Portrait De Ruy Blas

la guerre ? GROUPEMENT DE TEXTES : LECTURES ANALYTIQUES D’EXTRAITS : • Texte 1 : Agrippa d’Aubigné, Les Tragiques, 1616, Livre I, « Misères » de « Ici je veux sortir du général discours » à « De la France qui meurt fut un autre portrait. » • Texte 2 : Victor HUGO, Les Châtiments, 1853, de « L’enfant avait reçu deux balles dans la tête » à « Cousent dans le linceul des enfants de sept ans. » • Texte 3 : Arthur RIMBAUD, « Le Dormeur du Val », octobre 1870,

Perfection de la tragédie 3) Synthèse des points communs et différences entre les deux genres Les comédies | Les tragédies | - personnages : souvent un peu ridicules, caricaturés. | - personnages : ils sont héroïques, nobles d'âme, portraits fouillés et humains. | - situation sociale des personnages : paysans, valets, bourgeois (commerçants), souvent. | - situation sociale des personnages : "grands de ce monde" (nobles, rois, etc) | - sujet : mariages contrariés souvent

exécuté en 1863 et commémore le 20e anniversaire de la mort de Léopoldine dont le portrait apparaît dans un halo. Ce dessin porte sur l'influence des séances de spiritisme. La forme même de l'ovale où apparaît l'image de Léopoldine est très proche de celles tracées par la "table”. Des tonalités que l'on trouve rarement dans les dessins de Victor Hugo apparaissent, ainsi la couleur mauve, autour de l'ovale où figure le portrait de Léopoldine, comme si Victor Hugo avait voulu rappeler la tenue qu'elle portait

scénographie et costumes Pierre-André Weitz lumières Elie Romero régie plateau Marine Molard musique Gabriel Philippot assistanat à la mise en scène Léo Cohen-Paperman avec Loïc Brabant La duègne, Ricardo Vanessa Fonte doña Sol Jean-Michel Guérin don Ruy Gomes Marine Molard don Sanchez Antoine Philippot Hernani Pierre-Benoist Varoclier don Carlos directeur de production Vincent Marcoup administration Anne Delépine Coproduction ici et maintenant théâtre / Espace Jean Vilar de Revin La compagnie

Victor Hugo Page d'aide sur l'homonymie Pour l'homme politique portugais, voir Victor Hugo de Azevedo Coutinho. Pour les autres significations, voir Victor Hugo (homonymie). Victor Hugo Description de cette image, également commentée ci-après Portrait de Victor Hugo par Nadar. Données clés Nom de naissance Victor Marie Hugo Activités Écrivain Romancier Poète Dramaturge Pamphlétaire Personnalité politique Dessinateur Pair de France Sénateur Naissance 26 février 1802 Maison natale

scène de Bezace) et jusqu’à la conquête finale, « conduit » tout et déploie ses « batteries ». Il dirige les événements, il utilise les uns et les autres, comme la pauvre Marton, ou Arlequin, il fait intervenir différents objets comme les deux portraits ou une fausse lettre ou, comme l’indique le titre de la pièce, il joue avec « les fausses confidences ». (à expliquer et développer de même un autre exemple précisément) Tout cela mêle habilement vérité et mensonge ; le stratagème est partagé

succès populaire avec par exemple Notre-Dame de Paris (1831), et plus encore avec Les Misérables (1862). Au théâtre, il expose sa théorie du drame romantique dans sa préface de Cromwell en 18273 et l’illustre principalement avec Hernani en 1830 etRuy Blas en 1838. Son œuvre multiple comprend aussi des discours politiques à la Chambre des pairs, à l'Assemblée constituante et à l'Assemblée législative, notamment sur lapeine de mort, l’école ou l’Europe, des récits de voyages (Le Rhin, 1842, ouChoses

forte, qui se domine entièrement → Source de pathétique. Un seul élément explique cette mise en scène : tenir compte de ce qui ne se voit pas. À l’origine de cette douleur et de ce double jeu, un personnage absent. Quel portrait ? Qu’imagine le spectateur ? 1. Le portrait Paradoxalement, un personnage absent, mais terriblement présent et dont les contours se précisent dans cette scène : • L’absence-présence scénique – Paradoxe de l’absence-présence envahissante. – Dirige toute la scène (metteur

Dans le cadre du cours de Français | Sous la direction de Madame Colmant | | Mons | 2009 – 2010 | Introduction Le roman que j’ai choisi n’est autre que le chef-d’œuvre Les Misérables de Victor Hugo. Dans ce livre, il nous dresse un portrait dénonciateur de la société du XIXème siècle. Il y décrit avec pessimisme la condition des personnes fortunées, souvent injuste vis-à-vis des désœuvrés. Victor Hugo fait partie des écrivains les plus célèbres de tout les temps. En effet, il se distingue

n’a aucun souci de la mode mais, à l’écart des avant-garde comme de tout passéisme, il colle instinctivement à son temps. On le voit en matière d’habillement, d’allure et de conduite de sorte que, ajoutée une surprenante plasticité du visage, ses portraits datent avec exactitude, sans aucun des ces anachronismes qui font ressembler Baudelaire à Malraux et Gautier à Picasso[4]. Son univers intellectuel aussi prend l’air du temps. Attentif au mouvement des idées, curieux de tout, lecteur attentif et