Portrait Satirique La Bruyère

Molière joue sur le mot « trésor » qui désigne pour Valère la jeune fille aimée et pour Harpagon sa chère cassette. L’avarice est cet amour fou qui se trompe d’objets : cette perversion fascinait les contemporains de Molière (cf. Tallemant, Boileau, La Bruyère) toujours si sensibles aux manifestations de l’amour de soi, aux dérives de la passion, aux idées fixes, aux marottes qui rendent fou. 3. Le monologue d’Harpagon n’a rien d’un monologue intérieur : c’est un cri de douleur et de rage. Après une série

invite à le faire. On peut constater que la série de questions et de réponses englobe d'une certaine façon toute l'expérience humaine. Les deux personnages prennent donc une valeur symbolique : l'interrogateur, dont est tracée une caricature satirique, est le bon père de famille, le bon citoyen (qui aime sa patrie), le bourgeois conformiste et matérialiste (qui apprécie la beauté et, surtout, l’or) ; l'interrogé est, comme l'indique le titre, «l'étranger», mot auquel Baudelaire donne un sens

enveloppant à demi l'une des tours tranchait heureusement par son vert sombre sur le ton gris de la pierre déjà vieille à cette époque. Le voyageur qui eût aperçu de loin le castel dessinant ses faîtages pointus sur le ciel, au-dessus des genêts et des bruyères, l'eût jugé une demeure convenable pour un hobereau de province ; mais, en approchant, son avis se fût modifié. Le chemin qui menait de la route à l'habitation s'était réduit, par l'envahissement de la mousse et des végétations parasites, à un étroit

enveloppant à demi l'une des tours tranchait heureusement par son vert sombre sur le ton gris de la pierre déjà vieille à cette époque. Le voyageur qui eût aperçu de loin le castel dessinant ses faîtages pointus sur le ciel, au−dessus des genêts et des bruyères l'eût jugé une demeure convenable pour un hobereau de province ; mais, en approchant, son avis se fût modifié. Le chemin qui menait de la route à l'habitation s'était réduit, par l'envahissement de la mousse et des végétations parasites, à un étroit

enveloppant à demi l'une des tours tranchait heureusement par son vert sombre sur le ton gris de la pierre déjà vieille à cette époque. Le voyageur qui eût aperçu de loin le castel dessinant ses faîtages pointus sur le ciel, au-dessus des genêts et des bruyères, l'eût jugé une demeure convenable pour un hobereau de province ; mais, en approchant, son avis se fût modifié. Le chemin qui menait de la route à l'habitation s'était réduit, par l'envahissement de la mousse et des végétations parasites, à un étroit

animaux malades de la peste, Le Lion ,Le Loup et le Renard de Jean de La Fontaine. Objectif : montrer comment La fable permet une peinture virulente du monde de la cour Modalité : lecture cursive Durée :1H Présentation : à l’instar de Molière et La Bruyère, La Fontaine a observé les hommes de son siècle. Les textes Les animaux malades de la peste et Le lion Le Loup et le Renard sont situés dans le second recueil des Fables de La Fontaine, édité pour la première fois en 1678. Dans ces deux textes,

(poésie satirique) : sonnet 80 Si je monte au palais, je n’y trouve qu’orgueil, Que vice déguisé, qu’une cérémonie, Qu’un bruit de tambourins, qu’une étrange harmonie, Et de rouges habits un superbe appareil. Du courtisans in les Regrets sonnet 81 Marcher d’un pas grave, et d’un grave sourci (…) voilà de cette cour la plus vertu Dont[1] souvent mal monté[2] mal sain[3], et mal vêtu, Sans barbe[4] et sans argent, on s’en retourne en France Autre portrait satirique :

tour le peintre le plus exact et le plus piquant modèle de l’esprit du XVIlIe siècle, l’historien et le juge des Romains, l’interprète des lois de tous les peuples ; il a suivi son siècle, ses études, et son génie. Les peintures spirituelles et satiriques des Lettres persanes feront pressentir quelques-uns des défauts qu’on reproche à l’Esprit des Lois ; mais nous y verrons percer les saillies d’une raison puissante et hardie, qui ne peut se contenir dans les bornes d’un sujet frivole, et franchit

sont passées à la loupe par le narrateur : "(Coup de langue effilée, sortie et aussitôt rentrée, tic imité de Huxley)". Par ce même ton acerbe, Cohen s’inscrit par ailleurs dans la tradition des moralistes portraitistes du 17 eme siecle, tel que la Bruyere, en exposant des « caractères » : Adrien, Henriette, la Forbes sont autant de caricatures savoureuses des bourgeois aspirant à une classe plus haute que la leur. Les nouveaux riches arrivistes ne sont ainsi sont pas épargnés par Cohen, et certaines

pour donner un sens à sa vie misérable et ne pas avoir honte de lui-même) - faire le blâme de Lorenzo, qui a fini par prendre goût au vice, grâce à la rhétorique du blâme (mots péjoratifs, exclamations, hyperboles, jeux d’oppositions, registre satirique et ironique) Corpus bac 3 : convaincre et persuader au théâtre TEXTE 1 Racine, Iphigénie, acte I, scène 3, tirade d’Ulysse, v. 282-320. TEXTE 2 Molière, Dom Juan, acte IV, scène 4, tirade de Dom Luis. [Dom Louis est scandalisé