Portrait De Fantine Miserable

veuve qui avait deux filles; l'aînée lui ressemblait si fort et d'humeur et de visage, que qui la voyait voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son Père pour la douceur et pour l'honnêteté, était avec cela une des plus belles filles qu'on eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour

fixes). - Internet (vidéo, images fixes, proposition de travail). Le projet de montage vidéo, en démonstration, est visible à cette adresse : http://perso.numericable.fr/~nsmaghue/blois/index.html - Films utilisés : Germinal de Claude Berri, Les Misérables de Robert Hossein. Chacun d’entre eux présente un intérêt différent. On se propose ici d’analyser les représentations de la femme au travail à travers les différents usages de ces outils. L’exercice n’est pas simple puisque l’on propose un usage

L’héroïsme en question La médiocrité d’un héros de roman ➜ p. 64-65 ■ Jean de la Ville de Mirmont, Les Dimanches de Jean Dézert Cet extrait de roman a le mérite de faire découvrir aux élèves une œuvre assez peu connue. De plus, ce premier portrait du personnage de Jean Dézert dessine une vision désabusée de l’homme et du monde, en décalage avec la figure du héros triomphant. Un antihéros Livre du professeur Français 1re © Éditions Belin 2011 1. « Jean Dézert ne parle jamais de sa

histoires dans lesquelles ils s'inscrivent. C'est le cas de Jean Valjean ou de Gavroche, héros des Misérables de Victor Hugo. Jean Valjean, par ses multiples évasions, ses efforts pour échapper au policier Javert qui le poursuit et son parcours exemplaire : le forçat devenu le bon M. Madeleine, bienfaiteur de la petite ville dont il est le maire et des « misérables » qui croisent sa route comme Fantine ou Cosette, figure magnifiquement le sursaut salutaire de tous les damnés de la Terre. Moins positif

vie. Ce récit, long monologue intérieur, est entrecoupé de réflexions angoissées et de souvenirs de son autre vie, la "vie d’avant". Le lecteur ne connaît ni le nom de cet homme, ni ce qu’il a fait pour être condamné, mis à part la phrase : « moi, misérable qui ai commis un véritable crime, qui ai versé du sang ! ». L’œuvre se présente comme un témoignage brut, à la fois sur l’angoisse du condamné à mort et ses dernières pensées, les souffrances quotidiennes morales et physiques qu’il subit et sur les

d’aménagement. Son œuvre s’ouvre sur beaucoup d’œuvres et également dans la durée : après sa mort Delacroix fera l’objet d’un certain culte que l’on retrouve dans tableau : *Henri Fantin Latour, Hommage à Delacroix, 1864 Tableau de groupe : peintre Whistler, Manet, Baudelaire, Fantin-Latour devant le portrait de Delacroix dans une sorte d’hommage, en habit noir, ils se recueillent. 1864 : un an après le Salon des refusés et le moment où s’impose une esthétique différente de celle qui a animé

aurait vite donné le bon dieu sans confession, tellement ils avaient des sales têtes et faisaient peur » (p. 39). 4 drôle, et expliquez ce qui vous a fait rire. On peut relever plusieurs exemples : — Mme Rosa sous tranquillisants (p. 46-47). — Le portrait de M. N’Da Amédée et de ses gardes du corps (p. 36-39). On peut noter également que Romain Gary excelle à évoquer de manière comique des réalités tristes ou sordides. 0 « Il y a une dame qui a dit oh le beau petit chien et qui m’a demandé s’il était

moyen âge en citant le texte « Chanson de Roland » et finissant par le XXème siècle en citant le, « Rhinocéros » d’Eugène Ionesco. Chaque auteur chronologiquement placé est au centre d’un dossier dont la structure comporte les éléments suivant : — un portrait biographique, sous forme de « vie et œuvres » ou « présentation de l’auteur et ses œuvres », qui retrace les évènements marquants d’une vie, les attaches familiales de l’écrivain, son intégration à un milieu et à une époque et un jugement général

objets d’étude) Pour l’oral, nous devons étudier une vingtaine de textes, 5 par objets d’étude. 1er objet d’étude : le Roman 1ère séquence : Du héros à la crise du personnage Définition du héros Texte n°1 : La mort de Gavroche (extrait des Misérables de Victor HUGO, 18451862) Texte n°2 : Un novice au feu (extrait de la Chartreuse de Parme, 1838, STENDHAL) Texte n°3 : Le forgeron au travail (extrait de l’Assommoir d’Emile ZOLA, 1877) Texte n°4 : Le peuple en grève/ La révolte des mineurs

l'œuvre 5 Discographie 5.1 Poèmes mis en musique contemporaine 5.2 Poèmes mis en chansons 5.3 Hommages en chansons 6 Audiovisuel 6.1 Cinéma 6.2 Télévision 6.3 Vidéographie 6.4 Radio 7 Iconographie 7.1 Portraits de Rimbaud par ses contemporains 7.2 Arthur Rimbaud, photographe 7.3 Portraits posthumes 8 Lieux de mémoires 8.1 Musées 8.2 Monuments 8.3 Plaques commémoratives 9 Bibliographie 9.1 Premières éditions des poèmes et correspondance 9.2 Dernières éditions des poèmes et correspondance