Porte Parole Des Opprimés

septembre 184 → livre III, 1ere partie, « Les Luttes et les rêves » = misère du peuple - poésie engagée et poésie lyrique + composé de sept quatrains en décasyllabes et pentasyllabes = sorte d'ode à l'araignée et à l'ortie + défense des exclus, des opprimés et des marginaux… -VH tente ici de lutter contre les préjugés à l'encontre de ces exclus. - Lecture du texte - Reprise de la problématique et annonce du plan → En quoi ce poème illustre-t-il le thème de la laideur ? → En quoi cette ode/éloge est-il

lui-même la responsabilité du sort inférieur qui est le sien. Une fois engagé sur la voie de la désaliénation, le défi de ce dernier consistera donc à mettre en évidence la relativité des diverses identités et les fondements subjectifs de tout jugement porté sur les hiérarchies sociales. Ce n'est pas la moindre ironie du phénomène de l'oppression que, contestant enfin des postulats qui posent sa volonté d'émancipation comme étant elle-même intolérante, ce soit la victime qui puisse passer pour “radicale”… »

choisissent une poésie libre, ils jouent sur le temps et crée un nouvel héros : le peuple. Jusqu’à présent et historiquement parlant, le peuple a toujours eu besoin d’un porte-parole pour faire entendre clairement la foule. La critique littéraire parle de nouveaux besoins. La foule aurait-elle besoin d’une nouvelle forme de porte-parole ? La naissance donc d’une nouvelle épopée s’apparente à la naissance du romantisme où les auteurs ont soulevé le besoin d’une nouvelle littérature pour répondre correctement

Jean de la Fontaine s’est principalement intéressé à ce genre d’écrit et le texte qui nous est proposé correspond à la fable 7 du livre 15 parut en 1678. L’auteur dans cette fable met en scène un paysan du Danube allant même jusqu’à lui donner les paroles, contrairement à Tacite qui ne fait que le décrire, pour faire une critique virulente de la colonisation. On peut donc se demander en quoi la complexité de cette fable permet-elle une réflexion sur la colonisation et sur les alternatives possibles

réfugiée à Londres, qui faisait partie de la Résistance et surnommée «le troubadour de la Résistance ». L’écrivain Joseph Kessel et son neveu Maurice Druon, qui faisaient partie des Forces Françaises Libres aux côtés de De Gaulle, ont alors écrit les paroles françaises de cet hymne. Les différents auteurs de cette chanson sont des artistes engagés, ce qui est notamment du à la période dans laquelle ils vivent, et ce qui s’illustre par leurs différentes œuvres et carrières, telles que la profession de

| |- Symbolisme des instruments traditionnels pour marquer une certaine appartenance, pour montrer aussi que la poésie est « paroles et chants en même temps » du cœur | |désignée par l’image du « tambour qui bat » : exaltation du poète qui retrouve sa maman (le continent)  | |- L’exclamation (verset 1) : renforce l’état

LES BONNES Dans Les Bonnes, Genet, écrivain du XXe rebelle et provocateur, dénonce la condition des domestiques et défend les opprimés. Il démontre que les rapports entre les maîtres et les valets sont des rapports de dominant/dominé, de violence et d’humiliation. Les bonnes se trouvent réduites à leur condition sociale et perdent leur identité propre, sombrant dans le tragique. On peut se demander comment cet extrait, par sa dimension caricaturale, met en évidence l’aliénation constitutive de

héraut En tant que messager, le poète a une mission. Il déchiffre l’invisible, voit plus loin et peut guider les hommes vers le progrès spirituel et social comme naguère les poètes de la négritude. Le poète est aussi un guide et un porte-parole qui sait donner formes aux préoccupations, aux soucis et aux espoirs des hommes. Il met son art au service de leur cause. La Fontaine dans ses fables, Boileau dans ses Satires mettent en scène avec fantaisie ou ironie une humanité qu’ils se proposent

romantique ? Plan : I. Une attitude suicidaire. 1. Un aveu sans complaisance. J prend la parole de manière décidée-> «il se leva ». Sa décision est prise, il s’exprime clairement-> discours direct. Il assume ses propos/actes : plaide coupable avec circonstances aggravantes. Geste prémédité, refuse l’indulgence des jurés : « je ne vous demande aucune grâce » qualifiant son acte de « crime atroce » Il porte un jugement, sa sentence « j’ai donc mérité la mort », il réitère ses propos, se cherche

agissements de Julien qu’elle accuse d’être un arriviste séducteur et hypocrite. Furieux Julien revient à Verrière et tente d’assassiner Madame de Rênal. Il échoue, il est alors arrêté et jugé.A son procès, le juge l’invite à prendre une dernière fois la parole. Julien plaide alors coupable non sans régler ses comptes avec les bourgeois qui le condamnent.3. Problématique. On étudiera la manière dont le discours de Julien se transforme en un cri de révolte sociale.4. Mouvements du texte.Par. 1 : L’exordePar