Pourpre

celui-ci, et il l'aurait commandé avant son mariage afin d'avoir un souvenir de son ancienne maîtresse. Description générale : Ce tableau représente le portrait d'une jeune femme, portant dans ses bras une hermine (sorte de furet). Elle porte une robe pourpre et bleu-gris d'imitation espagnole riche en ornements (nous pouvons en déduire qu'elle est issue de la bourgeoisie). Elle porte un sautoir de perles à son cou, ainsi qu'un ruban autour du front. Ses cheveux blonds-vénitiens sont attachés en une natte

l’académie royale de peinture et de sculpture en 1700. Ses portraits sont comme des photographies des grands personnages de France entre 1680 et 1740. 3 – La mise en scène du pouvoir. Quel élément évoque clairement une scène de théâtre ? Le rideau pourpre (rouge foncé) Cette couleur est aussi celle du pouvoir depuis l’Antiquité. (Elle était portée par les empereurs romains) Quel élément d’architecture rappelle lui aussi l’Antiquité ? La colonne. Elle est une garantie de stabilité, comme Louis XIV

soldats regardaient, comme des feuilles mortes, Tourbillonner au loin les archers des Phraortes, Et la sueur coulait de leurs visages bruns. C'est alors qu'apparut, tout hérisse de flèches, Rouge du flux vermeil de ses blessures fraîches, Sous la pourpre flottante et l'airain rutilant, Au fracas des buccins qui sonnaient leur fanfare, Superbe, maîtrisant son cheval qui s'effare, Sur le ciel enflammé, l'Imperator sanglant. José Maria de HEREDIA

Succès du film assuré Les influences européennes chez les américains avec : -Francis Ford Coppola 1972 Le parrain 1979 Apocalypse Now -Woody Allen : 1979 Manhattan 1985 La rose pourpre du Caire -Martin Scorsese : 1989 La dernière tentation du Christ C’est un cinéma de divertissement : action, suspense ; spectacle et bon sentiment, la qualité est discutable. Attirance pour les séries (si le film marche on tourne

| |La lumière : éclaire l’estrade, centre de la cérémonie. |Organisation de la scène : Napoléon couronne Joséphine après s’être lui-même | |Les couleurs : le pourpre des manteaux impériaux ; symbole de puissance des |couronné. | |empereurs romains |Le pape acteur

 » est une interjection signifiant « Hélas ! ». "plus brillante que la pourpre de Tyr"  : Tyr, ville de Phénicie, était particulièrement réputée pour la qualité de sa pourpre, substance tinctoriale d’un grand prix, tirée du murex. Cette "fleur nouvelle" n’est pas la jacinthe, mais plutôt le lis martagon , variété de lis rose tacheté de pourpre. Page 328 "Amathonte, féconde en métaux"  :

ailes longues - ailes vestigiales » est déterminé par un gène existant sous deux formes alléliques respectivement notées vg+ (dont l'expression est dominante) et vg (dont l'expression est récessive). Le caractère alternatif « yeux rouges - yeux pourpres » est déterminé par un gène existant sous deux formes alléliques notées respectivement pu+ (dont l'expression est dominante) et pu (dont l'expression est récessive). La génération F1 résulte de l'accouplement d'individus homozygotes pour les deux

avec la face « fuligineu[se] » (l. 16-17). - rythme ternaire qui donne au poème en prose une certaine musicalité. - axe d’opposition : les joujoux. Joujou enfant riche est qualifié de « splendide » (l. 10) ; un vêtement éclatant « d’une robe pourpre », et la coquetterie tourne à la sophistication « de plumets et de verroteries » la richesse de l’enfant s’exhibe dans le « verni » et le « doré » de son jouet. - Pour définir le jouet du riche : l’accumulation d’adjectifs juxtaposés et la gradation

 le Seigneur tout‐puissant. »    LE MESSAGE DU TYMPAN    Le tympan du portail représente le retour glorieux du Christ sur terre pour assurer le triomphe  définitif du Bien sur le Mal par le Jugement dernier et y établir le royaume de Dieu. Il porte la pourpre  impériale romaine et un diadème byzantin. Il bénit de la main droite, sa main gauche posée sur le  Livre. Les symboles des quatre évangélistes, le taureau pour saint Luc, l’ange pour saint Matthieu,  l’aigle pour saint Jean et le lion pour saint Marc

titre, c'est une œuvre qui échappe tout de même aux catégories. Réalisme : -le sous titre : « Une Chronique du 19è siècle », fait divers qui nous installe bien dans un registre réel -le titre : contradiction de deux vocations : l'armée (rouge : pourpre de la gloire) et l'Eglise (noir de la soutane) -Julien fils de menuisier qui connaît ensuite une ascension sociale -point de vue interne -ironie de Stendhal : sarcasme, critique et moquerie -goût du petit détail/ du petit « fait-vrai » De plus,