Portion congrue

Certains curés ne vivent pas sur place car ils sont chanoines dans des grandes villes, ils étudient à l’université ou sont auprès de seigneur ou d’évêques. Dans ce cas, un vicaire les remplace. Le curé doit alors versé une partie de son revenu, la portion congrue au vicaire. 5. Le développement des villes En France, pendant le XVIème siècle, des circonstances favorables donnent lieu à un développement considérable des villes. En effet, la croissance démographique, l’exode rural de paysans venus en

Heim point de vue dans tout désaccord, et l’établissement d’un lien indiscutable entre unité et diversité. Malheureusement, dans le contexte mondial incertain d’aujourd’hui, dans un contexte politique national qui réduit l’action sociale à la portion congrue au profit de structures répressives électoralement rentables et soumis au lobbying des industries pharmaceutiques, on voit se dessiner de plus en plus en France, un seul et unique type de réponse « préventive » (mais peut-on encore parler de prévention

paysans et surtout des pauvres. Ce bas clergé ne vit que de la « portion congrue », l'une des ressources la plus importante du clergé est la « dîme », à l'origine elle équivalait à 1/10 des récoltes. Cette redevance permettait l'entretien des lieux de cultes,....Elle est percue soit par le haut clergé soit par des seigneurs laïques « decimateur » qui reversent aux prêtres des petites paroisses une portion infime de la dîme, (congrue signifiant convenable). Les curés sont en quelques sortes des « salariés

les joies du service et la dignité du labeur, mais trouvaient plus de stimulant dans la puissance de Malabar comme dans sa devise inattaquable : « Je vais travailler plus dur. » En janvier la nourriture vint à manquer. Le blé fut réduit à la portion congrue, et il fut annoncé que, par compensation, une ration supplémentaire de pommes de terre serait distribuée. Or on s’aperçut que la plus grande partie des pommes de terre avait gelé, n’ayant pas été assez bien protégées sous la paille. Elles étaient

administre les sacrements, dit la messe, tient le registre de catholicité, transmet les principales informations royales lors de la messe. Vit du casuel (revenu de la charge), des messes de fondation, des sacrements, des biens fonciers, de la portion congrue (dîme). Amélioration due à la réforme tridentine : formation en progrès : création de séminaire (obligatoire), synode diocésain (formation continue) c. Le tiers état Groupe défini par défaut : ni noblesse, ni clergé A des privilèges fiscaux, milice

faut aussi distinguer la charge à remplir, l’office, et le revenu lié à cette charge, le bénéfice. Les deux sont souvent dissociés, dans ce cas le bénéficier laisse l’office à un vicaire. Le vicaire d’un prêtre est souvent mal payé (avec la « portion congrue »), le vicaire d’un évêque est souvent un simple prêtre, voire un laïc (ce qui pose problème pour administrer les sacrements). Or aux XVe-XVIe siècles a lieu une extension de l’économie monétaire qui est un élément de richesse au même titre que

privilèges honorifiques, fiscaux, ceci dit le tiers-état possède aussi des privilèges. Chaque ordre est hétérogène ; et en leur sein, les individus sont plus ou moins privilégiés : le haut clergé est très riche alors que le bas clergé ne reçoit que la portion congrue ; seule la haute noblesse reçoit des pensions du roi alors que la petite noblesse s’accroche désespérément à ses droits seigneuriaux pour survivre. De ce fait les inégalités s’accroissent, les riches sont de plus en plus riches et les pauvres

(archevêchés, ...) et cela favorise le clientélisme. Un ministre a d’ailleurs un rôle juste pour ça : le ministre de la feuille des bénéfices. C’est l’homme le plus courtisé du royaume. Les curés ont le plus souvent un revenu très modeste appelé « la portion congrue ». Cela a renforcé le rapprochement du curé et du peuple. Beaucoup de curés vont s’allier à l’ordre du T-Etat. c/Le Tiers-Etat Cette masse des roturiers comprend 2 catégories de personnes : la bourgeoisie et surtout la société paysanne)

Heim point de vue dans tout désaccord, et l’établissement d’un lien indiscutable entre unité et diversité. Malheureusement, dans le contexte mondial incertain d’aujourd’hui, dans un contexte politique national qui réduit l’action sociale à la portion congrue au profit de structures répressives électoralement rentables et soumis au lobbying des industries pharmaceutiques, on voit se dessiner de plus en plus en France, un seul et unique type de réponse « préventive » (mais peut-on encore parler de prévention

Par ailleurs les Dimes vont être dévoilé. Les dimes ont été délégué au chanoine et au évêque. Cela à conduit à une invention institutionnel, puisque le curer ne percevait plus la Dime, on ordonnait au décimateur de payer le curer avec la portion congrus. La monarchie capétienne Le roi au XIème siècle, le roi de France n’a plus que des prérogatives militaires et honorifiques. Mais il est aussi seigneur. On a le Roi grand suzerain fieffeux (nous sommes dans la pyramide féodale, on