Portrait Du Vieux

structures politiques et économiques de la Guyane. Et Aimé Césaire, le communiste, avait demeuré un révolté. Le mot « négritude » fut créé par Aimé Césaire, vers 1936. De fait, il est employé dans un des premiers poèmes de Léopold Sédar Senghor, « Le Portrait »: « Il ne sait pas encore L'entêtement de ma rancœur aiguisé par l'Hiver Ni l'exigence de ma négritude impérieuse... » Pour revenir donc à la « Négritude », Césaire la définit ainsi : « La « Négritude » est la simple reconnaissance du fait

mort. La description de son attitude nous fait comprendre qu’il a certainement subit des chocs traumatisants. Le personnage se différencie également par son étrange physique. Il est décrit comme sec et maigre. Le colonel Chabert est qualifié de vieux soldat ce qui intensifie son piteux état. Ses yeux semblent sales « couverts d’une taie transparente »ligne 10. Son visage pâle et livide est aussi caractérisé par la vulgaire expression « en lame de couteau ». En effet, cette expression souligne

de la capitale. Ce photographe JR , et (son complice) Marco. Israéliens et Palestiniens sont comme des jumeaux élevés dans des familles différentes. Ils ont donc demandé à 41 d’entre eux de grimacer devant leur objectif, avant d'afficher leurs portraits dans des formats gigantesques, de part et d’autre du mur de séparation en 2007. Une approche originale et optimiste de la situation au Proche-Orient. Mes ressentis personnels : Mon impression sur ses œuvres et lui; seulement je trouve sa fantastique

dirigeants qui prive de liberté. Le champ lexical du néant apparaît nettement avec des termes comme « ruines » - « fossiles » - « à jamais détruit »- ou encore "débris". Le passé est révolu, vieux, comme le montre l'expression « le vieux continent ». L'auteur fait là une référence à l'Europe que l'on appelle le vieux continent. Et bien que le passé offre encore quelques soubresauts en « s'agitant" » les fantômes qu'il propose à la vue de la jeunesse sont ceux d'une époque qu'elle préfère oublier et qui

__ Deux mots de plus, duègne, vous êtes morte! Il la regarde fixement. Elle se tait effrayée. Suis-je chez doña Sol, fiancée au vieux duc De Pastrana, son oncle, un bon seigneur, caduc, Vénérable et jaloux? Dites. La belle adore un cavalier sans barbe et sans moustache encore, et reçoit tous les soirs, malgré les envieux, le jeune amant sans barbe, à la barbe du vieux. Suis-je bien informé? Elle se tait. Il la secoue par le bras. Vous répondrez, peut-être. DOÑA JOSEFA __ Vous m'avez défendu de dire

Deux mots de plus, duègne, vous êtes morte ! Il la regarde fixement. Elle se tait effrayée. Suis-je chez doña Sol ? fiancée au vieux duc De Pastraña, son oncle, un bon seigneur, caduc, Vénérable et jaloux ? dites ! La belle adore Un cavalier sans barbe et sans moustache encore, Et reçoit tous les soirs, malgré les envieux, Le jeune amant sans barbe à la barbe du vieux. Suis-je bien informé ? Elle se tait. Il la secoue par le bras. Vous répondrez peut-être. DOÑA JOSEPHA. Vous m’avez défendu de dire

santé! HARPAGON: Qui, moi? FROSINE: Jamais je ne vous vis un teint si frais et si gaillard. HARPAGON: Tout de bon? FROSINE: Comment? vous n'avez de votre vie été si jeune que vous êtes; et je vois des gens de vingt-cinq ans qui sont plus vieux que vous. HARPAGON: Cependant, Frosine, j'en ai soixante bien comptés. FROSINE: Hé bien! qu'est-ce que cela, soixante ans? Voilà bien de quoi! C'est la fleur de l'âge cela, et vous entrez maintenant dans la belle saison de l'homme. HARPAGON:

masques. Chacun recèle une idée lancée à contre-courant du sens commun, Wilde opposant sa vivacité d'esprit à l'inertie de l'opinion partagée. 2. La nature artificielle Dans le premier, l'auteur met en scène un dialogue entre Cyril et Vivian, vieux procédé littéraire, réanimé ici par la jeunesse des acteurs et l'introduction, au sein de la discussion, d'un essai que Vivian lit à Cyril (et qui n'est autre que le déclin du mensonge). En habile défenseur d'un dandysme inavoué, Vivian expose la supériorité

semblent déjà bien ! LITTERATURE A) Figures emblématiques : Homère, Nestor dans Iliade, Chant IV , 279-314, Chant X, 165-238, Chant XIV, 24-94 FolioClassiques, 1998. Corneille Don Diègue dans Le Cid (1621), Classiques Hachette, 2007. Voltaire, Le vieux musulman dans Candide, Chapitre 30. Montesquieu : Les deux patriarches de l’ « Histoire des Troglodytes », dans Les lettres persanes (1721), Lettre XIV, Folio-Classiques, 2003. Diderot, Le vieillard (« Le discours du vieillard ») dans Le Supplément

jouant, passe au doigt de la statue la bague qu'il destine à sa future femme. Le soir, bouleversé, il révèle au narrateur qu'il n'a pas pu reprendre l'anneau car la Vénus a serré le doigt pour le garder comme un gage de fiançailles. Portrait de la Vénus d'Ille Le portrait donné de la statue est ambigu : on la sait inanimée mais certains détails font penser le contraire. Elle est grande et entièrement en bronze Son corps est noir et ses yeux blancs (mise en relief) Elle est dénudée (peut inspirer