Portrait M Poiret

Vanity Fair…… et contribuent à le faire connaître. Mais s’il vend peu de ses peintures, il devient célèbre grâce à ses photos d’artistes : James Joyce, Picasso, Dali, Eluard. En 1922, il devient le photographe de mode d’un couturier parisien Jean Poiret. Il invente une technique photographique particulière, la rayographie ou photogramme, procédé qui consiste à réaliser des photos sans appareil, en plaçant des objets sur une plaque photosensible exposée à la lumière. Le rayogramme ne propose pas

croire aux dires d’un vieux seul qui attend la visite des femmes belles et jeunes et qui les fait passer pour ses filles. Seuls les événements qui viendront par la suite peuvent nous révéler la vérité de ces comportements. Le père Goriot trace le portrait tragique d’un vieux délaissé et méconnu, seul face à ses tristesses et ses maux à cause des caprices et des besoins matériels interminables de ses filles. Ces dernières le met dans une situation de malheur au point de provoquer son déclin final.

Castex, s’oppose au terme « portrait » qui comprend aussi le côté « caractère » comme il se dégage d’une personne vue de très près. Le « type », d’après P.Georges Castex, est un personnage légèrement esquissé. Le « type » englobe conséquemment une diversité d’observations possibles et renvoie à toute une société dans sa complexité. On peut ici aller plus loin en supposant que la société se compose d’un certain nombre de « types » qu’elle représente en effet. Le « portrait » est une image profonde et

de France, du Vatican, d’Istanbul, de Madrid... 7 Lampe cylindrique mamelouke – xıxe siècle 9  Lisbonne, Museu Calouste Gulbenkian “Les Mille et Une Nuits que j’adore occupent plus d’un quart de ma tête”. [Stendhal] a 8 Portrait d’Antoine Galland !  Les Mille et Une Nuits, contes arabes, édition de E. Bourdin – 1840 Paris, Institut du monde arabe, fonds de la documentation Journal d’Antoine Galland – 1710-1711 6  Paris, Bibliothèque nationale de France

Eugène de Rastignac……………...………………74 - Victorine Taillefer………………………………...75  Les classes moyennes 6 - Mme Couture………………………………..……76 - Vautrin…………………………………………….76 - Mme Vauquer……….……………………………76  Le peuple…………………………………………………………77 - Poiret et Mlle Michonneau……………………….78 - Jean Joachim Goriot………………………………79 - Sylvie et Christophe………………………………79 c) La pension Vauquer et le monde extérieur………………...……..80 - Les nobles et les hauts bourgeois…………………81 - Les classes moyennes………………………

BEL AMI, Maupassant Portrait d’un héros en marche vers le succès (Incipit) INTRODUCTION Bel Ami est un roman d’apprentissage dont l’intérêt repose sur l’irrésistible ascension d’un personnage central rongé d’ambitions, Georges Duroy. Après Julien Sorel[1] et Eugène de Rastignac[2], cette « graine de gredin, qui va pousser dans le terrain où il tombera » (« Ce terrain est un journal »)[3] ose s’attaquer à Paris, la ville tentaculaire, la ville entre toutes les villes : comme eux, il

question rhétorique. Le personnage adopte un ton particulièrement péremptoire. Il met ainsi en avant son expérience de la vie et les quelques années de plus que Rastignac. Aux lignes 30-33, il ridiculise réellement le travail. Dans cette phrase, il cite Poiret qui est dans le roman un personnage « raté ». Le dégout que Vautrin veut inspirer a Rastignac pour la vie conventionnelle bien entendu amène aussi un dégout du mariage. Sa stratégie est perverse, et commence par une concession à la ligne 9. Aux

cela, il utilise le medium qui est censé la retranscrire au mieux : la photographie. III. Les rayogrammes ou la révélation d’un autre monde A. La peinture à la lumière Dans Autoportait, MR relate une conversation qu’il a eu avec Paul Poiret qui lui demandait ce qu’était les rayogrammes. Il lui explique qu’il « essayait de faire en photographie ce que faisaient les peintres, avec une différence, qu’il utilisait la lumière et les produits chimiques au lieu de couleurs et cela sans le secours

vestimentaire, l’artisan couturier gagne en autonomie. Dégagé des corporations, il revendique alors une position artistique aussi bien en tant que mécène qu’en lançant de nouvelles normes (Coco Chanel et sa tenue de bonne). Au début du XXe siècle, Paul Poiret relance la mode de l’orientalisme. Cette interprétation idéalisée de l’opulence orientale 2. Comme Anne Raulin, je retiens la définition formulée par F. Barth en 1969 « selon cet auteur, les groupes ethniques se manifestent en se différenciant par

de l'image - Perspectives obliques et insolites - Prises de vue en plongée et contre-plongée - Agrandissement d'une partie d'image - Mouvement de la lumière - Photogramme - Typophoto (photographie imprimée comme texte) - Prises de vue aériennes - Portrait « objectif » - Négatif-positif d'un même motif - Surimpression - Introduction de nouvelles images à l'intérieur de la photo (miroirs...) - Photomontages 4. Les artistes Laszlo Moholy Nagy Le jeune László Nagy, d’origine Hongroise, entame des études