisn revendiquent plus de fonction Politiques, judiciaires Religieuse et le partage du pouvoir. De plus, des droits civils qui ne doivent plus etre laisser dans les mains du pontif (pretre) issus des Patriciens. Ils revendiquent aussi que leurs droits soient révélé contrairement à l'ancien système qu'il les poussaient à l'ignonrance des textes et donc de leurs pouvoir judiciaires. La création de la loi des 12 tables (inspiration

déesse des sources d'eaux. Connexion entre la religion et le droit. FAS = volonté des dieux = conforme à la volonté des deux et NE FAS = qui n'est pas conforme à la volonté des dieux. A l'origine ceux qui détiennent la clé du calendrier, sont les PONTIFES, les collèges de prêtres (parmi les patriciens). On va assister à un partage des tâches, la religion, entretient la paix entre les dieux et les hommes puis ont assigne au droit, le maintien de la paix entre les hommes. à l'origine le droit n'est

Juda se révolte contre ce dernier, mais il est arrêté et lui est présenté. Nabuchodonosor reproche à Sédécie sa défection et son ingratitude, il s’emporte et insulte le Dieu d’Israël, responsable à ses yeux de cette forfaiture. Il accuse le grand Pontife Sarrée et les prophètes d’avoir entraîné Sédécie dans cette attitude. Sédécie est Juif et défend son Dieu avec vigueur : «  Le Dieu que nous servons est le seul Dieu du monde, 1391 Qui de rien a basti le ciel, la terre et l’onde :

la tendre à Licinius. Ce dernier en profite pour lui chuchoter qu'il viendra lui rendre visite la nuit prochaine, au temple. Les festivités suivent alors leur cours avec des jeux, des danses et des combats de gladiateurs. Pour finir le Souverain Pontife, invite toute l'assemblée à se rendre au Capitole, où Licinius doit rendre un sacrifice d'action de grâces à Jupiter.

L'arrière plan de ce tableau est représenté d'une couleur brune. 6.En haut à gauche du tableau, on voit le nom du peintre, le lieu de la fabrication et la date. ETAPE 3 : ANALISER L'OEUVRE : Ce tableau: c'est une scène pour « remercier le souverain pontife d'avoir assisté au couronnement de Napoléon I ». Pape assis comme un simple spectateur dans fauteuil. Présence de la feuille de papier et fauteuil: le peintre nous transmet une impression de royauté et un coté de la sagesse, raison etc. Présence

universel. Chaque cité, chaque colonie romaine, établit le sien et ce calendrier ne recouvre pas nécessairement celui de Rome. C’est un calendrier établi par les magistrats suprême via le sénat local. A Rome, le calendrier y était géré par le collège des pontifs et les décisions concernant l’introduction de nouvelles fêtes étaient édictées par des lois ou par des sénatus-consultes. Le calendrier religieux officiel de Rome ou d’une cité Romaine ne reflète donc que la décision des autorités : il ne mentionne

place un pouvoir absolu*. pouvoir absolu : p 97 : pouvoir sans limite exercé par une seule personne. Les empereurs sont les chefs des armées avec le titre d'Imperator, dirige le gouvernement et possède le pouvoir religieux avec le titre de Grand Pontife. 2) un personnage sacré De leur vivant, considérés comme « élus des dieux » (Augustus), les empereurs reçoivent un culte de la part des habitants de l'empire. Il s'agit d'un culte officiel à l'empereur, personnage sacré. Après leur mort, les empereurs

règle d'inaliénabilité du domaine de la couronne. B le caractère absolu de la souveraineté 1 Lidentification de la souveraineté royale aux pouvoirs des puissances universelles Bodin volonté de mettre le roi sur le meme plan que le souverain pontife 2 une souveraineté sans degré de superiorité