Pourquoi Antigone Meurt Elle

finalement acquitté. Après le succès de Salammbô en 1862, la publication en 1869 de L’Éducation sentimentale ne remporte pas un grand succès. Flaubert connaît alors des soucis d’ordre financier et sa maladie nerveuse l’épuise. En mai 1880, Flaubert meurt d’une hémorragie cérébrale, laissant inachevé son roman Bouvard et Pécuchet. Lire la suite sur http://www.etudes-litteraires.com/flaubert.php « La violence qu’on se fait pour demeurer fidèle à ce qu’on aime ne vaut guère mieux qu’une infidélité.

alors pas nécessairement besoin de posséder une définition claire de la justice pour constater son absence. Si la pensée s’échine depuis des millénaires à définir le juste, tout homme perçoit immédiatement l’absence de ce qu’il estime lui être dû : « pourquoi me tuez-vous », s’interroge, incrédule, la victime pascalienne d’un ordre non conforme à la loi naturelle inscrite dans l’un des dix commandements (« tu ne tueras point), tandis que l’inculture scolaire des Okies n’obère pas leur lucidité sur l’absence

l’on a appris à se connaître, on peut faire recours à l’analyse profonde de soi-même afin d’y parvenir. En restant silencieux, en essayant d’oublier ses émotions de façon répétitive au cours des années on ne fait que sombrer dans les ténèbres, c’est pourquoi W. von Ebrennac ressent le besoin de retrouver l’objectivité. Il commence sa quête de lucidité à travers le monologue auquel il se livre durant tout le temps que dure sa mission d’occupation. Son âme continuerait à errer si le silence n’était pas

Antigone ou la piété, Garnier OBSTACLES PASSIONS PERSONNAGES aux PERSONNAGES PASSIONS DESSEINS DESSEINS β α des Pα des Pα Empêcher le Edipe Crainte Suicide suicide Pitié Antigone d’Edipe Guerre Trouver un Désir Polynice / Haine pour compromis (réconcilier Jocaste Etéocle l’héritage V pour éviter la ses fils) Ex : v. 850 E guerre R Dévier la S punition de U Créon, la Amour Hémon S lever Punir Punir Créon Antigone en lui ôtant Créon Colère qui a voulu son fils, à Divinité inhumer quoi meurt Colère

ans) qu’il a accompagnée lors de son trépas. On peut ressentir dans ce texte les sentiments personnels de l’auteur. Ô nuit désastreuse ! ô nuit effroyable, où retentit tout à coup, comme un éclat de tonnerre, cette étonnante nouvelle : madame se meurt ! Madame est morte ! Qui de nous ne se sentit frappé à ce coup, comme si quelque tragique accident avait désolé sa famille ? Au premier bruit d'un mal si étrange, on accourut à Saint-Cloud de toutes parts ; on trouve tout consterné, excepté le coeur

s'intéresse a la politique. A Athènes la loi est considéré comme du droit public puisqu'elles visent à maintenir l'ordre public de la cité. En Grèce il y a les philosophes qui ont réfléchit au droit. Sophocle est un auteur de théâtre , il a inventer Antigone et grâce a lui on sait qu'en Grèce il y avait du droit naturel. Les philosophes vont réfléchir à des concepts. C'est eux qui vont dire que la loi fait la cité. Il y a une méthode positive et une méthode négative de la loi. La méthode

acteurs et 12 choreutes). Il a apporté plus d’importance aux costumes et aux décors. • Il avait un théâtre psychologique (fragilité du bonheur ; malheur ; souffrance). • Œdipe (énigme du sphinx) et Antigone ont été les 2 personnages les plus marquant de son théâtre. Pourquoi ? Antigone (→ les lois morales l’emportent sur les lois humaines) et Œdipe (→ condamné pour son orgueil, il retrouve sa dignité). c) Euripide : • Euripide est né à Salamine en –480 et mort en –406 en Macédoine.

Tabari déclare que la reine yéménite s’est soumise à cet homme craignant pour sa vie, l’auteur Assia Djebar contrecarre cette lecture pour suggérer que la reine du Yémen a accepté son union avec Aswad, en raison de l’admiration qu’elle lui portait : « Pourquoi Aswad l’épouse ? (…) Mais il pouvait la ‘prendre’, sans l’épouser. Peut-être ne manifesta-t-elle pas un excès de résistance : par calcul, par curiosité, ou, comme le suppose Tabari si hâtif à l’excuser, ‘par crainte’. Crainte qui la quittera vite

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93 7 Regards de poètes sur le monde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 113 Théâtre : continuité et renouvellement 8 Destins tragiques d’Œdipe à Antigone . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 Amour et tragédie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 128 140 Dossier EUGÈNE IONESCO, un auteur engagé . . .

| |Poète voyageur, poète voyant (STG – sept 2004) |Question : Précisez quels portraits de nomades sont ici proposés. Dites s’ils vous semblent réalistes ou non et indiquez pourquoi. | |- Baudelaire, « Bohémiens en voyage », Les Fleurs du Mal |Commentaire : Aragon, « Je me souviens de cette ville » ou « L’Etrangère », Le Roman inachevé