Pontormo

l’essence et l’intellect Extension de l’espace réel 3.1 Planéité du XV au XX Piero d’Ella Francesca découverte de la même croit Arezzo Aucune indication de la profondeur de ce bâtiment Traitement des mare qui renforce l’effet de surface Pontormo déposition 1527 3, 13 X 1 ;90 m Santa félicita, florence Absence de croix Disposition des figures en profondeur Peintre maniériste Espace compact Venus d’urbain de tissian 1,19 x 1,65 Trois plans Dernier plan espace de perspective

Ils étirent les extrémités des corps et élaborent des contorsions. Comme les classiques, ils s'inspirent du passé mais d'une façon différente. L’Antiquité est leur corpus de référence, ils ne l'imitent plus. Par exemple, la Pala Pucci (1518) de Pontormo combine les références : Laocoon, Léonard de Vinci, Tondo Doni ou encore Cascina. Michel-Ange reste le plus utilisé, loin devant Raphaël et de Vinci. Des figures typiques se développent : figures amphores coupées à mi-corps, étroites en haut et en

qui est à côté du Ponte Vecchio à Florence qui s’appelle Chiesa di Santa Felicita où il y a une descente de croix magnifique du Pontormo. Et Pontormo, le maniérisme, y’a des couleurs quand même assez pétillantes, éclatantes, des corps déformés et déjà des lignes, pas encore la ligne claire d’Hergé mais déjà. Et quand j’ai vu ça je me suis dit que les contemporains de Pontormo qui avaient déjà eu du mal à digérer le sfumato de Léonard de Vinci et le contrapposto de Michel-Ange devaient trouver ça épouvantable

du sens désexualsation » • Esthétique indifférente • Artifice, mélancolie, désenchanté • L’art n’est pas de la chair mais de l’idée : le dessein [Baudelaire parle des yeux lisses & fixes (symptôme de la mélancolie de l’art et l’être chez Pontormo & Bronzino] sur 24 44 Napoléon sur le trône, 1806, 260x160cm • Inspiration byzantine (figé, froid, détaché du réel) • Cercle & carré • Attributs fonctionnels avec beaucoup de détails (précision) • Doigts très longs, bras longs, disproportion

garder des idées préconçues et des oppositions trop tranchées. Ainsi, pour les27 nus mythologiques du XVIème siècle, les historiens de l’art opposent volontiers le modelé rigide – voire sculptural – des maniéristes florentins inspirés de Michel-Ange (Pontormo, Bronzino, etc.) au modelé souple des coloristes vénitiens (Giorgione, Titien, etc.), mais cette opposition est peut-être un peu forcée: de récentes restaurations incitent à penser qu’un modelé rigide et même sculptural n’empêche pas le personnage

Gondola, dit (arch) Pollaiolo ou Pollaiuolo, Antonio di Jacopo Benci, dit Antonio del (sc, pt) Parmesan, Francesco Mazzola, dit Il Parmigianino, en fr. dit le, (pt) Perugin, Pietro di Cristoforo Vannucci Perrugino, dit le (pt) Piero di Cosimo (pt) Pontormo, Jacop Carucci dit le, (pt) Primatice, Francesco Primaticcio, dit le (pt, déc) Quarton, Enguerrand (pt) Raphaël, Raffaello Sanzio, dit (pt) Robbia, Andrea della (sc, cé) Robbia, Luca della (sc, cé) Romano, Giulio (Romain, Jules) (pt, arch)

maîtres (de Vinci, Michel Ange, Raphaël). • Il recherche l’élégance des formes, le goût de l’exagération et les effets de style. • Centré à Rome, le maniérisme a pour précurseurs Rosso Fiorentino, Giovanni Romano, le Parmesan et le Pontormo, qui rompent avec la Renaissance classique. • D’autres artistes les suivirent, tels que Daniele da Volterra, Salviati, Vasari ou Bronzino. • Après 1527 (sac de Rome), l’Europe est envahie d’artistes italiens (principalement en France

or il apparaît minuscule, problème de perspective. C’est une « distorsion de perspective. » Elongation du canon féminin qui ne correspond pas à une observation de la nature. Ce long cou a frappé les contemporains. b) La dissonance du coloris : Pontormo, Déposition de croix, 1526-1527, Florence Eglise Sante Félicita conservée in situ  Coloris très stridents, vifs, acidulés qui ne s’accordent pas toujours les uns avec les autres. Effet de changement de couleur, la couleur parfois vire sur elle-même

XVIe siècle, des productions artistiques d’autres pays, notamment des gravures allemandes. Vasari, au milieu du XVIe siècle, signale ainsi qu’en Italie, il n’y a « pas une maison de cordonnier qui n’ait son paysage allemand » ; il déplore que Pontormo (1494-1557) ait trop été marqué par l’influence de Dürer ; lui même utilise une copie fortement agrandie du bois gravé de Dürer « le siège d’une ville » à l’arrière de l’une de ses peintures historiques au Palazzo Vecchio de Florence… Les gravures

Publishers, New York, Los Angeles Institute of Contemporary Art. 1978 | |-Art-Rite # 15 - Surroundings, by Rosemary Mayer, magazine d’artiste, meditations sur deux salariées new yorkaises et sur Jacopo da | |Pontormo illustrée de photos contemporaines et de reproduction d’oeuvres du peintre maniériste, 20 pages, Art-Rite Publishers, New York, | |1977