Portrait Satirique D Un Hypocrite

Les termes traduisant les difficultés rencontrées par l’homme Le champ lexical du verbe “saisir” pour la dame Les métaphores érotiques, puisqu’il s’agit de la quête d’un amour profondément sensuel Une veine plus réaliste (Rutebeuf) Une veine satirique (les fabliaux : Le Roman de Renart) Poésie allégorique (Le Roman de la Rose) XIV, XVème siècles : L’attention se resserre autour des techniques d’expression et le Moyen-Âge s’achève sur les jeux formels de “Grands Rhétoriqueurs”. II. Foisonnement

égard, intéressant de s’interroger avec les élèves sur l’étonnante préface dépréciative d’Yves Gohin dans l’édition Poésie Gallimard et d’en examiner l’argumentation. Ils permettent, par ailleurs, de découvrir tout à la fois des poèmes lyriques et satiriques mais aussi métapoétiques, offrant ainsi une réflexion sur la nature et la fonction de la poésie. Le découpage choisi met à jour l’imbrication de la sphère privée et de la sphère publique, et en particulier le rôle singulier que joue la petite Jeanne

utilisant toutes les modalités du récit, tout en variant les effets. Dans La Peste, la brève description du coupable - alors même que l’auteur passe sous silence une information capitale : quel crime a-t-il commis ? - peut sembler inutile. Pourtant, le portrait permet de rendre le texte plus vivant, de dépasser l’argumentation abstraite en l’incarnant dans un exemple particulier : « Il avait l’air d’un hibou effarouché par une lumière trop vive. Le noeud de sa cravate ne s’ajustait pas exactement à l’angle

possède une âme romanesque. Son orgueil, son courage, son énergie, son esprit font de cette lieuse un double féminin de Julien Résumé (par acte, chapître…) : LIVRE PREMIER Chapitre 1 : Description de la petite ville de Verrières. Son aisance. Portrait du maire, installé depuis 1815 : M. de Rênal, propriétaire de la fabrique de clous. Pour agrandir ses jardins, M. de Rênal a dû négocier ferme avec le propriétaire de la scierie : M. Sorel, père de Julien. Tyrannie de l'opinion à Verrières.

N°2 : dans le sonnet 62 qui précède, DB donne la poétique de la satire : « je mord[s] en riant » : invoque le patronage d’Horace. Or, s’abriter sous Horace, c’est s’abriter sous la « douce satire » (Cf. v. 81 de l’épître à D’Avanson). Le modèle satirique d’Horace est préféré à celui de Juvénal sous la Renaissance, car c’est une satire inoffensive, modeste, traitant de défauts modestes, mineurs. Juvénal, lui, parle des impostures politiques, des meurtres sous un style grandiloquent. DB a un ton +

devenir une philosophie ↔Rabelais reprend ici une maxime d'Aristote «le rire est inscrit dans la nature de l'homme»Plusieurs formes de rire présent dans Gargantua֎Rire ludique : oriente le divertissement avec humour , jeux de mots …֎Rire satirique : mis au service de la dénonciation avec de l'ironie ֎Rire didactique : apprendre de soi et apprendre des autres ֎Rire thérapeutique : rire qui soigneMouvement de l'avis aux lecteurs1°)Avertissement sur le contenu de l’œuvre au lecteur2°)Le rire

traits du céleste courroux » pour qu’il puisse « obtenir la guérison commune ». Le Lion commence « sans indulgence » (il s’accuse humblement pour donner l’exemple : on croit qu’on à pardonner un roi doux, bon ; mais on se rend compte que ce roi est hypocrite. Il montre qu’il est le plus fort car il a « dévoré force moutons » et « le berger » (3 courtes syllabes disposé en plein milieu de la page) : plus personne n’ose s’attaque à lui, c’est un roi imprévisible et un tyran sanguinaire. Au début, on pense

L'empressement de la cour s'explique par le fait « de s'acquitter envers le prince de certains compliments de consolati-on » vers 3 à 4 = discours solennels adressés à une instance supérieure / s'acquitter = une obligation, un devoir → la cour est hypocrite → soulignée par la diérèse : « consolati-on ; afflicti-on » = prononcer de manière distincte deux voyelles collées / affliction = grande tristesse → il n'y a aucune véritable douleur chez les courtisans mais un désir de s'attirer les faveurs du roi

partir du troisième paragraphe, le discours descriptif se poursuit par le portrait de Boule de Suif : « Petite, ronde de partout, grasse à lard, avec des doigts bouffis ». La description physique convoque de nombreux adjectifs et s’intéresse aux détails : « de grands cils épais », « une bouche charmante, étroite, humide », « quenottes luisantes et microscopiques ». Le temps dominant est l’imparfait. Maupassant fait le portrait d’un être singulier, excessivement gras, mais qui attire le regard et exerce

corps, Mathilde embrassera une dernière fois le front du père de son enfant, et Mme de Rênal mourra trois jours plus tard. RESUME DU ROMAN PAR CHAPITRE : LIVRE PREMIER Chapitre 1 : Description de la petite ville de Verrières. Son aisance. Portrait du maire, installé depuis 1815 : M. de Rênal, propriétaire de la fabrique de clous. Pour agrandir ses jardins, M. de Rênal a dû négocier ferme avec le propriétaire de la scierie : M. Sorel, père de Julien. Tyrannie de l'opinion à Verrières. Chapitre