Pourquoi Devient On Délinquant

même obstacle quand il se présente à nouveau. Prenons comme exemple un jeune délinquant ayant commis quelques délits alors qu’il était adolescent : rupture scolaire, rupture sociale et familiale. Il est envoyé dans une institution pour jeunes en difficulté. Là, aidé par les professionnels, il entame un travail sur lui-même. Soit ce jeune remonte la pente en tirant des leçons de son comportement inacceptable. Il devient alors un adulte responsable connaissant ses faiblesses et ses qualités. Alors

Pourquoi ai-je choisi ce livre? J’ai choisi ce livre parce que j’ai vu le film au cinéma et j’étais intéressé de lire le livre parce que je trouvais le film si intéressant. Je l’ai même lis en anglais et en français, mais en français c’est mieux. En plus j’étais intéressé pour quoi le livre s’appelle „Passage“ (en anglais „Holes“=les trous tout à fait différent) , et j’ai découvert que c’est le passage d’une famille malchanceux à une famille qui a de la chance. Résumé sans raconter la fin :

partition sociale qui sous-tend leurs relations lorsqu’ils sont face à l’ingérable. Nous nous intéresserons à comprendre dans quel situation les personnes délinquantes sont violentes et plus tard dans quels cas elles récidivent. Pour ce faire, nous nous concentrons sur l’image qu’ont les professionnels qui sont amenés à côtoyer régulièrement les délinquants, c'est-à-dire les professionnels du SPIP, de la SDAT, de la police nationale et de la médecine/psychologie afin de saisir leur impact sur la personne

et les incompréhensions. Il faut donc faire un repérage et une analyse critique de tous ces discours. Les jeunes des quartiers populaires sont l’objet d’une stigmatisation évidente dans le but, entre autre, de masquer l’existence de pratiques délinquantes chez les jeunes de milieu plus aisés. Certes, les jeunes du milieu populaires sont plus contrôlés mais la délinquance juvénile n’est pas plus fréquente en milieu populaire que dans d’autres classes sociales. Comment analyser ces problèmes ?

entière. D’un préjudice conçu comme individuel, il n’est pas collectif. Ce n’est pas le problème d’un clan mais de tout le monde. Un système dans lequel le clan agressé ne peut plus refuser la proposition que lui indique le groupe. La proposition devient composition et, par extension, obligatoire. On commence à comprendre que si l’agresseur doit verser une somme, il faut distinguer deux masses différentes : l’une ira à la victime, au clan agressé pour donner satisfaction aux intérêts de cette victime

Ce qui est caractéristique de la fin du XIXème siècle ne l’est plus à partir du XXème siècle. Il y a en quelque sorte un renversement des idées concernant la pédophilie et les tueurs d’enfants. Ce qui passait pour effroyable et donc vendeur, devient une question de société, on place l’enfant et la psychologie au cœur de l’instruction, on leurs accorde une attention qui n’existe pas par le passé. L’affaire d’Outreau en est l’archétype, en effet d’une affaire pénale d’abus sexuel sur mineur,

des chefs d'accusation, mais il ne bénéficie d'aucun moyen de défense (subi passivement le jugement). On constate alors facilement que ce modèle est bâti sur une vision autoritaire, totalitaire même de la part du gouvernant. C'est pourquoi ce système est resté en vigueur dans toute l'Europe continentale jusqu'au 19ème siècle. La France est le premier Etat à avoir annoncé la chute de ce système a travers la révolution française parce-que ce système a été aboli, remplacé

organise son sevrage, quant il recomparait il a changer et est seulement condamné a une petite peine non privative de liberté, il consacrera sa vie a cela ; la probation. Début 20ième siècle la France se met a faire la probation : suivi des délinquants dans le monde libre : ils ont des obligations a accomplir, ils sont contrôler, surveiller, se sont les conseillers pénitentiaires d’insertion et de probation. La période moderne : humanisation de la peine, dans certains pays la criminologie

que l’on a interrogé a même dit, je cite : « C’est quand même une bonne idée car les habitants d’un quartier sensible comme le notre ont besoin d’être protégé ». Si la politique d’une vidéosurveillance omniprésente est si efficace, alors pourquoi n’a-t-elle pas été adoptée en France ainsi que dans tous les pays avancés ? B) Les limites éthiques La vidéosurveillance est vécue par une partie de la population comme une violation de la vie privée, une nuisance à la liberté publique

par sa volonté des fautes pénales, qui déclenche une sanction pénale. Ces sanctions st malades car remises en cause : idée que l'homme n'est pas totalement libre car il est influencé par d'autre éléments (son enfance par ex). Idée aussi que le délinquante est un malade. Plus idée que certaines personnes représentent un danger pr la soc qui doit être expertise par un médecin, idée qu'il fallait juger les fous comme on le faisait au moyen age : loin d la conception du siècle des lumières. Il y a des