Portrait élogieux De La Femme

inspirations culturelles. Il puise ses références dans le passé, que ce soit à travers les histoires mythologiques (« Le Brasier »), bibliques (« Salomé »), de mythes germaniques (« La Lorelei ») appartenant au cycle arthurien (« Merlin et la vielle femme ») ou tous confondu dans « La chanson du Mal-Aimé ») où se cotoient les références à Ulysse, au dieux romains (« Vénus et Mars »), à la Bible (« Lui Hébreux moi pharaon ») ou issue de mythes hindoues. « A la santé » est un poème contenant un grand

également les financiers qui possèdent les capitaux des journaux qui, à chaque campagne, font et défont les gouvernements : « «...Alors commença, dans le journal, une campagne habile et violente contre le ministère qui dirigeait les affaires ...»  Le portrait de Laroche-Mathieu – « associé en beaucoup d’affaires de finance » avec Walter – témoigne largement de la collusion du monde de l’argent, de la presse et de la politique. Il est dépeint comme un pantin sans consistance (« Il agitait sa main droite

échangés. Ensuite une des deux femmes parle, c’est Cléanthis, qui se trouve être l’esclave de Euphrosine, l’autre femme. La troisième scène se centre essentiellement sur Euphrosine et son esclave Cléanthis. Comme avec Iphicrate et Arlequin, Trivelin va d’abord veiller à échanger leurs noms. Ensuite, sous la demande de Trivelin, Cléanthis va dresser un portrait de sa maîtresse (pas très élogieux), accuse Euphrosine de sa coquetterie, de sa vanité, etc. *Arlequin est un personnage originaire de la commedia

naïve du vers 4 (« Les morts, les pauvres morts, ont de grandes douleurs »), familiarité de l'expression « comme ils font »,adverbe « certes » qui relance la phrase. Ainsi, avec simplicité, sans solennité, Baudelaire célèbre le souvenir d'une femme pour lui exemplaire. II- L'éloge funèbre Douceur de l'évocation de la servante Le rythme apaisé et régulier au vers 2, ses sonorités douces, les euphémismes (« qui dort son sommeil », « lit éternel »), pour parler de la mort de la servante, contrastent

naïveté. Les deux femmes ne sont pas traitées de la même manière. L'une est appelée « La Kerkabon » terme péjoratif. L'autre est appelée « Mademoiselle de St-Yves » on peut penser que Voltaire préfère Mlle de St-Yves, (parce qu'elle va devenir la femme du huron). Parallélisme → l'une dit « Hélas » et l'autre « Eh mon Dieu » ← interjections. De plus, l'une est jeune, l'autre est vieille (45 ans). On constate que les deux ont les mêmes prétentions autour du huron. La religion est un enjeu majeur

théâtre. Les esclaves peuvent être instruits et devenir pédagogue et ainsi gagner davantage qu’un citoyen paysan. Le statut social n’a pas de lien direct avec les richesses possédés. Quand une jeune fille se marie son père doit payer une dot. La femme (matrone pour les femmes mariées) s’occupe de gérer la maison et les esclaves. Si une personne de passage reste plus d’un mois à Athènes, elle est alors enregistrée et considéré comme métèques. Il sera alors placé sous la protection d’un proscène

qui savait un peu le tahitien, sur les traditions du pays ». D'autre part nous connaissons les témoignages de Victor Segalen, très élogieux au sujet des connaissances de Tioka. Écoutons ces quelques extraits d'un écrit de Segalen. Chez le pasteur Vernier, non loin de la maison où est mort Gauguin, Segalen écoute un récit de l’histoire des îles fait par une vieille femme, « la seule dont la mémoire ait encore conservé de telles vieilles choses ». « L'heure est plaisante - note-t-il dans son journal

chapitre De la chaire : " L'orateur fait de si belles images de certains désordres, y fait entrer des circonstances si délicates, met tant d'esprit, de tour, de raffinement dans celui qui pèche, que je n'ai pas de pente à vouloir ressembler à ses portraits, j'ai besoin du moins que quelque apôtre, avec un style plus chrétien, me dégoûte des vices dont l'un m'avait fait une peinture si agréable." ( 9). Aussi, pour que le lecteur ne se méprenne pas sur ses intentions, pour que ses propos ne soient pas

tendances alcooliques. En 1863, Verlaine tombe éperdument amoureux de sa sœur adoptive, Élisa, qui est mariée et mère de famille. Elle repousse ses avances. Verlaine est chargé de la critique littéraire dans la revue "L'Art", il écrit des articles élogieux sur Baudelaire et Hugo. Avec son ami Edmond Lepelletier, il fréquente le salon de la marquise de Ricard et rencontre chez elle les premiers Parnassiens ainsi qu' Alphonse Lemerre, futur éditeur. Son premier poème publié est Mr Prudhomme dans la

Théophile GAUTIER, célèbre poète, publie Honoré de Balzac, une biographie qui rend hommage à l’écrivain, qui était aussi son ami. Comment Théophile GAUTIER présente-t-il Honoré DE BALZAC à travers sa biographie ? Nous étudierons d’abord l’aspect élogieux de ce texte, puis nous verrons comment l’auteur donne une vision très imagée du travail du romancier à travers ses talents de poète. GAUTIER nous offre un texte bien informé sur H. DE BALZAC, mais la biographie tourne à l’éloge. C’est un texte