Positron

doute sur une démence à corps de Lewy. La réalisation systématique d’une imagerie par tomographie d’émission monophotonique (TEMP), d’une scintigraphie cérébrale avec le ioflupane [123I] (DATscan ) ou d’une imagerie par tomographie à émission de positrons (TEP) n’est pas recommandée pour porter un diagnostic positif de maladie d’Alzheimer. Étude génétique La réalisation d’un électroencéphalogramme n’est recommandée qu’en fonction du contexte clinique : crise comitiale, suspicion d’encéphalite

la croissance rapide de l'imagerie dans la médecine nucléaire. Deux principaux types de radioisotopes peuvent être identifiés: ceux utilisés par les caméras gamma (l'application principale) et ceux utilisés par les caméras positron pour la tomographie par émission de positrons (TEP), dans une phase initiale de développement. La TEP permet d’améliorer l’image des organes du partient donnée par l’intermédiaire de la caméra scanner. Dans les dernières années, un intérêt considérable s’est manifesté

à Rayons X une technologie incontournable dans l’industrie. BIBLIOGRAPHIE Notre principal outil a été l’ordinateur, c’est donc sur internet qu’on a effectué la plupart de nos recherches. * Historique : [1] http://www.mit.edu/~glb/positron/node4.html * Principe de la Tomographie X : [2] http://www.techniques-ingenieur.fr [3] http://patrick.kohl.pagesperso-orange.fr/spectro_oem/spectro_oem_10.htm [4] http://sylvain.napoleon.free.fr/Physique/Technologies/Detecteurs/photons

Ces différentes zones ont été découvertes grâce à la mise au point de diverses techniques neurologiques, comme l'étude post-mortem du cerveau, la tomodensitométrie (CT), l'ingénierie à résonance magnétique (IRM) et la tomographie par émission de positrons (TEP). Nous allons maintenant nous intéresser à la partie du cerveau qui est spécialisé dans la vision, car nous verrons par la suite que la vision joue un rôle essentielle à l’interprétation. Les messages nerveux émis part la rétine, arrivent à

Le cycle proton proton Deux protons se rencontrent et vont fusionner. Mais un noyau ne peut être constitué que de deux protons. Un des protons se transmute donc en un neutron. Le proton expulse sa charge, il y a émission d’un anti-électron, un positron*. C’est une particule de même masse que l’électron mais de charge opposée. Il y a également émission d’un neutrino*, une particule neutre. Le noyau formé est un noyau de deutérium. Le deutérium est un isotope naturel de l’hydrogène. Le noyau est

d’expectorations ou d’échantillons de sang, la biopsie de la masse pulmonaire suspecte ainsi que les images des poumons obtenues par différentes techniques (radiographie, tomodensitométrie, imagerie par résonance magnétique). La tomographie par émission de positrons et la scintigraphie osseuse complètent le bilan et permettent de déterminer s’il y a présence de métastases ailleurs dans le corps. Dans certains cas, il se peut que le médecin et le patient parviennent à la conclusion que les effets indésirables

franco-suisse (le plus grand et le plus puissant accélérateur de particules au monde : Le LHC) : • ESRF à Grenoble (France) • GANIL à Caen (France) • Synchrotron Soleil ((pourcentage en masse)) à Saint-Aubin (Essonne) (France) • Large Electron Positron ou LEP au CERN à Genève (Suisse) • Large Hadron Collider ou LHC au CERN à Genève (Suisse) • Hadron Electron Ring Accelerator ou HERA à Hambourg (Allemagne) • PETRA à Hambourg (Allemagne) • UNILAC au GSI à Darmstadt (Allemagne)

neutrons). Il possède un fort pouvoir ionisant. * Le rayonnement beta est le produit de la transformation dans le noyau soit d’un neutron en proton avec émission d’un électron e- soit d’un proton en neutron avec émission d’un antiélectron ou positron e+ . Son pouvoir ionisant est inférieur à celui du rayonnement alpha. * Le rayonnement gamma ou photon gamma n’est pas issu d’une transmutation du noyau. Il s’agit d’un rayonnement de nature électromagnétique comme la lumière ou le rayonnement

rayonnement externe, comme cÕest le cas dans les autres mŽthodes dÕimagerie. En effet, le sujet est placŽ dans un champ magnŽtique intense en IRM (Imagerie par RŽsonance MagnŽtique) ou un produit radioactif est injectŽ en Tomographie par Emission de Positrons (TEP). LÕEEG, qui est la plus ancienne des techniques, mesure les diffŽrences de potentiel entre des Žlectrodes posŽes sur le scalp et la MEG, dÕapparition plus rŽcente, capte les champs magnŽtiques engendrŽs par les dŽplacements dÕions induits par

plus confrontés à des questions du type : fautil lancer un programme de dépistage de l’hépatite C ? Faut-il continuer à dépister le cancer du colon ? Faut-il privilégier la greffe du rein par rapport à l’hémodialyse ? Les apports de la caméra à positrons justifient-ils sa diffusion et si oui, dans quel cas ? Quel type de traitement antiasthmatique faut-il préconiser pour tel type de malade ? Le retour rapide au domicile doitil être préconisé pour tel type d’intervention chirurgicale ? Pour répondre