Portrait De Mathilde

sont moindres malgré la fatalité qui va les atteindre, dans Le Rouge et Le Noir, Julien Sorel devient incontrôlable et se venge, ce qui le voue à une mort, mais le plus poignant c'est que cela se diffuse autour des deux femmes qu'il a tant aimées. Mathilde de la Mole va jusqu'à littéralement porter la tête de son amant par amour et pour ainsi accomplir les dernières volontés de celui-ci, elle est poussée par ce réel sentiment d'amour qu'elle ressent pour Julien. Ce qui crée un sentiment de compassion

fait, Stendhal minimise l'amour que Mme de Rênal porte à Julien. Malgré sa profonde piété, son aliénation religieuse, Mme de Rênal ne cessera d’aimer Julien, de le lui montrer, et chaque jour un peu plus (en témoigne sa jalousie lors de l'épisode du portrait caché par Julien). Et la froideur qu'elle voudra marquer quelque temps après sera en fait toute relative : « La froideur vertueuse qu'elle avait voulu donner à son accueil fit place à l'expression de l'intérêt, et d'un intérêt animé par toute la

croyant, il définit les commandements de Dieu en quatre: faire le bien, éviter le mal, respecter le vieil âge et être sévère envers soi comme envers les autres. En étant veuf, il est attristé depuis la mort de sa femme, Mathilde. Père de deux enfants, Marie-Amanda qui est le portrait de sa mère, et Amable-Didace qui par sa veulerie et débilité dénigre la dignité et le respect des préceptes ancestraux. Alphonsine, la bru de son fils vivant avec lui et ce dernier n’est aucunement proche de la maitresse

temple de Vesta, -- et tout l'appartement sentait un peu le moisi, car le plancher était plus bas que le jardin.       Au premier étage, il y avait d'abord la chambre de "Madame", très grande, tendue d'un papier à fleurs pâles, et contenant le portrait de "Monsieur" en costume de muscadin. Elle communiquait avec une chambre plus petite, où l'on voyait deux couchettes d'enfants, sans matelas. Puis venait le salon, toujours fermé, et rempli de meubles recouverts d'un drap. Ensuite un corridor menait

Mathilde 3e G Fabry Rapport de stage au sein de l’entreprise Brézillon(du 3 février au 8 mars) Sommaire Introduction 1) Présentation de l’entreprise : Brézillon a) Historique b) Présentation générale de l’entreprise c) Comité et syndicat d) Organigramme 2) Accueil a) Le rôle de l’employeur b) Les relations avec les autres services

caché son portrait. Quand un jeune homme lui fait la cour, elle lui explique qu’elle épousera celui qui aura la chance (ou l’intelligence) de trouver son portrait. Le couvercle de chaque coffret porte une inscription pour guider le soupirant ; mais attention, explique Rébecca, une seule inscription est vraie, les deux autres sont fausses !   Sur le coffre en or Sur le coffre d’argent Sur le coffre de plomb Le portrait est dans ce coffret Le portrait n’est pas dans ce coffret Le portrait n’est

Courbet par exemple, ont encouragé les débuts des peintres comme Monet, Corot, Pissarro et Renoir. Ce groupe d’artiste doit sa réussite notamment à Nadar ainsi qu’à Durand-Ruel car ils ont permis de lancer leur carrière. Donc je ne présenterai les portraits et les liens au groupe des impressionnistes de Zola, Bracquemond, Nadar et Durand-Ruel. Le célèbre écrivain Zola, fréquentait de nombreux artistes : son amitié avec Paul Cézanne remonte à son enfance à Aix, mais il connaissait également Monet, Manet

pour tout lecteur qui sait à quoi il doit s'en tenir. L'histoire, inspirée d'un fait réel de l'année 1827, le procès d'Antoine Berthet est indiscutablement précise, minutieuse et réaliste. Rien n'échappe à l'écriture de Stendhal dans les différents portraits qu'il réalise des trois personnages principaux du roman. Alternant la focalisation, le récit se développe lentement et parfois, il est vrai, plonge le lecteur dans la monotonie et l'ennui. Pour peu que l'on s'accroche, on fini par trouver un véritable

Fred Vargas L’homme aux cercles bleus 1996 Mathilde sortit son agenda et nota : « Le type qui est assis à ma gauche se fout de ma gueule. » Elle but une gorgée de bière et jeta un nouveau coup d’œil à son voisin, un type immense qui pianotait sur la table depuis dix minutes. Elle ajouta sur son agenda : « Il s’est assis trop près de moi, comme si l’on se connaissait alors que je ne l’ai jamais vu. Certaine que je ne l’ai jamais vu. On ne peut pas raconter grand-chose d’autre sur ce

Leurs souffrances possèdent maints éléments semblables. Or chacune lutte avec sa souffrance de façon différente. Nous avons déjà mentionné plusieurs fois que nous analyserions les personnages de Thérèse Desqueyroux, Noémi d’Artiailh, Félicité et Mathilde Cazenave. Nous regarderons en premier lieu une brève description de leur histoire et de leur caractéristique. Ensuite, nous présenterons les éléments communs  des causes de leurs souffrances: la famille, la société, le mariage, la vie maritale, la