Pontife

avec la tradition impériale de Charlemagne. C’est la raison pour laquelle il demande au Pape de le couronner. Une des caractéristiques de cette œuvre est la volonté de montrer le pouvoir de Napoléon. Ainsi, Napoléon s’impose face au souverain pontife, car non seulement il l’oblige à se déplacer mais il se place dos a lui durant la cérémonie et il réduit son rôle à celui d’un simple témoin. David ayant renoncé à sa première idée qui était de peindre la scène où Napoléon se couronne lui-même

l’image du Christ (en étant pauvres, chastes et humbles). L’avenir de l’Église est dans leurs mains, car elle passe par ceux qui consacrent leur vie au Christ à travers une vocation monacale ou contemplative, apostolique, diaconale ou sacerdotale. Le Pontife Romain nous rappelle les nouveaux défis auxquels fait face toute personne engagée dans une mission évangélique. Entre autres, les nouveaux secteurs où l'Évangile doit être proclamé : tels le monde des communications, de la science, des relations internationaux

rome, époque des miracles dieu proTG rome) 3). L’empereur, le pape et Dieu : Empereur ne peut tenir du pape (histoire nomination/déposition Sâil par Samuel, empire antérieur a l’Eglise) ; pape (D réfute don constantin, Christ est pauvre, prétention pontif a lencontre pensée Eglise), H (bonheur terrestre vient du bonheur immortel : relation paternelle) Machiavel A). Notes du secrétaire de la 2nd Chancellerie de Florence : regards sur la modernité : Comparaison Fr/All B). Les médiations du lettré :

l’emporte sur les autres arts, du fait surtout que, chant sacré lié aux paroles, il fait partie nécessaire ou intégrante de la liturgie solennelle. Certes, le chant sacré a été exalté tant par la Sainte Écriture [42] que par les Pères et par les Pontifes romains ; ceux-ci, à une époque récente, à la suite de saint Pie X, ont mis en lumière de façon plus précise la fonction ministérielle de la musique sacrée dans le service divin. C’est pourquoi la musique sacrée sera d’autant plus sainte qu’elle

demande pour le pape qui voit dans ces tribus (appelées alors tartares en occident) depuis 1250 un possible allié dans la lutte contre l'Islam. Pendant deux années, les deux frères, Niccolò et Matteo, vont attendre l'élection d'un nouveau souverain pontife Grégoire X, le conclave s'éternisant depuis la mort de Clément IV en 1268. En 1271, avec un rôle de commerçants mais aussi d'ambassadeurs, ils quittent à nouveau Venise pour retourner en Chine et le jeune Marco les accompagne avec deux dominicains

qui fait référence au fait qu'Hérodiade « s'est séparée de son mari encore vivant ». Il précise la généalogie de Salomé en ces termes : « Quant à Hérodiade leur sœur, elle épousa Hérode, qu'Hérode le Grand avait eu de Mariamne, la fille du grand-pontife Simon ; et ils eurent pour fille Salomé, après la naissance de laquelle Hérodiade, au mépris des lois nationales, épousa, après s'être séparée de son mari encore vivant, Hérode, frère consanguin de son premier mari qui possédait la tétrarchie de Galilée

mission par Vénus pour sauver le culte de Troie, de l'autre côté on voit Rome assise en armes et Tellus. Sur les côtés les plus longs on remarque un cortège de prêtres, Auguste représenté lui aussi en prêtre* puis vient sa famille. La présence des Pontifes, des Augures, des Septemviri et des Quindecemviri est exceptionnelle elle montre la puissance qu'a Auguste. Un mot-clé voire deux… Interprétation de l'oeuvre étudié : L'Ara Pacis est un hommage à Auguste, à la paix. C'est un lieux de culte et de

circulaire où siègent ses membres. Ce tribunal siège dans la travée Est où les clés de voûtes portent les armes de Clément VI et celles de Rome, S.P.Q.R., qui signifient "Le Sénat et le peuple de Rome"; cette devise rappelle l'origine romaine du pontife et de son administration. Un immense Jugement Dernier, aujourd'hui disparu, ornait la paroi Nord. Ce thème iconographique est directement lié à la fonction du lieu et souligne l'infaillibilité du tribunal. Dans la travée Est subsiste le décor de

d’autres des dieux de la nature et d’autres font des prédictions sur l’avenir.75 a. Les dieux de la cité Le collège des Pontifes : Ils étaient entre trois et cinq. Ce collège est présidé par le roi, et dirigeait le culte et les cérémonies. Les pontifes étaient les gardiens de la tradition religieuse. Ils déterminent les devoirs du peuple envers les divinités. Le Grand Pontife élabore le calendrier des jours fastes et néfastes.76 Les jours néfastes sont des journées fériées réservées le plus souvent

germaniques (jusqu'au XVe siècle) ; c'est le pape que l’on fera venir à Paris. Napoléon l’accueille en forêt de Fontainebleau, à cheval et en habit de chasse, voulant faire croire au caractère fortuit de la rencontre. Napoléon offensera le Souverain Pontife en lui prenant des mains la couronne de l’impératrice, mais surtout en se couronnant lui-même.  Culte de la religion catholique publique Mais, dans la lignée révolutionnaire, choisi conjointement les évêques avec le Pape  Biens du clergé non