Portraits De Femmes

Où ? cette scène se passe à Paris. Quand ? Cela se passe au début de l'été1884. 2. Portraits de Georges Duroy Portrait physique "Grand, bien fait, blond, ...,Sa silhouette est marquée de son passé militaire qui lui a laissé une certaine prestance . Il englobe la vivacité de Georges Duroy, Ces points seront donc une arme de séduction que l'on retrouvera tout le long du roman. Portrait psychologique Son esprit calculateur Une ceratine forme de jalousie vis-à-vis des nantis

sujet surprenant, il s'agit d'un portrait de la femme déchue de son statut. Dans un second temps, nous verrons que le mouvement et la fuite du temps sont une esthétique baroque. Enfin, dans un troisième et dernier temps, nous étudierons la méditation poétique sur la vieillesse. Tout d'abord, on observe une disparition de la féminité par l'utilisation du passé simple au vers « furent jadis des femmes ». Loin de rappeler leur beauté d'antan Baudelaire prive ces femmes de leur féminité. Mais aussi par

chose. On parle, à la table d'un grand, d'une cour du Nord : il prend la parole, et l'ôte à ceux qui allaient dire ce qu'ils en savent ; il s'oriente dans cette région lointaine comme s'il en était originaire ; il discourt des mœurs de cette cour, des femmes du pays, de ses lois et de ses coutumes : il récite des historiettes qui y sont arrivées ; il les trouve plaisantes, et il en rit le premier jusqu'à éclater. Quelqu'un se hasarde de le contredire, et lui prouve nettement qu'il dit des choses qui ne

« au lieu des images que l’on met dans les livres de prières, étaient des portraits en miniature de quelques hommes de la cour dont les femmes étaient soupçonnées de galanterie. [… Bussy-Rabutin] avait mis au bas de chaque portrait un petit discours en forme d’oraison ou de prière accommodée au sujet. » Ce "Livre d’heures" avait été imité par le duc de la Feuillade, mais en faisant les portraits nus, des principales femmes galantes de la cour. Dans une chanson évoquant ce second livre, la marquise

remettant en quelque sorte ainsi en cause la morale imposée par la religion, et Madame de La Fayette avec le mouvement du classicisme préconisant le roman d'analyse et ainsi la psychologie des personnages. Les quatre auteurs, ont écrits un portrait de femmes qui définissent leurs caractères psychologiques, cependant elles sont décalées par rapport à leurs époques et leurs milieux de vies. Le texte de Flaubert permet au lecteur d'entrer dans les pensées de Madame Bovary, on découvre ses rêves

INCIPITProblématique proposée  : En quoi cet incipit est-il annonciateur du destin du personnage ? 1- Un incipit in « medias res »· Un cadre réaliste· Un narrateur omniscient· Un portrait en mouvement2- Un incipit proleptique· Une situation financière précaire· Un personnage fier· Un portrait sans complaisanceDéveloppement de la deuxième partieCet incipit « in medias res » porte en lui-même les prémices du destin de Georges Duroy.Tout d’abord, si le cadre réaliste est bien posé dès

qui est la femme de Don Juan. Gusman s’interroge sur le départ précipité de Don Juan. Sganarelle va alors dresser le portrait de son maître tout en révélant sa personnalité et ses craintes. Nous allons analyser cette tirade selon deux axes, premièrement le portrait de Don Juan et deuxièmement le portrait de Sganarelle par lui-même. I) Portrait de Don Juan Le portrait de Don Juan par son valet relève d’un blâme. En effet, nous pouvons voir que les descriptions de celui-ci vont du registre

montrer à celui-ci LE modèle de ce que doit incarner une famille allemande type. Ce portrait fictif a été fait, après l’accession légale de Hitler au pouvoir. Après son accession au pouvoir il a été nommé chancelier. C’est à ce moment là qu’il réussit à inculquer son régime totalitariste et à avoir tout le pouvoir. Il mit donc en place un programme où tout le monde a les même droits et devoirs. Dans ce programme, les femmes étaient obligées d’aller à la guerre pour soigner les blessés et d’obéir sans réfléchir

I)__Le portrait de Dom Juan. _____1)__La volonté de faire un portrait. l.39-40 : « tu ne sais pas », l.41 : « je ne sais pas ». La répétition suscite la curiosité chez Gusman et le spectateur par le principe de la double énonciation. l.40 : « quel homme », l.41 : « quel homme » = répétition. On va chercher à savoir qui il est. Le champ lexical de la peinture « ébauche » (l.72), « portrait », « pinceau » (l.73) montre que le portrait qu'a entrepris Sganarelle n'est pas fini. « Il faudrait

Fond bleu , sans décors, lettres blanches( titre, sous-titre, nom de l’auteure ) .- Dessins rouges ( portraits ) de couleur rouge avec un effet métallique . - Dessins simples , portraits de femmes . - Dessins tout autour du titre ➜ nous donne une indication