Portrait Satirique D Un Hypocrite

Vanderdendur, le fameux négociant ». L’adjectif « fameux » peut aussi être pris en un sens ironique : le négociant est certes connu, mais plus pour sa cruauté que pour ses vertus. - Fantaisie verbale sur le nom « Vanderdendur » : il s’agit d’un nom-portrait qui contient dans sa forme la fonction et le caractère du personnage. L’allitération en « d » fait d’emblée de lui un être ridicule et antipathique. La première partie du nom nous apprend qu’il s’agit d’un négociant hollandais : « vander » est la

usage du vin : Janotus ivre se lance dans une harangue grotesque qui obéit pourtant à la rhétorique traditionnelle, syllogisme, période oratoire solidement construite mais il s'agit d'une caricature d'éloquence tant le contenu est bouffon. Verve satirique de Rabelais qui présente un sophiste attaché à de dérisoire biens matériels. Chapitre 20 : Janotus retourne à la Sorbonne croulant sous le poids des cadeaux offerts par Gargantua .Ses collègues refusent de le récompenser et veulent même le déposséder

théâtre dont les sujets viennent de l’Ancien et le Nouveau Testament ou aussi à la vie des saints. Écrit en latin Joué à l’intérieur des églises puis à l’extérieur (d’abord sur le parvis des églises puis dans les rues)  les prêtres trouvaient ça hypocrite ! - Le théâtre des jongleurs = « théâtre du jeu » ou « le jeu » joué dans la rue but : s’amuser (petites danses) 3 noms de jongleurs : Jean Bodel, Rutebeuf Des textes prophètes Écrivaient surtout des miracles (= pièces tiré

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Sganarelle ôte à Gusman tout espoir que son maître revienne vers Elvire : son départ est bien une trahison de l’engagement qu’il a contracté en se mariant. A cette occasion, il brosse, à sa manière, un portrait (très négatif : blâme et registre épidictique) du grand seigneur impie et débauché, un portrait donc d’un libertin. Ce texte appartient à la scène d’exposition de la pièce. Elle nous renseigne sur l’intrigue, le passé immédiat et les circonstances de l’action, mais nous permet aussi de découvrir

s'il souhaitait parfois s'isoler, Baudelaire était très attaché à la capitale. Mais, en faire une source d'inspiration principale ne veut pas dire faire un éloge. En effet, la vision de la ville est souvent péjorative, et la foule est décrite comme hypocrite, lâche et mesquine. e. Le temps. Il est l'ennemi de l'homme. L'auteur le personnifie, en lui attribuant constamment une majuscule, en un dictateur cruel et sans scrupule, qui fait de l'humanité son esclave. 2) Les registres Dans son Spleen

lequel naturellement, le loup mange la douce et innocente proie. Le mal est ici dénoncé. Ce souvenir préfigure, et annonce à la suite. On sacrifiera encore l'innocent. Axe 2 : Le discours du lion : comme au théâtre, de ce discours pourra naître un portrait. On pourra déceler 2 facettes. 1. Ambiguïté du personnage : " Le Lion tint conseil, et dit : " Mes chers amis " . " On décèlera une rupture à l'intérieur de l'Alexandrin, entrain enregistre initial soutenu, " tenir conseille " , des formes rythmiques

dans la fable Le Paysan du Danube (XI, 7). Il traite, comme Molière le sujet des médecins incompétents et cupides. Les magistrats et plus particulièrement la justice est traitée dans Le Chat, la Belette et le petit Lapin (VII, 15). Il fait enfin le portrait dans gens de la campagne à travers les paysans, bucherons, meuniers exploités par les classes sociales supérieures. Enfin, La Fontaine opère une reconstruction complète de l'univers dans la comédie que sont les fables. Les fables sont une construction

début du règne de Louis XIV. L’une de ses nombreuses œuvres, le Tartuffe, comédie en cinq actes représentée pour la première fois au château de Versailles le 12 mai 1664. Orgon, un personnage assez important, est tombé sous la coupe de Tartuffe, hypocrite et maladroit. Il est le seul (avec sa mère, Madame Pernelle) à en être dupe. Tartuffe réussit à le manipuler en singeant la dévotion. Cet aventurier se voit proposer la fille d’Orgon en mariage, en même temps qu’il tente de séduire Elmire. Mais en

Acte 1 scène 1 Annonce des axes Explication du texte : I - Portrait d’un séducteur : - pèlerin -> péjoratif : va de fête en fête - 5 énumérations :  (deux phrases) hyperboles  (idem) croyances de Dom Juan -> Ø  (3 phrases) ternaire -> ordre décroissant du plus au moins important -> c’est pour le spectateur  (4 phrases) ternaire -> Dom Juan ne respecte pas le sacrement du mariage, donc il ne croit pas à la religion -> prédateur des fêtes  (5 phrases) gradation