Portrait Du Duc De Nemours

où l'auteur ne se contente pas de décrire le milieu du journalisme parisien, mais d'en dénoncer les excès de son époque. Parfois, le personnage ne reflète plus la société telle qu'elle est mais la société telle qu'elle devrait être : Comme le duc de Nemours dans la Princesse de Clèves de Mme de la Fayette, pourvus de nombreuses vertus. III. Autres fonctions Faire réfléchir sur la nature humaine : Désir d'ascension sociale de George Duroy, Bel-Ami de Maupassant, et son attirance pour les jolies femmes

susciter une passion réciproque. La princesse de Clèves fait par la suite connaissance avec le Duc de Nemours, et tombent amoureux l’un de l’autre. La mère de la Princesse meurt et se retire à la campagne comme lui avait conseillé sa mère ayant compris l’attirance qu’elle avait pour le Duc. Le prince lui demande de revenir pour recevoir les condoléances de la reine dauphine. Celle-ci informe la princesse que le Duc est secrètement amoureux et la dauphine sous-entend que c’est d’elle qu’il est amoureux

métaphorisation de la femme ordre du portrait balzacien : tête, visage, robe. Le deuxième paragraphe constitue une pause descriptive offrant une image stable de la jeune femme vêtement qui engloutit le corps de la femme et qui participe de cette sensualité (cf. portraits de Monet). Valeur poétique du vêtement, de suggestion : Frédéric la respecte religieuse, s’interdit de pouvoir la toucher. Il se retourne de façon métonymique sur ses vêtements : « rubans roses » portrait en profil perdu n’indiquant aucune

et le duc de Nemours, qui incarnent les valeurs de loyauté, d’honneur et de mesure. Mais, s’éloignant du modèle chevaleresque, mythique et totalement idéalisé, elle élabore de vrais personnages, plus complexes, et livre une analyse subtile du sentiment amoureux, dans toutes ses nuances et ses contradictions. Le roman : Un bal a lieu à la cour à l’occasion des fiançailles de Claude de France, fille du roi Henri II. C’est là que les deux personnages principaux, la princesse de Clèves et le duc de Nemours

qui crée un hiatus avec l’apparition d’un homme anodin au physique peu agréable. Morel semble minuscule au milieu de cette nature : « se frayant un chemin à travers l’herbe qui lui arrivait jusqu’à la poitrine ». 2. Pourquoi peut-on parler d’un portrait physique péjoratif ? Le narrateur met en avant les défauts de Morel : « homme costaud, un peu vulgaire », « visage têtu et renfrogné », « cheveux désordonnés et collés par la sueur », « joues couvertes d’une barbe de plusieurs jours », « impression

l'auteur ne se contente pas de décrire le milieu du journalisme parisien, mais d'en dénoncer les excès de son époque. Parfois, le personnage ne reflète plus la société telle qu'elle est mais la société telle qu'elle devrait être : Comme le duc de Nemours dans la Princesse de Clèves de Mme de la Fayette, pourvus de nombreuses vertus. I. Le romancier peut exprimer sa vision du monde 1. Par le contexte Les intrigues s'inscrivent dans un contexte particulier Peut être situé dans un lieu, une

déchue par celui-ci. Ce roman montre les codes d'une cour qui est le règne du «paraître» et où la princesse est inscrite dans une fatalité imposée par son milieu, elle vivra un amour platonique avec son amant le duc de Nemours. Le personnage mis en scène est éloigné du réel, son portrait physique n'est pas détaillé, le lecteur est seulement informé de sa blancheur montrant sa pureté morale et sa vertue, ses cheveux blonds et ses traits réguliers qui font d'elle un personnage idéalisé qui laisse

faiblesses humaines. A ce titre, l'idéal de l'honnête homme n'est pas vraiment séparable des codes héroïques à l'œuvre dans la tragédie. Jean de La Bruyère (1645-1696) Les Caractères (1688) Nous proposons ci-dessous quelques fragments des portraits qui émaillent les Caractères. Cette typologie, par laquelle La Bruyère entend stigmatiser des travers inconciliables avec l'honnêteté, nous servira à proposer des travaux d'analyse destinés à retrouver, "en creux", cette notion fondamentale de la

elle, vole avant de partir, elle aggrave son cas. -Il semble que le perso principal soit Merteuil et pas Valmont, elle le domine, bien qu'il soit un homme. → mise en scène d'une femme héroine → mais une femme pervertie. La princesse de Clèves - Portrait de Mlle de Chartres Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle donna de l'admiration dans un lieu où l'on était si accoutumé à voir de belles personnes

particulier son chef d'œuvre Lorenzaccio).Cette pièce relate l'histoire d'un personnage éponyme en Italie, au XVIe siècle dans la ville de Florence. Le Duc Alexandre de Médicis règne en tyran corrompu et Lorenzo de Médicis est son cousin (qui va gagner la confiance du Duc pour l'assassiner et libérer la ville de Florence d'un dictateur).Dans cette scène Le duc et Lorenzaccio attend une jeune fille qui doit passer la nuit avec lui. Pb: Dans quelle mesure cette scène remplie-t-elle les fonctions d'une exposition