Pourquoi Agit On Moralement

respect de ce qui est conforme au droit. La justice peut être prise en trois sens, le premier étant la justice en tant que vertu. Cette vertu de justice implique dans un premier temps qu’on rende à chacun son du, ce qu’on lui doit. Dans l’Illiade, pourquoi Achille est-il en colère ? Parce qu’on lui a pris sa part de butin. Aggamemnon lui a volé ce qui lui revient de droit => justice au sens de légitime. Un autre sens est celui du respect de ce qui est conforme au droit, justice au sens légal, à

Le sujet -Être un sujet : être celui qui dis «je », être celui qui agit Nous disons tous « je », est-ce que cela veut dire que je suis maître de ma pensée, de mes actes ? Sujet (agit) ≠ Objet (subit) L’animal est un sujet, il pense, il est à l’origine de ses actes. Les singes (Bonobo), les chiens, les chevaux, animaux intelligent. Taupe, ver de terre, animaux moins intelligent. Spontanéité ≠ comportement mécanique L’anima est un objet. Ils ont une capacité insuffisante pour inverser une situation

vertu est une qualité, à l'opposé du vice qui est synonyme de défaut. Aristote, dans son Ethique à Nicomaque, définit la vertu comme la faculté d'exécuter de belles actions: elle sous-entend donc un effort de notre volonté qui nous pousse à agir moralement et à aborder le bonheur d'une manière plus personnelle. La richesse, au contraire, suppose une facilité d'accès à la satisfaction par le biais de produits donnés. Pour Aristote, désirer excellence de la vertu, ce n'est pas de s'imposer une contrainte

sujet constituée par les inclinations  L’objectif de Kant à travers la Métaphysique des mœurs est de créer un passage , de schématiser les purs principes du devoir et les présenter prêts pour l’usage moralement pratique.  Limite : les applications effectives, dans la particularité de leur contenu, échappent à la Doctrine de la vertu. Tome 1 : Fondation de la Métaphysique des MœursI. Préface Connaissance

la science pour affirmer l'inexistence de Dieu est, elle aussi, renvoyée du côté de la simple croyance : toutes ces questions, qui concernent les Idées transcendantales (Dieu, l'âme et le monde), sont hors de portée de l'entendement humain. C'est pourquoi Kant écrit, dans sa préface à la Critique de la raison pure : « Je dus donc abolir le savoir afin d'obtenir une place pour la croyance (au sens d'une spéculation métaphysique) ». Limiter les prétentions de la raison : telle est dans le fond la solution

introductif à l'éthique : elle en fait pleinement partie. Par définition, toute action est une idée adéquate et complète qui procède de l'entendement, tandis que toute passion est une idée inadéquate car incomplète qui procède de l'imagination. C'est pourquoi il suffit de prendre une connaissance réfléchie d'une passion pour qu'elle devienne une action. Il y a des passions qui augmentent notre puissance d'agir (par exemple, si on me guérit), mais, en revanche, toutes les actions augmentent notre puissance

forcément de facto envié), et non l’homme injuste, lequel serait plutôt à plaindre. Le plaisir d’être juste est donc le plaisir d’être soi-même. Or, ceci pose problème. Car est-on précisément soi-même lorsqu’on agit justement ? Il ne s’agit pas de penser qu’on est davantage soi-même lorsqu’on agit injustement. Ce qui est ici en question, c’est la nature du plaisir pris à exercer la justice. Celui-ci semble d’abord consister, pour un regard critique, à s’épargner à soi-même le vif déplaisir, déjà éprouvé

L'ETHIQUE : L'éthique est tout simplement s'ajuster au cosmos, nous ajuster à l'ordre harmonieux et bon que la theoria vient de nous enseigner. Avant l'école stoïcienne de Zénon, il existait l'école des cyniques (aujourd'hui un cynique est quelqu'un qui agit sans valeurs, sans respect pour autrui et qui ne croit à rien) avant, c'était des moralistes exigeants. Origine de cyniques : « chien » car ils s’efforçaient de vivre selon la nature (comme des animaux) plutôt qu'en fonction des convictions sociales

Signifier : avoir un ou plusieurs sens « qui implique pour l’homme d’être reconnu libre. Quels sont les sens du mot « libre »? Polysémie du mot liberté. Cela implique de le juger et le condamné moralement. Schéma des différents sens du mot liberté à partir du texte de Leibniz : Liberté de droits Liberté Puissance d’agir Liberté de fait Par opposition à la nécessité

(si le moi n’est pas le maître dans sa propre maison) alors la vie morale devient impossible (puisque la vie morale présuppose conscience et volonté). On est jugé moralement responsable d’un acte ≠ pénalement responsable. Responsabilité pénale ≠ morale. Sanctions pénales ≠ réprobations morales. - on ne peut pas condamner moralement quelqu’un, s’il ne pouvait pas agir autrement qu’il ne l’a fait. => difficultés de punir les malades mentaux : étaient-ils conscients au moment de leurs actes, étaient-ils