Portrait De Mathilde

la culture japonaise). L’auteur souhaite exposer le monde du travail japonais, qui consiste à réclamer la perfection des employés, mais également à mettre à l’écart et frapper d’ostracisme les éléments déviants, sans toutefois les licencier. Son portrait : elle n’est pas décrite physiquement, le lecteur ne la connait que par ses pensées, qui montrent un caractère volontaire et déterminé (refus de démissionner). Le bruit des trousseaux, Philippe Claudel -personnage peu présent, recueil de souvenirs :

qui sait y rajouter le petit zeste de scandale destiné à assurer leur succès. En 1904, Colette gagne enfin son nom d'écrivain en signant un premier ouvrage : Dialogues de bêtes, préfacé par Francis Jammes. Elle s'émancipe, noue une liaison avec Mathilde de Morny (Missy, 1862-1944), se sépare puis divorce de Willy en 1906. Elle parcourt la France pendant six ans comme actrice de mime. Elle continue néanmoins d'écrire (la Retraite sentimentale, 1907 ; l'Ingénue libertine, 1909). La Vagabonde (1910)

et les fuites du personnage principal. Julien Sorel apparaît au sein de sa famille comme un être humilié à la fois par son père et ses frères. Le portrait que lui consacre le narrateur au chapitre IV de la première partie du roman, le fait apparaître comme une victime de la brutalité d'une famille intolérante et brutale. Le lexique employé dans ce portrait est péjoratif et le personnage aux « joues pourpres » et aux « yeux baissés », « toujours battu » par ses frères est l'« objet des mépris de tous

dans leur journal. Mais changeons, si vous le voulez bien, quelques noms. Berthet deviendra Julien Sorel ; Mme Michoud sera Mme de Rênal, et son amie, Mme Marigny, Mme Derville ; M. de Cordon s’appellera le marquis de La Mole et Mlle de Cordon : Mathilde de La Mole. Le village de Brangues sera baptisé Verrières. Voilà ce qu’a fait Stendhal. À part cela, il n’a rien échangé au fait divers lui-même et si dans un roman le lecteur n’est curieux que de savoir comment l’histoire finit, le compte rendu

Introduction à la science politique Travaux dirigés Séance 2 : La légitimation Documents de travail ‐ Jacques LAGROYE, Bastien FRANCOIS, Frédéric SAWICKI (dir.), « Ordre accepté et ordre souhaité », in Sociologie politique, Paris, Presses de Sciences Po / Dalloz, 2006 (5e éd.), p. 435-448. - Marc VALERI, « Autoritarisme et stratégies de légitimation dans le Golfe Persique à l’heure du printemps arabe », Revue Internationale de Politique Comparée, vol. 19, n.4, 2012, p. 111-133

| | |ch « Samedi soir » du début jusqu’à « qui disait attention au fil » p 13 et 14 | | |L.A. n° 2 –l’histoire de Mathilde et de Manech | | |ch « Les mimosas d’Hossegor » du début jusqu’à à travers les barreaux » p 221 à 223 | |

dans leur journal. Mais changeons, si vous le voulez bien, quelques noms. Berthet deviendra Julien Sorel ; Mme Michoud sera Mme de Rênal, et son amie, Mme Marigny, Mme Derville ; M. de Cordon s’appellera le marquis de La Mole et Mlle de Cordon : Mathilde de La Mole. Le village de Brangues sera baptisé Verrières. Voilà ce qu’a fait Stendhal. À part cela, il n’a rien échangé au fait divers lui-même et si dans un roman le lecteur n’est curieux que de savoir comment l’histoire finit, le compte rendu

Quelle est son origine sociale ? etc 2) Ses grandes actions à la tête de l'empire : a-t-il agrandi l'empire ? A-t-il promulgué des lois importantes ? A-t-il mené des guerres, conquis des territoires, mené des actions politiques fortes ? etc.3) Son portrait : quelles sont ses qualités et ses défauts ? Comment est-il perçu par le peuple ? 4) Une anecdote croustillante sur sa vie (famille, liaison, amis) ou sa politique. Pas de fake news ! 5) Son œuvre architecturale de son règne : quelle œuvre a-t-il

de Lafayette appelle la sensualité et l’union des corps. La sensualité est par exemple très présente dans la scène du pavillon de Coulommiers : la nuit, la chaleur, une toilette négligée, les regards passionnés que Mme de Clèves jette sur le portrait du Duc de Nemours, son application à orner de rubans la canne des Indes, tout cela amène un érotisme diffus mais évident.  Force dévastatrice de la passion amoureuse. Si l’amour ne se commande pas, puisqu’il est de l’ordre de la fatalité et

chambre me hait à la mort. Je dois vous avouer, Madame, que j’ai un portrait ; je l’ai caché dans la paillasse de mon lit. À ce mot, Mme de Rênal devint pâle à son tour. – 70 – – Vous seule, Madame, pouvez dans ce moment entrer dans ma chambre ; fouillez, sans qu’il y paraisse, dans l’angle de la paillasse qui est le plus rapproché de la fenêtre, vous y trouverez une petite boîte de carton noir et lisse. – Elle renferme un portrait ! dit Mme de Rênal, pouvant à peine se tenir debout. Son air de