Populisme

survie et mutation du bonapartisme, a la mort de l’empereur ce n’est pas la majorité qui le pleure du fait de l’échec de la guerre on parle de sont règne comme une légende noire, avec une politique qu’on assimile a du bonapartisme césarisme et populisme. A la suite de Sedan il y a des avatars bonapartiste qui ce forment, avec une idéologie politique. Bonaparte ce trouve entre deux famille politique l’idéologie césarienne et plébiscitaire un coté pro démocratique et l’autre qui va a l’encontre.

rue, mais qui restent cantonnés dans les studios. Carné = grande association avec Prévert : ils vont réaliser beaucoup de films ensemble, ce qui fait de Carné LA Figure du réalisme français. Quai des brumes, proposé par Gabin > archétype du RP. Populisme poétique de Prévert : combinaison d’abstraction et de réalisme. Couple Gabin-Morgan archétypale : onirisme noir qui décale des situations réalistes. Quai des brumes exprime le climat d’une époque complètement déboussole. On accuse carné d’inviter

de Alain Touraine (Auteur) [pic]Pourrons-nous vivre ensemble ? égaux et différents de Alain Touraine (Auteur) [pic]Rapport Sur la Diversite par Wieviorka Michel (Broché - 9 octobre 2008) [pic]La Démocratie à l'épreuve. Nationalisme, populisme, ethnicité par Michel Wieviorka [pic]Qu'est-ce que l'intégration ? par Dominique Schnapper (Poche - 25 janvier 2007) = La Démocratie providentielle : Essai sur l'égalité contemporaine par Dominque Schnapper ( 27 février 2002) [pic]La Communauté

MONDIALISATIONLa mondialisation est aujourd’hui particulièrement incertaine. Elle est portée par l’ouverture de nombreux pays (Cuba, Liban, etc.) et un abaissement des frontières. En même temps, elle est parfois remise en question par des protectionnismes /populismes (Trump, Brexit). Par ailleurs, elle est portée par l’innovation, la digitalisation, l’ubérisation de l’économie. Elle est source d’opportunités stratégiques (de nouveaux marchés, des relais de croissance) mais aussi de menaces (concurrence accrue)

français Elisabeth Borne a expliqué qu’elle sera “attentive” au respect des droits humains et du droit à l’avortement dans son pays et dans l’UE. Dans la même veine, le ministre des affaires étrangères espagnol José Manuel Albares a alerté que “les populismes finissent toujours en catastrophe”. Ces deux commentaires, parmi d’autres, à la suite de l’élection de Meloni montrent bien que certains se soucient de l’avenir de l’Europe et se portent garant du respect des principes démocratiques, ainsi que sont

démarquaient, qui étaient en marge de la société, qui avaient réussi à obtenir une force supérieure (de l’ordre de l’influence) au pouvoir en place, elles se sont peu à peu vu intégrer au système et correspondent pour certaines plus à un nouveau populisme. Nous parlions plus haut du mouvement hippie : apparu dans les années soixante comme un courant de contre-culture et dénonçant la société de consommation, il sera très vite repris et transformé en effet de mode et donc intégré à cette même consommation

en une décennie au développement des nationalismes, du fascisme, du nazisme et finalement à la deuxième guerre mondiale. La situation n’est pas la même aujourd’hui, mais le repliement qui est en train de se produire sur les nationalismes et les populismes montrent le type de pièges dans lesquels les peuples frustrés et privés de vison de l’avenir risquent de tomber. Il est donc urgent de réagir, d’expliquer et de proposer.   Comment réagir ?   Retrouver l’espoir dans les circonstances ainsi décrites

République. Mitterrand -> “le coup d’Etat permanent“ 5ème République s’est avéré très puissante : résister à mai 68, aux crises éco, les cohabitations. Les droites. Les républicaines, l’extrême-droite fasciste. Par delà les partis, les populismes de gauche et de droite. Conclusion : perspectives pour 2012 et au-delà. 4ème pouvoir -> les médias.

démocratie locale. Les critiques faites à la démocratie participative portent principalement sur : * la notion de démocratie participative qui n'est souvent qu'un simple discours rhétorique, sans réalité concrète, elle est parfois associée au populisme, * la représentativité des citoyens participants aux débats, * le rôle des conseils et comités qui se limite souvent à l'aspect "consultation", oubliant l'aspect "échanges entre acteurs", * la difficulté de savoir si les avis exprimés

trouveraient sans doute infléchis en un sens plus social. En tout cas, ils gagneraient en légitimité, quels qu'ils soient. C'est l'inverse que nous observons : aujourd'hui, la sphère politique classique est discréditée, ce qui nourrit les extrêmes et le populisme…Il est temps d'enrayer cette déliquescence de la démocratie. Une mesure simple, même si elle ne prétend évidemment pas résoudre tous les maux, pourrait mettre fin à l'abstention : le vote obligatoire. Il est pratiqué dans plusieurs pays, au Brésil