Portrait Satirique De

Texte 3 : La Bruyère, Les Caractères , « Irène » , « De l’homme » , lib XI, 35 Intro : (biographie). Le fragment Irène (livre XI), dresse un portrait hypocondriaque sous la forme d’un récit fictif et de dialogue dont les contemporains comprennent rapidement que c’est le portrait de Mme de Montespan (maîtresse de Louis XIV pendant 14 ans). Toujours préoccupé de sa santé tout le temps, elle craint la mort comme la peste. Comment La Bruyère ridiculise-t-il les

Tartuffe, acte 1, scène 4 Contexte : ce passage fait partie du premier acte, il correspond à la scène d’exposition Argument du passage : Dorine présente Tartuffe et Orgon de manière comique et très satirique Auteur : Molière (Jean-Baptiste Poquelin) Date : 1664 : première version en trois actes, puis 1669 : dernière version en cinq actes Courant littéraire : Le classicisme (1650-1700) Type de texte : c’est un texte théâtral Genre :

mais image vrai)) -insistance (répétition, anaphore) -vous, nous -prétérition : n va pas dire un truc mais on le dit quand même (c’est une figure de style) -ponctuation excessive -adverbe d’intensité : « absolument » -émotion recherché : comique/ satirique/ironique/pathétique -argument indirect, implicite Forme : apologue : récit vif, court, plaisant, moral (fable, conte, mythe, atopie, conte philosophique) LA POESIE : QUETE DE SENS Vient de poyey qui signifie création .Une poésie c’est la création

Objectif : - découvrir le portrait de Charles et le regard ironique de l’auteur sur son personnage Lecture analytique : I, 7 « La conversation de Charles…ronflait. » Confrontation avec un extrait du film de Claude CHABROL § SEANCE N°4 : RETOUR SUR LECTURE (1 heure) Objectif : - effectuer un premier temps de réflexion autour des deux personnages découverts et de la vision du monde qui en découle Travail d’écriture : Réaliser dans une synthèse d’une vingtaine de lignes le portrait (physique et moral)

« Les obsèques de la lionne », VII, 14, Fables, La Fontaine. Problématique : Montrer que le texte est de registre satirique ; comment LF critique-t-il les comportements à la cour ? I. Une mise en scène animale : a) le lion : un metteur en scène. - Ce sont les obsèques de la lionne qu’il s’agit de préparer. Le lion va régler le déroulement des événements. - Il décide de la date et du lieu des funérailles. (V8) - Le roi distribue les rôles : « Ses prévôts » exécuteront ses ordres

romantisme, ce qui est prouvé par les sujets présents dans ses romans, inspirés de faits historiques ou du contexte social de l’époque. Ainsi dans cet extrait, Flaubert met en évidence, dans un texte ironique et satirique, les relations sociales entre les différents personnages présents à un bal costumé par leur description. Le personnage principal de l’histoire, Frédéric, participe à ce bal après invitation de son ami Jacques Arnoux. Le thème, ici, est le bal costumé

religieuse folle. Lieu de la mort : espérance de vie réduite, meurt avant 50 ans Imparfait : scène qui dure, verbes d’actions qui marque la démence, phrases courtes, avec actions et qui montre qu’on en rajoute, que la scène dure. Portrait de la religieuse = portrait de la folie. Pas de place pour la foi chrétienne. Le mensonge et l’hypocrisie Prévention des réticences de Suzanne l.20 Attitude perfide des religieuses « on » x3 = coalition et force du bloc des religieuses  ce

maximes.   Transition : la scène 2 entre Arnolphe et Agnès donne l’occasion à Molière de montrer l’inégalité qui règne entre homme et femme. Mais au-delà des simples individus, cette scène dresse le portrait de toute une société.   II. une satire de la société   1. un comique satirique Le registre satirique « s’en prend à son objet pour le condamner » E. Souriau,Vocabulaire de l’esthétique. Ici Molière à travers le personnage d’Arnolphe fait la satire d’une partie de la société qu’il juge obsolète. Cet

Commentaire Giton a le teint fraisI – La structure du portraitII – Un personnage sûr de lui, objet de tous les regardsIII – Le portrait moralConclusionGiton a le teint frais, le visage plein et les joues pendantes, l'œil fixe et assuré, les épaules larges, l’estomac haut, la démarche ferme et délibérée. Il parle avec confiance ; il fait répéter celui qui l’entretient, et il ne goûte que  médiocrement tout ce qu’il lui dit. Il déploie un ample mouchoir et se mouche avec grand bruit ; il crache fort

d'abord montrée d'un point de vue externe. En effet l'expression "on vit", indique que le narrateur décrit en temps réel le déroulement de la remise des prix à cette "petite vieille femme", Catherine Leroux. Il commente d'une manière très réaliste son portrait en commençant par ses pieds jusqu'à son visage comme si une caméra la filmait de haut en bas, puis faisait un gros plan sur le plus important : les marque de sa vieillesse et de son usure. Puis, à partir de la ligne 12, le point de vue devient omniscient