Pour Bien Agir Est Il Suffisant D Obeir Aux Lois

apporter pour une analyse affinée du phénomène étatique (Section 2). Cela nous conduira à en proposer une autre, plus rigoureuse bien que plus difficile à admettre tant elle heurte les idées reçues et la manière dont on se représente intuitivement l'Etat. Cette seconde définition nous conduira à préciser les rapports de l'Etat et du droit. On disposera alors de données suffisantes pour traiter des formes de l’Etat (Section 3). Section 1 - La définition « sociologique » de l'Etat § 1 - Les « éléments constitutifs »

question comme étant politique, c’est-à-dire qui concerne toute la collectivité et qui doit être gérer par les autorités politique au risque d’entraîner de grave disfonctionnement dans la vie du groupe. Il doit y avoir reconnaissance de la société du bien fondé de ce choix. Par conséquent tout objet peut devenir politique. La politique naît de ce choix face aux conflits d’intérêts dans la société. Toutes sociétés engendrent des conflits qu’il faut gérer. Le pouvoir Politique apparaît donc dés lors

La justice et le droit Introduction 2 I. Droit naturel et droit positif 2 A. La diversité des lois positives 2 B. L’idée de droit naturel 3 1. L’exemple d’Antigone 3 2. Il y a une justice naturelle au-dessus des lois particulières (Aristote) 4 3. La philosophie du droit naturel (Locke, Rousseau) 5 4. Les droits de l’homme 6 C. La critique du droit naturel 7 1. La critique des droits de l’homme (Marx) 7 2. Il n’y a pas de justice avant la loi (Epicure

La diversité des lois positives 2 B. L’idée de droit naturel 3 1. L’exemple d’Antigone 3 2. Il y a une justice naturelle au-dessus des lois particulières (Aristote) 4 3. La philosophie du droit naturel (Locke, Rousseau) 5 4. Les droits de l’homme 6 C. La critique du droit naturel 7 1. La critique des droits de l’homme (Marx) 7 2. Il n’y a pas de justice avant la loi (Epicure, Spinoza, Hobbes, Pascal) 8 3. Le droit naturel est une fiction (Kelsen) 8 Conclusion 9 II. La force des lois 9 A. La structure

remède à cette maladie épidémique que l'esprit philosophique qui, répandu de proche en proche, adoucit enfin les moeurs des hommes, et qui prévient les accès de mal ; car dès que ce mal fait progrès, il faut fuir, et attendre que l'air soit purifié. Les lois et la religion ne suffisent pas contre la peste des âmes ; la religion, loin d'être pour elles un aliment salutaire, se tourne en poison sans les cerveaux infectés. Ces misérables ont sans cesse présent à l'esprit l'exemple d'Aod, qui assassine le

à l’autonomie. Généralement les sociétés traditionnelles se pensent elles-mêmes comme obéissant à une loi qui est située à l’extérieur d’elles-mêmes (Ex : dans la nature, dans la religion). Elles obéissent à des lois qu’elles pensent situées du côté de la transcendance. Ce sont des lois décidées par des hommes. Se munir du « Prince » de MACHIAVEL. Flammarion. L’examen : Oral écrit, 2 questions au choix, pas besoin d’écrire un roman. On demande un texte rigoureux et soigné. Répondre à la question

« Car se dit-il, comme je n’ai ni la prétention ni le pouvoir de gouverner à moi tout seul, il faut que je m’attende à être conduit ; à faire ce qu’on fera, à penser ce qu’on pensera ». Remarquez que tous raisonnent de même, et de bonne foi. Chacun a bien peut-être une opinion ; mais c’est à peine s’il se la formule à lui-même ; il rougit à la seule pensée qu’il pourrait être de son avis. Le voilà donc qui honnêtement écoute les orateurs, lit les journaux, enfin se met à la recherche de cet être

les juifs de l'antiquité, la source du droit est la Torah (= en hébreu : la loi). La Torah correspond aux 5 premiers livres de l'ancien testament chrétien (Genèse, Exode, Lévitique, livre des Nombres et le Deutéronome, qui est une sorte de rappel des lois annoncées dans les quatre précédents livres). Ces cinq livres forment le Pentateuque. Ces textes sont une compilation qui datent du Ve siècle av JC, ils ont plusieurs auteurs qui sont d'origines géographique diverses et qui n'ont pas tous écrits à

particulières. I- ETAT : pouvoir politique : Cela peut être entendu de plusieurs manières. Tout d’abord c’est un pouvoir présentant un caractère et une finalité collective. Il incarne en ce sens un pouvoir qui ne peut être exercé que pour le bien-être public dont l’intérêt général. Cela signifie que l’Etat est l’institution fondamentale chargée de poursuivre l’intérêt général qui doit des moyens pour y parvenir. C’est dans ce sens qu’il dispose surtout de la force publique. Mais ceci suppose

approuvé par tout un chacun parmi le peuple. Et ce que tout homme veut, nul ne saurait le dire injuste. Il en est des lois de la communauté politique comme des lois du jeu : ce sur quoi les joueurs se sont mis d’accord ne saurait être une injustice pour aucun d’eux. Une bonne loi est celle qui est à la fois nécessaire au bien du peuple et facile à comprendre. En effet, le rôle des lois, qui ne sont que des règles revêtues d’une autorité, n’est pas d’empêcher toute action volontaire, mais de diriger et