Pourpre

Vatican. Elle serait en fait une copie réalisée en 14 avant JC d’une en bronze qui serait, elle réalisée en 20 avant JC. Cette statue représente Auguste en Imperator, il est vêtu d’une tunique courte et du paludamentum, qui signifie «manteau pourpre» il a la tête et les pieds nus. Il porte aussi une cuirasse sculptant ses muscles sur laquelle se trouve gravée une véritable scène historique où apparaissent de nombreux Dieux, rois et Déesses parmi lesquels nous retrouvons Apollon, le roi de Parthes

Pierre de RONSARD   (1524-1585) Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au Soleil, A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vostre pareil. Las ! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place Las ! las ses beautez laissé cheoir ! Ô vrayment marastre Nature, Puis qu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que vostre âge fleuronne En

c'est-à-dire son sujet. Il est aussi plus grand que nature et debout sur l'estrade ce qui participe à la fabrication de la magnificence royale, à l’élévation, voire à la divinisation de sa personne. Rigaud a alors recourt à des effets théâtraux : ·Le rideau pourpre : couleur de la majesté depuis l’Antiquité. Cette mise en scène rappelle que Louis XIV a organisé le système de l’étiquette et de mise en scène de son pouvoir dans la vie quotidienne. B / La concentration des pouvoirs dans la personne du roi : "Tout

soldats regardaient, comme des feuilles mortes, Tourbillonner au loin les archers des Phraortes, Et la sueur coulait de leurs visages bruns. C'est alors qu'apparut, tout hérisse de flèches, Rouge du flux vermeil de ses blessures fraîches, Sous la pourpre flottante et l'airain rutilant, Au fracas des buccins qui sonnaient leur fanfare, Superbe, maitrisant son cheval qui s'effare, Sur le ciel enflammé, l'Imperator sanglant. José Maria de HEREDIA Annonce des axes Une reconstitution historique ( un

beauté du jouet, de la richesse. Comparaison entre le jouet et son maître. Les mots des lignes 11 et 12 sont mélioratifs. Mais le mot « verroteries » montre que ce jouet est très beau mais que c’est du toc. Pourpre = évêque. Ce jouet est comme une poupée, pantin car il a une robe pourpre. Verroterie annonce la fascination de l’enfant riche pour le rat vivant de l’enfant pauvre. Vie riche = monotone, en toc, … A la fin du 3ème paragraphe nous avons « : » (ligne 14) il ouvre sur la pauvreté

synesthésie est une figure de style qui repose sur l'alliance de plusieurs perceptions sensorielles. Plus simplement, il s'agit du mélange des sens dans une expression. Ex : "parfums pourpres du soleil des pôles" Arthur Rimbaud, Illuminations, Métropolitain. La synesthésie porte sur l'odorat "parfum" et la vue "pourpres". Une réification est une métaphore par laquelle un être animé est traité comme un objet, une personne comme un animal ou un objet.

en bas ronger les os » (v.19) : Animalisation du peuple qui souligne sa pauvreté, le pluriel fait une généralisation. Le confort a l'inconfort : – « Nappes » (v.3) et « Coussins » (v.12) : Mise en valeur de l'opulence. - « Sur des coussins de pourpres oubliant les tombeaux » (v.12) : Opposition dans le même vers, les mots opposés sont a l’hémistiche et a la rime, ce qui souligne encore plus l'ecart entre ces deux mondes. - « Socrate a l'agora, Jésus Christ au calvaire/Colomb dans son cachot,

de son caractère spécial qui fait de lui un antihéros. Analyse : I) Mélange tragédie/comédie A. Le langage • • Tragédie = soutenue et poétique : o Vocabulaire de la tragédie : "gloire", "oriflammes", "palmes", "pourpre". o Métonymies : "le soleil, l'or, la pourpre" : royauté, succès. "Les foules qui piétinent, les trompettes, les oriflammes qui claquent, les palmes qu'on agite" : gloire militaire, guerrière. o Gradation : "bonheur, chance, vivre enfin !". o Ce sont aussi des énumérations

la Vénus se fait accueillir par une nymphe, peut-être une des trois Heures (les personnifications des saisons). Celle-ci essaie, malgré le vent engendré par les deux personnages de gauche, de couvrir la Vénus, de l’habiller d’une espèce de cape pourpre embellie par des motifs floraux. L’Heure du printemps est sur le point de mettre fin à une nudité relative étant donné que la séduisante déesse cache déjà pratiquement toutes ses parties intimes. Flore, l’annonciatrice du printemps, est munie d’une

garnies de pierres précieuses vec une croix sur de devant l'épée le globe crucifère Le parchemin : document identifiant l'acte de mariage entre Otton II et Teophanu : lettres qui se détachent sur un fond pourpre (= couleur impériale) têtes de griffons qui se détachent sur les disques pourpres bordure dorée : le Christ qui apparaît dans un médaillon avec d'autres saints ==> acte solennel traité comme un manuscrit de grand prix : enluminé iconographie = liens étroits entre Byzance et l'empire