Pourquoi Le Marché Financier Est Il Imparfait

produisant les biens collectifs. Pour les néoclassiques, ces interventions de l'État sont légitimes car elles ont pour objectif de maintenir les conditions de la concurrence en luttant contre les situations de concurrence imparfaites ou encore de palier les défaillances de marché. Mais, hormis ces cas, toute intervention économique de l'État est condamnée, ce en quoi ils s'opposent aux keynésiens, notamment s'agissant de la régulation de l'activité économique. (Voir chapitre sur les politiques économiques)

CHAPITRE 2: LE MARCHE DES BIENS ET SERVICES Section 1 : Les déterminants des composantes de la demande globale A. La consommation des ménages 1. Définition La consommation est l’utilisation d’un bien dans un double but possible : la production de satisfactions ou la production de biens. Quand elle est productive de satisfactions, on parle de la consommation finale. Quand elle est productive de biens, on parle de consommation intermédiaire ou consommation de capital fixe (amortissement)

Economie du travail. Il n’y a pas d’économie sans étude du marché du travail. En France le taux de chômage est autour de 9-10% depuis 2003. En juillet 2013 (d’après EUROSTAT) il est de 11%. La moyenne des pays de l’UE est de 10,9%. Les pays du nord on les taux les plus faible, Autriche : 7,4% Allemagne : 5,3% USA : 7,4 Royaume uni : 7,7 et Japon : 3,9% Les taux les plus forts sont en Italie : 12% Portugal : 16,5% et Espagne : 26,3% La France n’est jamais descendue au-dessous de 7% depuis

l'État. Créer de nouveaux produits pour : gagner des part de marché → avoir la monopole et la rente. Ce qui permet de déposer un brevet et avoir un prestige de la marque (Apple) ♣ Les innovations de procédés (machines) : aller + vite, – contraignant, gains de Pté , + complexe, – marge d'erreurs, + qualité. Schéma : Inv. De procédés :=> + gains de Pté → + profits → investir → diminut° Px → + compétitif → + part de marché => + qualité → + compétitivité Qualité ♣ Les innovations

de l’année 2007, a alimenté l’attention des financiers, juristes et professionnels. Un consensus semble s’établir sur le rôle joué par les intermédiaires financiers et par la sophistication des produits financiers à l’échelle planétaire dans l’avènement de cette crise. Éclatée sur le marché de l’immobilier, la crise s’est propagée au secteur financier pour atteindre l’économie réelle. Faillites des grandes institutions, dégradation des marchés financiers, chômage sont les principaux faits marquants

actionnaires qui s'intéressent à un revenu élevé et, d'autre part, de véhiculer l'information entre les dirigeants, les actionnaires, l'entreprise et le marché. L'approche néoclassique des marchés en équilibre montre la neutralité de la politique des dividendes. La théorie du signal considère le dividende comme un outil de communication entre l'entreprise et son marché. La théorie des mandats montre qu'en cas de conflits entre les actionnaires et les dirigeants, l'actionnaire peut utiliser le dividende comme

vente sur un marché. Dans les économies actuelles, il y’a d’autres agents économiques : *les ménages qui sont définit en tant que personne physique titulaire d’un revenu dont la fonction essentielle est la consommation ; *l’administration : *les marchés : l’entreprise rencontre les autres agents économiques sur les marchés. Il est le lieu de confrontation de l’offre et de la demande d’un bien. Les différents marchés sur lesquels se présente une firme sont : -les marchés des produits de

6 une course effrénée vers le capitalisme L’économie russe était en faillite depuis longtemps. C’est surtout après l’incitation en 1992 que l’on s’engage dans le libéralisme. On cherche alors à mettre en place une politique de marché. Le rouble va être converti. Il s’effondre mais va se stabiliser après la crise de 1998. on va mettre en place un nouveau rouble, qui est à peu près égal à 1 franc en 2000. les prix sont désormais en fonction de la loi de l’offre

anticipations, il prend en compte les multiples raisons qui peuvent amener les banques centrales à annoncer leurs objectifs quantitatifs de croissance (CHIRAQUI, 1990), entre autres : - le constat que les taux d’intérêt nominaux constituent un guide imparfait de la politique monétaire en période d’inflation rapide ; - la nécessité d’introduire une plus grande flexibilité dans la modification des taux d’intérêt ; - la nécessité de formuler des objectifs monétaires, qui dépend naturellement de la stabilité

publiques dans les Etats membres a permis de mettre en exergue les lacunes et les faiblesses de nos Administrations financières. Elles se présentent comme suit :  - caractère incomplet et imparfaite adaptation du cadre juridique des Finances Publiques ;  - inexistence de textes d’application des codes financiers et fiscaux et non application adéquate de l’existant;  - absence de manuels de procédures ;  - non reddition des comptes de l’Etat et absence de lois de règlement ;  - non internalisation