Portrait Moral De Quasimodo

bonheur au siècle des Lumières Séquence 2 : La dénonciation des injustices dans le conte voltairien (Zadig et Candide) Texte n°1 : La Guerre (Candide) Texte n°2 : L’autodafé (Candide) Texte n°3 : Le Nègre de Surinam (Candide) Texte n°4 : Le portrait du philosophe (Zadig) 4ème Objet d’étude : La poésie Deux poètes entre tradition et modernité : Charles BAUDELAIRE et Guillaume APOLLINAIRE Texte n°1 : L’albatros (BAUDELAIRE) Texte n°2 : A une passante (BAUDELAIRE) Texte n°3 : Zone

du personnage, fêlure inscrite dans le temps qui use, corrode, transforme, dans une ambiance automnale. Sa faiblesse est à la fois physique, faiblesse de sa vue « elle voyait mal », « binocle » « une chaise longue de convalescente », mais également morale « allongée au fond », liée à une certaine tristesse « rêve triste », « silencieuse ». A cela s’ajoute un caractère indépendant et volontaire « air de crânerie », « garçon impertinent », (ce qui connote aussi la jeunesse) « binocle d’homme », qui se

421 et 425, les termes de « démon » ou de « diable » sont des métaphores qui n’ont pas de résonances métaphysique. La question du salut éternel ne se pose plus : l’intrigue, pour faustienne qu’elle soit, gravite autour des thèmes de l’amour, de la morale et du politique. Ruy Blas en écrivant le second billet de la scène 4 de l’acte I, n’a pas conscience de vendre son âme au diable : il se soumet seulement à l’ordre social. Quand il vit son amour avec la reine, il ignore qu’il se fait l’instrument

maintenant largement tributaire non seulement de son éditeur, mais des goûts du public, qu’il doit satisfaire pour vendre. Les auteurs bénéficient cependant alors d’une grande considération sociale. Leur notoriété vaut même à quelques-uns une autorité morale ou politique – qu’on pense à Lamartine ou à Hugo, qui a eu droit à des funérailles nationales en 1885. Toutefois, il arrive aussi souvent qu’écrivains et artistes se sentent incompris, isolés dans une société égoïste et matérialiste où la littérature

425, les termes de « démon » ou de « diable » sont des métaphores qui n’ont pas de résonances métaphysique. La question du salut éternel ne se pose plus : l’intrigue, pour faustienne qu’elle soit, gravite autour des thèmes de l’amour, de la morale et du politique. Ruy Blas en écrivant le second billet de la scène 4 de l’acte I, n’a pas conscience de vendre son âme au diable : il se soumet seulement à l’ordre social. Quand il vit son amour avec la reine, il ignore qu’il se fait l’instrument

421 et 425, les termes de « démon » ou de « diable » sont des métaphores qui n’ont pas de résonances métaphysique. La question du salut éternel ne se pose plus : l’intrigue, pour faustienne qu’elle soit, gravite autour des thèmes de l’amour, de la morale et du politique. Ruy Blas en écrivant le second billet de la scène 4 de l’acte I, n’a pas conscience de vendre son âme au diable : il se soumet seulement à l’ordre social. Quand il vit son amour avec la reine, il ignore qu’il se fait l’instrument

d’outrage à la morale publique et religieuse, est condamné pour la publication de Madame Bovary. µ Victor Hugo publie une immense fresque romanesque, Les Misérables. 1830 1831 1835 1836 1851 1857 1862 1877 1885 Naturalisme Réalisme Romantisme 8 CNED SECONDE – FRANÇAIS SÉQUENCE 1 Chapitre 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Activité n°1 – Histoire des arts (vidéo) Activité n°2 – Portrait d’Edmond Duranty Portrait d’Edmond Duranty

bénéfice moral et financier pour Camille Claudel. La critique est élogieuse mais Camille Claudel est déjà trop malade pour en être réconfortée. Après 1905, les périodes paranoïaques de Camille Claudel se multiplient et s'accentuent. Selon elle, Rodin retient ses sculptures pour les mouler et se les faire attribuer, l'inspecteur des Beaux-Arts est à la solde du maître, des inconnus veulent pénétrer chez elle pour lui dérober ses oeuvres. Elle vit alors dans une grande détresse physique et morale, ne

guident cet objet d’étude orientent le parcours du questionnement sur la notion de personnage et de héros, sa pérennité comme personnage type à travers les siècles. Elles conduisent aussi à s’interroger sur ce qui touche, ou non, le lecteur dans le portrait qui se construit au fil de l’œuvre ou dans le récit de ses aventures et ainsi de se questionner sur ce que l’auteur donne à voir de son époque et de son projet d’écriture. La deuxième interrogation, « En quoi l’histoire du personnage étudié

les grands maîtres sont régulièrement convoqués. 2 Extraits de l'article de Francisco Calvo Serraller, "Les colonnes d'Hercule et la fin du monde", in L'imagination nouvelle. Les années70-80, M.A.M., paris, 1987 3 Texte de Bernadette Morales, service Documentation. SERVICE EDUCATIF – LES ABATTOIRS - 2008 4 Au fil du temps Manolo MILLARES cesse de meurtrir sa toile dans un violent combat obscur mais une angoisse agrippe encore ses dessins. Sin titulo (1971), dans la blancheur