Pour Ou Contre La Corrida

beaucoup de sensualité dans les plans sur les personnages féminins, l’habillement de Lydia avant la corrida avec des gros plans permettant d’entrer dans son intimité, le glissement du drap sur le corps d’Alicia, sa toilette orchestrée comme une danse, rythmée et magnifique. Beaucoup de poésie dans le regard du Taureau face à Lydia, très poignant, après la danse mortelle qu’il a engagé contre elle. Beaucoup de poésie aussi dans le fait de ne pas montrer la scène d’amour crûment, mais par l’intermédiaire

de « souffrance nécessaire » est très vague. On ne doit pas traiter l’animal comme un bien appropriable et donc comme une chose si on veut le considérer comme un « animal. » donc cette animal possède des droits.La corrida est peut-être l’expérience de l’animalité de l’animal contre de l’élevage industriel (l’animal comme chose et la domestication (l’animal comme personne) là encore l’animal possède des droits L’animal peut avoir des droits cependant cette animal serait donc l’égal des hommes

du cheval rappelle celle qui blesse la poitrine du Christ sur la Croix. Le taureau, dans la mythologie espagnole, est un symbole de la force brute et de la cruauté. C'est un thème récurant dans les tableaux de Pablo Picasso dû à sa passion pour la corrida. La douleur et les hurlements de la mère sont perceptibles au premier abord, alors que le reste du tableau peut sembler de perception plus difficile. L'enfant mort dans les bras de sa mère peut faire penser à l'image d'une piéta : la vierge pleurant

chauve. Aussi, il a l’air fatigué par ses cernes et son visage semble dur, inflexible à cause de ses rides et de son manque total d’émotion. Il a une présence froide mais forte. Ses yeux sont représentés par des trous vides. Dans sa main gauche serrée contre son torse, il tient quelque chose de noir, de petit, avec des canines pointues, des yeux gris-bleu ainsi qu’une queue, c’est peut-être un vampire ou un chat. Il le porte comme s’il portait sa bête prête à être lâchée sur le peuple à tout moment. On

production agricole très importante. Elle fait partie des plus gros exportateurs européens de denrées alimentaires. Vins, olives, agrumes (oranges) sont produits en grande quantité. Le pays doit cependant investir énormément en aménagements pour lutter contre la sècheresse (barrages, irrigations,…) La pêche tient également un rôle important, les espagnols consomment beaucoup de poissons (sardine, merlan, morue, thon). Economie - Industrie La plupart des grandes villes sont entourées de zones industrielles

réclamé par Franco, permet aux Allemands, deux ans avant le déclenchement de l a Seconde Guerre mondiale, de tester leur matériel militaire. Attaque visant à terrorise r une population civile acquise au 5 gouvernement républicain, l’attaque contre Guernica est annonciatrice de la Seconde Guerre mondiale où, contrairement à 1914-1918, la majorité des victimes sont des civils. Né en 1881 à Malaga, Pablo Picasso vit depuis 1901 à Paris et c’est par la presse qu’il apprend le bombardement

Article 7 Tout acte impliquant sans nécessité la mort d’un animal et toute décision conduisant à un tel acte constituent un crime contre la vie. Article 2 Article 8 Toute vie animale a droit au respect. 1- Tout acte compromettant la survie d’une espèce sauvage, et toute décision conduisant à un tel acte constituent un génocide, c’est-à-dire un crime contre l’espèce. 2- Le massacre des animaux sauvages, la pollution et la destruction des biotopes sont des génocides. Article 3 1-

est présente surtout sur le corp du cheval et sur la porteuse de lumière pour encore souligné que se sont les personnages principaux de cette peinture. 3)INTERPRETATION DE L’ŒUVRE : ANALYSE ICONOLOGIQUE Oeuvre de dénonciation et de protestation contre le bombardement de la ville basque Guernica (qui a donné son nom au tableau), Guernica est une lutte révolutionnaire par la peinture, le manifeste politique de Picasso et l’emblème de la participation du peintre aux drames de son temps : la violence

gauche, impassible à la douleur des autres, comme le taureau d’une corrida. -Le cheval transpercé par une lance, pouvant représenter les habitants du village de Guernica, ou le peuple espagnol, blessé et massacré. -La fleur, poussant sur le sol du massacre, symbolisant la fragilité et l’espoir. -Le soldat amputé à l’épée brisée. Il symbolise ainsi par ses blessures l’atrocité du massacre, par sa lame brisée, la lutte. Son épée contre ces bombes démontre grandement l’inégalité de l’armement des Républicains

annonce la montée des tensions, de la cruauté (séries des Corridas et Minotaures) et surtout de la guerre en Europe. Le peintre est un homme de passions, amoureuses mais aussi politiques : il peint en 1937 pour le Pavillon espagnol de l’Exposition universelle de Paris la toile monumentale Guernica, fresque murale symbolisant avant tout l’horreur et la barbarie des conflits, et qu’il nomme lui-même un « instrument de guerre pour la défense contre l’ennemi ». Opposé à Franco, il ne retournera jamais