Portrait De La Thénardier

Tome 1 Le livre commence par le portrait d'un évêque, Monseigneur Myriel. Il vit très pauvrement dans son diocèse de Digne avec sa sœur Baptistine et une servante, Madame Magloire. Ce religieux est un juste qui se contente du strict nécessaire pour distribuer le reste de ses économies aux pauvres. Doué d'un amour immense, il laisse sa porte grande ouverte et fraternise avec ceux que la société rejette. Il va connaitre notre héro principal, Jean Valjean. Ce dernier est présenté comme un homme n'ayant

registresPerspectives complémentaires-Etude des effets sur les destinataires -Approche de l’histoire littéraireObjectifs méthodologiques et linguistiques-But : aborder les différents genres de la littérature et les différentes sortes d’éloge et de blâme (portrait élogieux, blason, éloge funèbre, blâme, caricature…) -Les figures de style de l’amplification, de l’exagération… -Etude de la forme poétique d’un texte -Le registre laudatif, le registre pathétique -Stratégie du blâme -Les différentes formes de l’éloge

cause de ce grelottement. Cette confusion nous pousse à nous interroger. Est-ce la conséquence du manque d’habit « toile trouée » (ligne13), « pas un chiffon de laine » (ligne13) ou bien la crainte des Thénardier qui en est la source « tâche bleu ou noir qui indiquaient les endroits où la Thénardier l’avait touché » faisant allusion aux mauvais traitements.Le traitement que reçoit Cosette de la part des aubergistes et en « accord » avec la norme de cette époque, la maltraitance des enfants est monnaie

tomes du roman, témoins de la misère de ce siècle, misérables eux-mêmes ou proches de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier (dont Éponine, Azelma et Gavroche) ainsi que le représentant de la loi Javert. Tome I : Fantine Dans ce tome s'entremêlent les deux destinées de Fantine et de Jean Valjean. Le livre s'ouvre sur le portrait long et détaillé de monseigneur Myriel, l'évêque du diocèse de Digne, où il vit très modestement en compagnie de sa sœur Baptistine et d'une

inégalités creusées que connaît Victor Hugo. Nous verrons tout d’abord que l’auteur nous propose dans cet extrait un portrait de Fantine pour ensuite nous intéresser au portrait de la société. Dans un dernier temps, nous verrons en quoi cet extrait critique la société française du XIXème siècle. Tout d’abord, Victor Hugo nous dresse dans cet extrait du roman Les Misérables un portrait précis et réaliste du personnage de Fantine. Pour apporter une image précise à son lecteur, le romancier présente

bonheur parfait (et sacrificiel) de Valjean. Sinon, dans l’autre monde : Fantine malgré ses péchés meurt en paix et sera sauvée. On voit comme dans le roman chaque personnage ou presque est confronté à cette grave question des deux lois. Avidité (Thénardier), règles de police (Javert), ordre social (la petite bourgeoisie), ne sont que des cas particuliers de la soumission aux lois humaines. À l’inverse, telle religieuse, sottement bonne, connue pour n’avoir jamais commis la moindre faute, soumise à

23/09/2015 1ère ST2S 3 Victor Hugo est né le 26 février 1802 et est décédé le 22 mai 2885. Il était poète, romancier et dramaturge. Il a écrit Les misérables en 1862. Dans son roman Victor Hugo écrit en cinq tomes le portrait de la France au XIX ème Siècle et de ses injustices social. L'extrait étudiée est la première partie du livre cinquième le chapitre dix ou Hugo nous raconte l'injustice dont est frappée Fantine. On pourra dés lors se demander comment Victor Hugo

dégage une certaine majesté. Les comparaisons utilisées sont valorisantes : "comme le granit rose travaillé par un ouvrier habile", "dont les paupières ne s'abaissaient non plus que celles de l'épervier sacré". Au contraire, le portrait que dresse Victor Hugo de Madame Thénardier est caricatural et grossier. Il la compare à "un éléphant", à "une ogresse", "un bourreau". Enfin, le bibliothécaire, Malachie de Hildesheim, est décrit par Umberto Eco comme quelqu'un d'étrange "une aussi singulière physionomie"

lecteur se la représente comme une femme vicieuse, manipulatrice, comme une créature sordide, cela ne faisant que la rendre plus antipathique. Dans le texte C, extrait des Misérables de Victor Hugo, Mme Thénardier nous apparaît comme une marâtre et une femme tyrannique. Le narrateur en fait un portrait extrêmement péjoratif : « de la race de ces sauvages colosses », « l'ogresse »... Notamment en utilisant des procédés stylistiques récurrents tels que l'énumération : « grande, blonde, rouge, charnue

différents tomes du roman, témoins de la misère de ce siècle, misérables eux-mêmes ou proches de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier (dont Éponine, Azelma et Gavroche) ainsi que le représentant de la loi, Javert. Tome I : Fantine Dans ce tome s'entremêlent les deux destinées de Fantine et de Jean Valjean. Le livre s'ouvre sur le portrait long et détaillé de monseigneur Myriel, l'évêque du diocèse de Digne, où il vit très modestement en compagnie de sa sœur Baptistine et d'une servante