Portrait élogieux De La Femme

naturelle des sentiments) -présenté comme l’inspiration de Balzac, Raymond Radiguet ou Jean Cocteau -amie de Laroche Foucauld d’où inspiration janséniste et de Segrais -période de l’histoire : XVI siècle a la cour d’Henri II Texte 1 : I- portrait élogieux de mlle de Chartres A) un effet d’attente - les premières phrases créent un effet d’attente, madame de Lafayette ne révèle pas tout de suite son identité, on l’apprend par le regard intrigué et admiratif des courtisans - formule impersonnelle

Dorante. Il explique ainsi qu’il est « brave », qu’il a de « l’honneur », qu’il fait partie des « honnêtes gens », et qu’il est d’une grande « probité ». Contre toute attente, Dubois présente donc un portrait élogieux de Dorante. · Au-delà de la surprise qu’il provoque, ce portrait fait aussi rire par son caractère exagéré. Dubois multiplie en effet les hyperboles  : il commence par nier

Il accepte naturellement ses avances sans remettre en question cet amour inconsidéré. Julie se perd, elle accepte concessions sur concessions, elle se sent insatisfaite, et veut le quitter. Elle organise ainsi le mariage de son amant avec une jeune femme même si leur relation continue. Elle se plonge dans les drogues, principalement l’opium. Animée par le pressentiment de sa fin, elle écrit alors ses dernières lignes : « Adieu, mon ami. Si jamais je reven[ais] à la vie, j’aimer[ais] encore à l’employer

des secrets divins. Mais le rusé Sisyphe réussit à emprisonner Thanatos pendant plusieurs jours. Arès le délivra et remit Sisyphe à Hadès.  Sisyphe, cependant, avait encore un tour dans son sac. Avant d’arriver au palais d’Hadès, il demanda à sa femme, Mérope, de ne pas l'enterrer. Quand il arriva au palais, il déclara à Perséphone, qu'il était sans sépulture, et donc qu’il n’avait pas le droit d’être sur l'autre rive du Styx, il demanda à revenir sur terre pour y remédier. Perséphone se laissa

grosses difficultés pour respirer lors de ses promenades au bras de sa servante Rosalie. Madame la baronne est une femme qui dans le passé a été jolie et passe désormais son temps à se replonger dans ses souvenirs. Un après-midi, l’abbé Picot, curé de campagne, brave, bavard et bon vivant, rend une visite à la famille aux Peuples. Au cours de la conversation il dresse un portrait élogieux d’un voisin, un noble sans argent mais sérieux et économe, Julien de Lamare. © Tous droits réservés Studyrama

belle barbe jaune, aux anneaux tombants, s'allumaient, lui éclairaient toute la gure de leurs ls d'or, une vraie gure d'or, sans mentir. Avec ça, un cou pareil à une colonne, blanc comme un cou d'enfant ; une poitrine vaste, large à y coucher une femme en travers ; des épaules et des bras sculptés qui paraissaient copiés sur ceux d'un géant, dans un musée. Quand il prenait son élan, on voyait ses muscles se goner, des montagnes de chair roulant et durcissant sous la peau ; ses épaules, sa poitrine

corps sinueux, les objets et les scènes des Gommes composent une série secrète d'éléments dont chacun, en dépit de l'imbrication générale, calculée, semble persister obstinément dans une existence aberrante, injustifiable. Bien que des comptes rendus élogieux aient salué les Gommes dès sa parution (Jean Blanzat déclara qu'il était « un livre d'une surprenante autorité », et Jean Cayrol « un roman altier [..], un grand livre »), le roman passa plus ou moins inaperçu du grand public. C'est Roland Barthes

Princesse de Clèves de madame de la Fayette (1678). A l’opposé des romans baroques, l’intrigue y est dépouillée, et vraisemblable, réduite à une seule ligne narrative : il y a une unité d’action qu’on ne trouvait pas jusque là dans le roman. Les portraits du Duc de Nemours et de mademoiselle de Chartres sont à la mesure de la magnificence de la Cour. Tous les traits du personnage contribuent à refléter les traits idéaux d’une personne attachée à la cour prestigieuse de Henri II : « Ce prince était

et méprisable si quand vieux fait gaudrioles (« Ce confort prent povre viellart / lequel d'estre plaisant raillard / ot le bruyt, lors que jeune estoit, / c'on tiendroit à fol et paillart / se, viel, à raillier se mestoit ») p131, LIV, LT → portrait de la Vieillesse par Guillaume de Lorris, Le Roman de la Rose, vers 509-516 (« le front ridé, les cheveux griz, / les sourciz cheux, les yeulx estains [...] ») p79, XXIX, LL → « et tous les jours plain pot de Seine » → la vieillesse amène problèmes

l"illusion dans laquelle il vit.            - capable aussi d'être grossier, voire grivois ( du moins pour le spectateur contemporain de Shakespeare), lorsqu'il évoque la relation, il use d'un langage à double sens: par exemple quand il compare la femme désirée à une nèfle : " O Roméo, si elle l'était [...] / Nèfle ouverte [...] et toi une poire pointue"            - plein d'humour il aime les jeux de mots : par exemple, à Tybalt qui lui demande s'il est de "concert avec Roméo" (page 149), il répond