Pour être Libre Faut Il être Raisonnable

d’emprisonnement ou de  séquestration. Une personne qui vient de sortir de prison est dite libre car elle n’est plus soumise à l’enfermement. L’origine du mot liberté s’en rapproche nettement. En effet, l’homme libre était celui qui n’appartient pas à autrui qui n’a pas le statut d’esclave. Dans la Rome antique, un affranchi est un esclave qui a été affranchi, c'est-à-dire libéré, par son maître. Mais peut-être que la loi est une institution nécessaire, voir indispensable, à la vie en communauté. Au

sans doute accroître dans les proportions inouïes le bien-être des hommes, mais nous pourrons aussi détruire d’un seul coup des portions entières de notre planète. (…) Mais qu’importent ces vaines craintes ! Nous sommes lancés dans la grande aventure et, comme la boule de neige qui roule sur la pente déclive, il ne nous est plus possible de nous arrêter. Il faut courir le risque puisque le risque est la condition de tout succès ; il faut nous faire confiance à nous-mêmes et espérer que, maîtres des

transformations vont etre mises en évidence. Il redéfinit le meilleur régime. Régime où le pouvoir procède d'un accord entre les différents sujets. Les principes d'une association deviennent des critères fondamentaux. C'est l'homme qui est la source des normes et des valeurs. La problématique contractualiste va tout de même restée ordonner à la question de la souveraineté légitime. Si l'humanité est irréductible à l'animalité c'est parce q l'homme est perfectible et raisonnable. Ce qui permet de

gouverner[11] à moi tout seul, il faut que je m'attende à être conduit[12]; à faire ce qu'on fera, à penser ce qu'on[13] pensera." Remarquez que tous raisonnent de même, et de bonne foi. Chacun a bien peut-être une opinion[14]; mais c'est à peine s'il se la formule à lui-même ; il rougit à la seule pensée qu'il pourrait être seul[15] de son avis. Le voilà donc qui honnêtement écoute les orateurs[16], lit les journaux[17], enfin se met à la recherche de cet être fantastique[18] que l'on appelle

La fin de l’Etat n’est pas de faire passer les hommes de la condition d’êtres raisonnables à celle de bêtes brutes ou d’automates, mais au contraire il est institué pour que leur âme et leur corps s’acquittent en sûreté de toutes leurs fonctions, pour qu’eux-mêmes usent d’une raison libre, pour qu’ils ne luttent point de haine, de colère ou de ruse, pour qu’ils se supportent sans malveillance les uns les autres. La fin de l’Etat est donc en réalité la liberté. [Et], pour former l’Etat, une seule

à la fois; il désigne une certaine puissance car il signifie que le sujet en question ne peut être contraint ou ne peut être soumis à agir ou penser comme bon lui semble, il est maître des ses pensées et de ses agissements. Or en philosophie, la liberté prend un autre sens; en effet, l'Homme peut assouvir ses envies grâce à elle mais d'après Kant, la liberté a ses propres limites, on ne peut être libre que par une certaine responsabilité, un raisonnement propre à l'Homme, ce qui conduit à penser

générale, un pouvoir de faire ou de ne pas faire (on appelle ce pouvoir le " libre arbitre "), capacité à être le propre principe de ses actions, sans être contraint par rien d’extérieur à nous. il est libre parce qu’il n’est contraint par rien ni personne à agir de telle sorte n’est pas esclave un prisonnier, qu’il est libre de penser malgré le fait qu’il est enfermé dans une geôle contre sa volonté ; est libre celui à qui, au sein d’une société, est laissée la possibilité, et qui a le pouvoir

succession), l'adopté reste cependant attaché à sa famille biologique. Et puis l’adoption plénière dans laquelle l'adopté entre dans la famille de la personne ou du couple marié qui l'adopte en cessant d'appartenir à sa famille naturelle. L’adoption peut-être voulu par un couple d’hétérosexuel, par une personne célibataire et également par un couple d’homosexuel. L'homosexualité, qui est définit comme l’ Attirance sexuelle pour les personnes de son sexe, a longtemps été réprimée (Moyen-Âge

en effet, il s’associe car il sait que ce n’est qu’en société qu’il développera ses capacités naturelles, cad ses talents par ex. => Dur pour l’homme. Nous avons également vu que pour vivre en société, l’homme devait établir des lois afin d’être libre sans empiéter sur la liberté des autres.  Dans la proposition 6, nous verrons que l’homme a également besoin d’un « maître » qui est très difficile à trouver. LECTURE L 1-2 : Phrase d’accroche : - Ce problème est le plus difficile : « Trouver

N’est-ce pas la preuve que contrairement à ce que l’on croyait, nous ne faisons pas toujours ce que nous voulons ? Diverses situations illustrent les déterminismes, © H A T I E R mêmes inconscients, auxquels sont soumis les hommes. L’illusion du libre arbitre résulte ainsi selon Spinoza d’un double phénomène : nous sommes conscients de nos actions, mais ignorants des causes qui nous déterminent. 1. Contrôlant difficilement leurs désirs, les hommes ne se croient libres que lorsque ceux-ci sont