Port Autonome Cotonou

doivent être enregistré dans le délai d’un mois à compter de leur date les éléments suivants : -les actes des notaires. -les actes des huissiers et autres personnes ayant pouvoir de faire des exploits et des procès verbaux. [...] [...] -Elles doivent porter dans les charges de l’exercice au cours duquel elles ont été engagées. -Elles doivent absolument concourir à la formation d’un produit non exonoré d’impôt assis sur le bénéfice. Exemple de charges déductibles : les frais d’établissement ; les frais

entretenir une coopération bilatérale dynamique. Entre les deux pays, l’intégration se situe déjà à un stade très avancé. L’exemple le plus emblématique est l’oléoduc qui permet l’évacuation du pétrole tchadien vers le marché international à partir du port camerounais de Kribi. La libre circulation est réelle dans les deux sens. La coopération scolaire et universitaire est soutenue. Et d’autres projets intégrateurs se trouvent déjà dans une phase très avancée : bitumage de la route Ngaoundéré - Touboro

centralisés de l’Etat qui soit. En 1978 pourtant, la situation évolue. Aux termes d’une transition politique, une nouvelle constitution est votée. La constitution de 19781 marque une rupture en ce sens qu’elle reconnait le droit des communautés autonomes à s’autogérer. En effet, l’article 02 postule que: « La constitution a pour fondement l’unité indissoluble de la nation espagnole, parie commune et indivisible de tous les espagnols. Elle reconnait et garantit le droit à l’autonomie des nationalités

l'opposition française : De Gaulle subordonne cette entrée à une véritable coopération politique et militaire européenne qui couperait la G.B. de ses relations privilégiées avec les USA. De Gaulle souhaite la création d'une « Europe européenne », autonome dans ses choix politiques et militaires et qui serait en fait sous influence française. Cette position aboutit à un véritable veto à l'entrée de la GB dans la CEE, en 1963 et en 1967. voir caricatures 1 et 2 ; pour la 2è faire relever les éléments

C’est le Crédit Lyonnais du Bénin qui a pris la dénomination de CONTINENTAL BANK BENIN (LA CONTINENTALE S.A) le 27 Novembre 1995. Jouxtant la zone portuaire à Cotonou, tout en longeant l'Avenue Pape Jean Paul II, Continental Bank Bénin est située à la périphérie du quartier des affaires où sont regroupés le Port Autonome de Cotonou (PAC), le Siège de la Société Nationale de Commercialisation des Produits Pétroliers (SONACOP), l'Ecole Nationale de Police et des Institutions financières dont la

des Petites et Moyennes Entreprises et de la Promotion du Secteur Privé, notre cadre d’étude. Le malaise est très profond. On note en particulier l’insuffisance d’infrastructures, le problème de motivation qui sont des facteurs sur lesquels il faut porter une attention particulière. Une brève revue des pratiques en cours au Ministère chargé des Petites et Moyennes Entreprises et de la Promotion du Secteur Privé révèle d’innombrables dysfonctionnements qui compromettent l’aboutissement heureux des objectifs

étapes : (1) organisation logistique et programmation-réalisation des entretiens avec des personnes ressources à Cotonou ; (2) les visites des 3 projets retenus, lecture et analyse de documentation, et entretiens avec des acteurs de la décentralisation dans les zones d’intervention des 3 projets ; et (3) rédaction d’un aide-mémoire et restitution auprès de l’Ambassade de Belgique à Cotonou. A titre de références plus détaillées, les annexes au rapport contiennent une liste des personnes rencontrées

produire de manière compétitive (…) par la substitution d’importation. Au lieu d’importer asiatique, on importe africain (…) dans des domaines où nous (la France) ne sommes plus présents. (…) Alors on aidera l’Afrique à se développer de façon saine et autonome, c’est ce qu’elle demande. » 33 Selon le FMI la croissance de l’Afrique subsaharienne pourrait frôler les 7% en 2008, après 6% en 2007 et 5.8% en 2006. Cette croissance reste cependant insuffisante par rapport à sa démographie. 27 Guy Schulders

. . . . . . . . . . . . . . 8 1.2 Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) . . . . . . . . . . . 10 Accords Nord-Sud . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 2.1 L’Accord de Cotonou . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 Accords Sud-Sud . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.1 Hémisphère Occidental . . .

l’enjeu pour les micro-assureurs d’aborder cette population qui bénéficie souvent déjà d’un micro-crédit. Cependant une grande 20 Microfinance et genre : des nouvelles contributions pour une vieille question,Véronique Faber, Appui au Développement Autonome, dialogue n°37, mai 2007 24 prudence doit être observée puisque ces femmes sont pour la plupart illettrées et vivent dans des régions rurales isolées. L’assureur ne peut donc pas « arriver avec ses gros sabots » et faire signer un contrat de