Pour qui sonne le glas

dans le paysage politique national. L’avènement du nazisme lui offre-t-il une nouvelle opportunité de croissance ? II. 1933-1945 : la résistance contre le nazisme a. Le KPD, cible de la répression nazie L’arrivée au pouvoir d’Hitler sonne le glas du parti communiste. Concurrent direct du NSDAP, le nouveau chancelier en fait sa cible principale dès les premiers mois de son mandat. Présenté comme signal de déclenchement d’un « complot communiste », l’incendie du Reichstag survenu le 27 février

élections législatives. Cette loi devra réunir au moins les deux tiers des suffrages ». Il faudra attendre 20 ans, en 1949 pour que « la meilleure moitié de l’humanité » (Churchill) acquière enfin ce droit. En 1929 le « jeudi noir » à Wall street sonne le glas des années folles. Au début des années 1930, les pays occidentaux sont frappés par la crise économique qui fait des millions de chômeurs. La femme qui travaille prend la place d’un homme, pense-t-on. Aussi logiquement, on va licencier les femmes

l’extérieur, l’Italie conquiert la Cyrénaïque, l’Éthiopie, puis l’Albanie. En 1939, le rapprochement avec l’Allemagne nazie entraîne l’Italie dans la guerre ; le fascisme, dont l’avance des troupes alliées dans le sud de la péninsule avait, en 1943, sonné le glas, ne se relèvera pas de la défaite de 1945. Le fascisme est né au lendemain de la Première Guerre mondiale. L’Italie était troublée par de violents conflits sociaux et agitée d’un sourd mécontentement : victorieux en 1918, le pays jugeait ne

ont eut des conséquences désastreuses et conduit à une méfiance vis-à-vis du concept national lui-même. Sommes-nous alors entrés dans cette phase de recul de la nation que prévoyait Renan ? L’évolution des systèmes politiques au XXIe siècle sonne-t-elle le glas du nationalisme, le début d’une ère « postnationale » ? Nous verrons que si le modèle de l’Etat-nation est véritablement remis en cause par les évolutions contemporaines, le nationalisme reste pour l’instant un élément indépassable dans la

...................................................... 10 Introduction « Un produit qui ne s’use pas est une tragédie pour les affaires » le mot d’ordre est lancé ! cette phrase que l’on pouvait lire dans une revue spécialisée des années 20 sonne les prémices d’un concept redoutable : l’obsolescence programmée. Poussés par des motivations purement financières, les industriels ont cherché, par différentes méthodes, à volontairement limiter la qualité des produits qu’ils fournissaient à leurs

une bise, un vent d’hiver, trop précoce pour l’automne ; ou bien c’est une détonation, un coup de feu, on peut ainsi imaginer qu’une bourrasque vienne claquer. Ce premier quatrain est marqué par une rime en « tonne » qui peut rappeler le glas d'une cloche qui sonne dans le lointain qui rajoute un côté très mélancolique à la scène. Enfin, la grive qui vole au hasard, solitaire, dans ce bois perdu, non situé, peut être une image du poète solitaire depuis son premier amour . Il y a dans ce poème quelque

politique. Les nouvelles formes d’organisation du travail ont d’abord évolué vers une organisation en équipes semi-autonomes, sur le modèle suédois de Volvo qui donnait plus d’autonomies dans le travail ; la fermeture de cette usine modèle e 1992 a sonné le glas de cette recherche. L’étape suivante est venue au Japon, avec une organisation structurée autour d’un principe philosophique : c’’sle le toyotisme. L’organisation vise à la qualité totale par un engagement des ouvriers, qui ont une grande autonomie

des quatre modernisations de l’industrie, de l’agriculture, de la technologie et de l’armée. La décollectivatisation de l’agriculture a permis le développement de micro-exploitations aux rendements supérieurs à ceux des communes populaires et a sonné le glas de la menace de la famine. Le pays a également vu se développer l’initiative privée dans les entreprises, qui ont été privatisées et ont été autorisées à ouvrir leur capital à la pénétration étrangère. C’est ainsi qu’ont été créées des co-entreprises

soupçonnées de recevoir des jeunes gens. Toutefois, aucune preuve ne vient étayer ces accusations et les princesses poursuivent leur joyeuse vie. La visite à Paris du roi d'Angleterre Edouard II et de sa femme Isabelle, fille de Philippe le Bel, sonne le glas de leurs beaux jours. Philippe le Bel donne plusieurs fêtes en l'honneur de ses hôtes. Au cours de l'une d'elles, Isabelle remarque que deux chevaliers portent à la ceinture des aumônières semblables à celles qu'elle a offert personnellement quelques

De plus, le modèle de substitution aux importations a été à l’origine d’un investissement coûteux et à forte intensité capitalistique. Au terme de cette période de développement, la Tunisie s’est retrouvée fortement endettée. Ces résultats ont sonné le glas de la politique dirigiste collectiviste. Une deuxième phase de développement a vu le jour dès le début des années soixante-dix. Cette période, qui s’étend jusqu’au début des années quatre-vingt, a été marquée par l’adoption d’une politique