Portrait Physique Et Moral Du Pere Goriot

IntroductionCe portrait se trouve dans la première partie du roman, il prend place logique dans le cadre de la présentation très complète des lieux et des personnages. Après avoir décrit la pension, le narrateur nous promène dans une sorte de galerie où figurent la propriétaire Mme Vauquer, la vieille demoiselle Michonneau avec Poiret, qui se ressemblent, et Victorine avec madame Couture sa gouvernante. Voici à son tour Vautrin. Puis sera évoquée la biographie de Goriot.Quand il présent un personnage

titre de « La comédie humaine » 1833 : Eugènie Grandet, l'histoire se passe dans l’Ouest de la France à Saumur,raconte l’histoire d’un tonnelier tyran, domestique et avare. Ici Balzac crée un personnage lié à l’Histoire . (Les Chouans,1829, Le Père Goriot, 1834-1835, La Peau de chagrin,1831) Balzac peint des personnages en relation avec la société . thèmes: l’ascension sociale, l’argent, la famille , les notables Citations: «Faire concurrence à l’Etat civil» ; «A nous deux maintenant» Le texte:

d'une autre, faisant ainsi travailler l'imagination de leurs lecteurs. Ainsi l'écrivain réaliste Balzac utilise ce procédé dans son roman Le Père Goriot.. L'étude de ce texte nous permettra de montrer l'image du double enterrement mis en place par l'auteur. Nous essayerons d'analyser les notations réalistes et la transposition du réel, la construction du portrait et l'impression dominante que le narrateur veut donner du personnage dans l’extrait. Honoré de Balzac est désigné comme un écrivain réaliste

b) Un personnage présenté au lecteur « Colin » premier mot du roman Un portrait physique sommaire : Couleur des cheveux « blond roux » Silhouette élancée Un visage enfantin « il avait la tête ronde , les oreilles petites, un sourire de bébé » Comparaison imprécise avec l’acteur (pas de nom) par l’intermédiaire du miroir  le personnage n’est pas perçu directement par le narrateur mais à travers un jeu de reflet Un portrait en action : dans le premier paragraphe description de chaque étape de la

Eugène de Rastignac dans « Le Père Goriot » de Balzac, son prénom Eugène signifie en grec « le bien né », celui qui est né sous une bonne étoile, de plus dans son nom Rastignac, on entend à la fois « rat » qui a une connotation péjorative mais aussi une rime en –ac renvoyant au nom de l’auteur Balzac. Il lui donne aussi un portrait physique et moral, Victor Hugo dans « les misérables » décrit avec précisions le personnage de Jean Valjean (sa taille, son aspect physique, ses vêtements…), dans « Napoléon

Peu d'allusions historiques Flaubert ne donne quasiment aucun élément historique permettant de situer avec précision les faits dont il parle. La seule date de tout le roman apparaît au début, lorsque le narrateur nous apprend que, "vers 1812", le père de Charles a eu des soucis dans des affaires. L’écrivain a totalement effacé les références historiques (Madame Bovary évoque des faits antérieurs à la révolution de juillet et se termine à la naissance de celle d'où naîtra l’IIe République), tout

rencontrer ? En France ? En Chine ? Le premier chapitre nous éclaire sur la Petite Tailleuse en question : son aspect physique, sa situation familiale, son caractère même sont assez précisément décrits. Mais, au terme de ce premier chapitre, on ne sait toujours pas comment Balzac va faire son entrée dans l’action. Une certitude cependant : la rencontre ne sera pas entre la personne physique du romancier et la jeune fille car l’action est nettement située en Chine pendant la Révolution culturelle : ce n’est

Lescaut. Les sentiments ne sont pas les seuls similitudes entre ces personnages de roman et des êtres réels. En effet, leur caractéristique physique font aussi en sorte que l'on se méprennent entre la fiction et la réalité. Les descriptions effectuées sont si précises que l'on ne peut pas croire à un être fictif comme celle du personnage de Vautrin dans Le Père Goriot de Balzac « il avait les épaules larges, le buste bien développé, des muscles apparents, des mains épaisses, carrées et fortement marquées

l'antique, mais un vrai paysan, au corps déformé par le labeur, saisi dans un moment de pause. Cependant, l'attitude reste noble et digne et incarne d'une manière nouvelle le dur labeur du paysan. Ses sculptures de par leur anatomie réaliste et du portrait sensuel de leurs émotions dégagent une impression très réelle. Jean-Baptiste Carpeaux (1827-1875) est aussi une figure emblématique de la sculpture réaliste bien qu'il soit plutôt inclassable dans tel ou tel courant. Avec Ugolin, un groupe

militaire et avec des détails destinés à faire vrai «  sous officier » dans les « hussards » on nous parle de sa situation économique précaire, son apparence physique, assez précisément, son portait physique, chaque élément dit dans se texte qui fonde une certaine perfection est aussitôt relativité pour obtenir au final un portrait physique moyen voir quelconque Elégance «  réelle » mais «  tapageuse » «  un peu commune » c'est-à-dire vulgaire, voyante, manque de distinction de classe « Blond »